Drumond Films
Publié : Mar Nov 03, 2009 1:52
Mardi 3 Novembre : Ouverture des locaux de Drumond Films a Fundanse
Présentation du Premier film des studios : Brain Test
http://www.cinejeu.net/index.php?page=p ... Film=12630«-- la fiche du film
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Présentation du Premier film des studios : Brain Test
http://www.cinejeu.net/index.php?page=p ... Film=12630«-- la fiche du film
New-York 15:00 Brigade criminelle bureau du Lieutenant Stevenson
La porte s'ouvre brusquement :
- On a découvert une quatrième victime!
- (soupir) L'enfoiré!
- Même mode opératoire, des lésions sur l'ensemble du corps et une incision au niveau du cortex préfontal.
Le policier dépose un dossier sur le bureau du Lieutenant :
Clarck Bloomer, 24ans, étudiant en psychologie. Originaire de la Caroline du Nord, il est arrivé à New York l'année dernière. Un gars sans histoire à première vue. Et pour ne pas changer les bonnes habitudes il a encore laissé une de ses cocottes en papier sur le corps de la victime.
- On a pu trouver un lien entre nos victimes?
- Toujours pas! c'es totalement incensé, on a beau chercher il n'y a rien. Tu es sûr qu'on a à faire à un seul et même tueur?
Stevenson fronça légèrement les sourcils puis dirigea son regard vers son collègue :
- Un copieur?
- Généralement, les tueurs en série ne choisissent pas leurs proies de façon aléatoire, ici ils n'ont absolument aucun lien. Catégorie sociale différente, tranches d'âge différentes, ils ne fréquentaient pas les même lieux, n'avaient aucune habitude similaire. On a épluché leurs emplois du temps, leur relevé téléphonique il n'y a rien!
- L'hypothèse d'un ou plusieurs copieurs me parait peu probable, il y a quelque chose qui nous a échappé.
- En tout cas pour le moment c'est le brouillard complet, la seule chose qu'on sait de notre tueur c'est que ce n'est pas un professionnel de la chirurgie. À chaque fois, les lésions laissées sur le corps des victimes sont nettes et franches cependant en regardant de plus près on constate que ses lésions ne sont jamais exactement aux mêmes endroits, comme s' il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait.
Pendant tout ce temps le lieutenant Stevenson avait les yeux rivés sur les éléments du dossier :
- On a du pain sur la planche...
New-York 20:30 bureau du Lieutenant Stevenson
La pièce était sombre, seule la petite lampe du bureau apportait un peu de vie à la scène. Les dossiers éparpillés ici et là, le lieutenant assis sur sa chaise demeurait immobile. Pensif il alluma machinalement une cigarette, recula son siège puis dirigea les yeux vers le plafond :
ffffffffffffffffffffffffffff
l'atmosphère était lourd, cela faisait maintenant plusieurs heures que le lieutenant tentait de faire un lien entre ses différentes victimes mais en vain. Il restait cependant persuadé qu'un petit élément lui échappait. Il prit alors une des cocottes en papier posées sur le bureau.
- Qui es-tu?
Le lieutenant la scruta pendant un long moment, puis sans trop savoir pourquoi il se mit à déplier l'objet de papier. Sans plus attendre il bondit sur le téléphone :
-Allo?
-Matt pointe toi à mon bureau tout de suite j'ai quelque chose
- De quoi il s'agit?
-Ramène tes fesses ici tu vas comprendre.
-Ok j'arrive.
21:15 bureau du lieutenant Stevenson
La porte s'ouvre :
- Alors qu'est-ce que tu as de si important à me montrer?
-Regarde ça!
Il lui tend alors la feuille :
- Un casse tête? Qu'est-ce que tu veux que je fasses avec ça?
-Il y en a un sur chacune des cocottes retrouvées sur les scènes de crimes, on doit les résoudre! Je suis sûr que notre élément manquant se cache derrière ces casse-têtes. On a enfin de la matière pour pouvoir avancer sur cette enquête, on va le coincer cet enfoiré!
L'égnime sur la feuille était la suivante :
Ils sont 8, le père, la mère, le policier, le voleur, les deux fils et les deux filles
Tout le monde doit traverser la rivière en utilisant le radeau.
Le radeau ne peut transporter que 2 personnes.
Seules 3 personnes savent conduire le radeau : la mère, le père et le policier. Sans l'un d'entre eux à bord du radeau, il ne bougera pas !
Le père ne peut rester avec aucune de ses filles sans que la mère ne soit présente.
La mère ne peut rester avec aucun de ses fils sans que le père ne soit présent.
Le prisonnier ne peut rester avec aucun membre de la famille sans la présence du policier.
Au boulot.
