Vu ce week-end sur TMC le premier épisode de
(roulement de tambours... )Suite de "Hélène et les garçons", "Le miracle de l'amour" et "Les vacances de l'amour", cette nouvelle série se déroule à Paris où les personnages ont repris une vie plus tranquille, loin de
Love Island (mouarff !!). Nicolas est un photographe fauché qui vit sur une péniche sur la Seine, et sort avec la patronne d'une boite à hôtesses. José et Béné tiennent un bar, tandis que Christian tente toujours une carrière dans la chanson sans y arriver, et a sombré dans l'alcool.
Dès le début, on devine que rien n'aura changé. Le générique reprend un thème des "Vacances de l'amour", puis s'affichent à l'écran le nom de scénasite et dialoguiste (Jean-François Porry, alias Azoulay de AB Prod) et du réalisateur (Pat Le Guen, réalisateur du Club Dorothé et des sitcoms tels que
Salut les Muslcés !). Les acteurs jouent comme avant, les dialogues sont souvent assez mauvais :
- Jeanne ! Je te croyais morte dans l'accident d'avion.
- Hey non ! Je m'en suis sortie.
- C'est cool...et il y a toujours l'histoire de José qui tourne en rond. Il trompe Béné (qui bizarrement est toujours avec lui), mais a peur quand il croit qu'elle la trompe. Et quand il s'avère que ce n'est pas le cas, il recommence de son côté. Ca fait 20 ans que l'histoire de ce personnage est comme ça, et ça ne change pas.
Autour de ça, une histoire de mafia autour d'un personnage qui s'est échappé de prison, l'alcoolisme de Christian, sa petite copine qui se fait embaucher dans une boite à hôtesses pour qu'ils s'en sortent. C'est moins gnian-gnian que ça l'a été, mais ça reste de manière générale du même niveau qu'avant.
Mais allez savoir pourquoi, moi qui ait eut jusqu'à l'album d'images Panini d'Hélène et les garçons en primaire, je les aime bien ces personnages
Et j'ai maté ça avec mélancolie. Je ne suivrais pas la série avec assiduité, mais comme pour les précédentes, si je tombe dessus, je ne pourrais pas m'empêcher de regarder