Les producteurs Micki Cuzzi et Jack Flash continuent leur collaboration amorcée dans la merveilleuse ville de FUNDANSE.

Ils ont installé leur studio sur les hauteurs de la ville de GérardMerveille, studio appelé sans surprise JACUZZI Films.

Leur goût pour les drames psychologiques et le flirt avec les univers absurdes leur a fait commettre un premier film qui sent bon la poussière et la fiente de volaille.


En train de passer quelques auditions dans son jacuzzi privé, le producteur Jack Flash aurait dit entre deux bouffées de cigare : "C'est un honneur de côtoyer autant de beaux mondes à GérardMerveille. Mais c'est aussi un devoir de remonter d'un cran un niveau cinématographique qui a tendance à se complaire dans les films d'action où l'on oublie la souffrance du monde et la spiritualité".

Un photographe de la press people assure avoir pris un cliché de la réalisatrice Diane DAVIES dans ce même bain à bulles.

Plus sobre, Micki Cuzzi A remercié l'ensemble de la profession pour leurs supplications à venir à GérardMerveille apporter un peu de sang neuf et "du grand cinéma sans les agitations inutiles de supers héros confrontés à des histoires abracadabrantesques où la vacuité remplace l'esprit". Il a également déclaré qu'il était normal "que les les producteurs de FUNDANSE soient solidaires de GérardMerveille en apportant un nouveau souffle créatif".

Par contre, le studio Micki Jack Flash continuera de produire à FUNDANSE pour le plus grand plaisir de tous.

Bienvenue à vous en ville !

Première production de Jaccuzi Films, L'Honneur du Coq est une série Z à petit moyen de la réalisatrice DIANE DAVIES.
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C'est une histoire un peu improbable de la rencontre d'un allemand exilé au Mexique depuis 50 ans avec son jeune neveu, dernière trace vivante de son passé. Emmuré dans une vie triste et solitaire, ce vieux garagiste va essayer d'aider à sa manière ce jeune homme endetté (incarné par Charles LATHAN). Quitte à se frotter à la pègre locale, avec un coq qui a cessé de chanter depuis deux ans.

Micki Jack Flash a écrit :"C'est un honneur de côtoyer autant de beaux mondes à GérardMerveille. Mais c'est aussi un devoir de remonter d'un cran un niveau cinématographique qui a tendance à se complaire dans les films d'action où l'on oublie la souffrance du monde et la spiritualité".

Monsieur Flash ne doit observer le cinéma de Gérardmerveille que depuis peu de temps pour dire une chose pareille, je pense.

Micki Jack Flash a écrit :Il a également déclaré qu'il était normal "que les les producteurs de FUNDANSE soient solidaires de GérardMerveille en apportant un nouveau souffle créatif".

Hé hé hé. J'l'aime bien ce Jack Flash. Il a de l'humour

En tout cas bienvenue à Gérardmerveille, qui n'aura pas mis longtemps à vous attirer, finalement

Votre premier film semble assez attirant, ce qui est un bon début.

Monsieur Flash ne doit observer le cinéma de Gérardmerveille que depuis peu de temps pour dire une chose pareille, je pense.

GérardMerveille, comme Fundanse, comporte des producteurs prestigieux et un nombre de pépites cinématographiques très impressionnant. Cela peut être assez écrasant pour une jeune boite comme Jacuzzi Films qui a très envie de prendre sa petite place parmi des boites de prod monstrueuses et a besoin du regard de ses pères. Mais si Monsieur Jack Flash n'est pas forcément un producteur recommandable, il est tout à fait au courant de la production cinématographique de GéradMerveille et a observé avec attention la plupart des films des boîtes de production. L'admiration et l'estime professionnelle risquent de s'exprimer chez un individu aussi égocentrique que Monsieur Jack Flash par beaucoup de mauvaise foi, de la jalousie et un peu d'intolérance.

Vous voilà prévenu...

Bienvenu en Ville.

Le très peu prolifique mais néanmoins talentueux studio Jacuzzi Films a tenu sa conférence de presse sur les hauteurs de la ville, dans les jardins exotiques de la villa de monsieur Jack Flash. C'est néanmoins Micki Jacuzzi qui a présenté en avant première le nouveau film réalisé par Manon Eichinger. La charmante Amy Hereman était au bras de Jack Flash, habillé d'un simple peignoir en coton. Pour rappeler la thématique du film, la piscine était recouverte d'une couche de glace.

