Jérémie Walken a écrit :C'est justement le titre, "De Lille à Perpignan", qui a vallu au film l'unique étoile que je lui ai accordée
Ouf, vous m'avez fait peur. C'est vrai que 1 petite etoile en plus pour l'affiche, m'aurai fait plaisir. Maintenant s'il m'arrive de faire des films volontairement provocateurs, betes, idiots, sales, méchants, ridicules, stupides, navrants, insignifiants, absurdes, geniaux, nuls, je m'attache toujours à rediger un texte convenable (à defaut d'idées qui en ressurgissent), et une affiche travaillée. Je me refuse à mettre en ligne des titres expressement grossiers. Trop facile. Ce types de films que l'on peut refuser rendent hommage aux films des années fin 60/70 où tout et n'importe quoi etait possible, tous les delires pouvant etre mis en scene. Russ Meyer / John Waters en sont d'excellents exemples, car tout se fait dans la mise en scene, l'ecriture des personnages, plus que dans une histoire ou un scenario travaillé. Dans ces cas là on s'en fout de l'histoire. Maintenant je ne dis pas que je leur arrive à leur cheville, mais j'essaye quitte aussi à rater mon coup. Ca arrive aussi de rater son coup. Ici ce n'est pas le cas Jewel à 4 etoiles, donc ce film deviendra un parfait "Midnight Movie". Si je ne me lance pas de fleurs, personne d'autre le fera