21:56 Bureau du lieutenant Stevenson
-Sa y'est je l'ai, j'ai pu résoudre ce putain de casse-tête! Mais étrangement je ne vois pas ce qu'elle nous apporte
- Pendant que tu t'amusais à faire traverser ta famille de l'autre côté de la rivière j'ai fait quelques recherches sur internet et je pense avoir trouvé quelque chose qui devrait nous aider!
Stevenson se rapprocha de son collègue, qui avait les yeux braqués sur son écran d'ordinateur :
En fouillant un peu je me suis rendu compte que ce site était le seul à proposer les quatre égnimes qu'on a sur nos origamies, et ce n'est peut-être pas important mais tu as la possibilité de t'inscrire sur le site et de participer à une sorte de concours permanent pour la résolution des casse-têtes.
- Si c'est bien ça ce serait là que notre tueur choisirait ses victimes. Bon écoute Matt rentre chez toi, je pense qu'on en a déjà assez fait pour aujourd'hui. On reprendra ça demain.
8:50 Bureau du lieutenant Stevenson
Stevenson était resté à son bureau tout la nuit, la chemise partiellement déboutonné, les manches retroussées, la cravate détachée, il paraissait très fatigué, son café à la main il continuait cependant d'éplucher ses dossiers, de consulters divers documents, et naviguer sur cet étrange site internet. http://www.brainmaster.com. Le téléphone sonna tout à coup :
Stevenson j'écoute!
- J'ai ce que vous m'avez demandez lieutenant! j'ai consulter les historiques des quatres victimes et effectivement ils fréquentaient tous le site de façon régulière. J'ai vérifié leur mails et rien de particulier.
-Tu as quelque chose concernant l'administrateur du site?
-Je suis dessus depuis une bonne heure et j'ai rien réussi à trouver encore.
-Ok continue à fouiller et dès que tu as du nouveau appel moi.
-Bien lieutenant!
9:20 Bureau du lieutenant Stevenson
La porte s'ouvre, Stevenson le nez dans ses papiers lève subitement les yeux :
T'avais vu juste!
-Ils fréquentaient tous les quatres le site de façon régulière..Et
-...Et j'ai pas finis de te surprendre, j'ai reçu un appel du médecin légiste ce matin
- Et?
-Et tu te souviens que je t'avais dit que les lésions faites par notre meurtrier sur ses victimes n'était jamais exactement aux même endroits
-Oui
-Bon et bien ce matin le légiste m'appel et me dit qu'il à remarquer quelque chose d'assez étrange et qui nous aiderait certainement. Les différentes lésions si tu les regardes en suivant un ordre précis partant de la base du coup jusqu'aux chevilles forment une sorte de code ou de message. J'ai repris les photos et en reliant ses lignes on obtient les réponses aux différents casses-tête.
-Bon sang! Quel cinglé
-Selon moi il choisit ses victimes parmis ceux qui échouent sur l'un de ses casses-tête.
- Et en échange de leur vie, ils ont la réponse à leur égnime. A l'heure qu'il est il doit déjà être en train de chasser une nouvelle proie, on a plus beaucoup de temps, il faut qu'on arrive à le localiser.
Le téléphone sonna à nouveau :
Stevenson!
- Lieutenant le site aurait apparemment été mise en place dans un cyber café dans le coin de la 8ème et la 45éme
- Vu le nombre de personne qui circule dans le coin, autrement dit autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Ok merci, bon travail encore une....
-Lieutenant attendez! Il vient de se connecter! Il est la!
Stevenson raccrocha aussitôt le téléphone, se leva brutalement de sa chaise :
-Appel tout le monde, cyber café sur la 8ème avenue je veux tout le monde sur le coup!
Il quitta alors rapidement les lieux.
10:22 New-York 8ème avenue dans un cyber café
Les sirènes de police se faisaient entendre, arrivant en trombe près du lieu dit, le lieutenant Stevenson ne prit pas la peine de garer sa voiture comme il faut, et stoppa net en avant du cyber café. Et c'est alors dans un élan de précipitation qu'il pénétra dans l'enceinte de l'établissement. Il devait contenir une bonne cinquantaine de postes informatique.
Police que personne ne bouge!
Un silence général s'installa dans les lieux, tous fixèrents le lieutenant, il s'avança et commença à regarder un à un les écrans. l'un des poste innoccupé fini par attiré son attention. Il y avait sur l'écran un message à son attention :
Vous voila dans la partie lieutenant.
Affolé il s'écria tout en regardant tout autour de lui :
Qui était assis ici? Est ce que quelqu'un a vu qui se tenait sur ce poste?
Aucune réponse, Stevenson se frotta le front puis envoya un coup de pied dans l'une des chaises à sa porté :
Merde!
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