Micki Jacuzzi a ainsi déclaré : "Nous avons mis du temps pour lancer ce film, pour des raisons budgétaires mais aussi car le temps de la réflexion, la lenteur de la maturation, l'accouchement millimétré, ce sont notre marque de fabrique. Beaucoup de bruits, de brouhaha, d'actions et de nouveaux films à Gérardmerveille... La frénésie des images cache souvent la vacuité du propos. "

Moins dans la retenue, Jack Flash a tenu à insister sur l'absence incompréhensible de comédie romantique ayant pour cadre le sport du curling. "La plupart des réalisateurs nous abreuvent de films d'action avec des héros et des méchants pour au final une trajectoire rectiligne. Les sentiments sont souvent des composants au même titre que la voiture de sport ou la scène de sexe. Nous avons voulu enfin donner aux cinéphiles des scènes sensuelles dans des vestiaires de filles, avec de vrais sentiments qui durant tout le film vont donner la pulsion de vie et de mort aux personnages."

Ce film, c'est CURLING IN LOVE, réalisé par Manon Eichinger, une comédie romantique à petit moyen qui raconte les émois amoureux d'une jeune femme en proie à une certaine confusion dans sa vie. En procédure de divorce, Whitney (Amy Hereman) est la talentueuse joueuse de curling de son pays et va devoir mener son équipe à la victoire. Ce sont les championnats du monde de Curling et elle incarne une véritable chance de médaille pour son pays. Poussée par son entraineur (Reginald Alexander dans le rôle du boss bourru au grand coeur), elle va se retrouvée soudain en proie à une certaine euphorie et va regarder ses deux partenaires d'une manière très différente. Dans la pression du championnat, les trois filles vont soudainement jouer un drôle de jeu.
Un film enjoué, sensuel et féministe dans le ton, c'est également une immersion dans un sport méconnu.

Ari G. a écrit :Ouiiiii, un film d'amour lesbien...

J'ai penser la même chose!
De la glace, des trucs qui glissent est trois lesbiennes? J'ai déjà vu ça quelque part... Dans Brouteuses de Gazon 3: Jeux Lesbolympiques...

Gérard Cousin a écrit :

Ari G. a écrit :Ouiiiii, un film d'amour lesbien...

J'ai penser la même chose!
De la glace, des trucs qui glissent est trois lesbiennes? J'ai déjà vu ça quelque part... Dans Brouteuses de Gazon 3: Jeux Lesbolympiques...

Il y a quelques scènes de fortes ententes féminines, mais rien d'explicite, ni de visuel. Il s'agit de femmes dans un monde d'hommes qui, le temps de quelques jours assez extraordinaires, en profitent pour péter les plombs. Mais je ne serais pas vexé si on retient plus la savonnette de la douche que le palet de curling... Ainsi est le monde !

J'ai surtout essayer de greffer au film de genre sportif une drôle de comédie sentimentale. Ensuite, j'ai toujours été attiré par l'univers des vestiaires féminins... J'espère que le public suivra !

Micki Jack Flash a écrit : j'ai toujours été attiré par l'univers des vestiaires féminins...

Surtout qu'en elles sont sous la douche, hein ? Petit coquin, va.

Misterdada a écrit :

Micki Jack Flash a écrit : j'ai toujours été attiré par l'univers des vestiaires féminins...

Surtout qu'en elles sont sous la douche, hein ? Petit coquin, va.

C'est bien ce que je dis:
Brouteuses de Gazon 3: Jeux Lesbolympiques...

Micki Jack Flash a écrit :j'ai toujours été attiré par l'univers des vestiaires féminins...

Je crois qu'on est nombreux dans ce cas.

Pardon Sergiot ?! Oui, pas toi, on le sait !

Alain Blakstad a écrit :

Micki Jack Flash a écrit :j'ai toujours été attiré par l'univers des vestiaires féminins...

Je crois qu'on est nombreux dans ce cas.

Pardon Sergiot ?! Oui, pas toi, on le sait !

Tu sais, à coté de vestiaires féminin, y'a souvent des vestiaires homme aussi...