Morcar a écrit :La Grande Divine a écrit :Une histoire avec une dague magique qui, quand t'appuies dessus ça fait des trucs pas possible, c'est du nanar.
OK, donc le genre nanar est un genre regroupant à la fois tout le cinéma fantastique et le cinéma de science-fiction
Comme ça j'aurais au moins appri ça
Pouahahahah, c'est plus "subtil" que ça. Parce que les ALIEN / STAR WARS / TERMINATOR / BLADE RUNNER par exemple, ne sont pas des nanars.
Pour une definition générale les nanars sont des films ayant peu d'ambition cinématographique lorsque les moyens sont présents, ou maladroitement fait mais avec une vraie sincérité manquant de moyens financiers et ou de savoir faire.
WIKIDISSA : "
Dans le domaine cinématographique, un nanar est un terme familier qui désigne un film tellement mal réalisé et ridicule qu'il en devient involontairement amusant et comique.
Normalement, le terme nanar diffère du navet par son aptitude à divertir. Le nanar amuse par ses défauts, tandis que le navet est simplement mauvais et ennuyeux (en référence au goût fade du légume du même nom). Le terme nanar est cependant parfois utilisé abusivement pour désigner des films sans intérêt. Il fait alors double emploi avec le terme de navet auquel il devrait s'opposer."
Pour PRINCE OF PERSIA est nanar bicoze : Non pas que se soit mal réalisé, mais il n'y a aucun talent derriere la caméra, que c'est involontairement comique grace aux dialogues souvent ampoulés et face à certaines situations quelques peu ridicules mais qui divertissent. Ce sont bien des defauts mais amusants qui fait que le spectacle est tout de meme garanti. Oui moi j'attends votre avis dessus (après tout vous nous l'avez sorti sur GM), même si vous aimez voir adorer, faut bien reconnaitre que nanar il y'a. PAr exemple un film que j'ai adoré qu'est WANTED avec Andjie Jolie, est un affreux nanar d'action ou on lit l'avenir au travers d'un metier à tisser. Pouahahahahah, z'allez pas me dire qu'avec une idée pareille dans le genre saugrenu on ne fait pas mieux, on va pas qualifier ce film de chef d'oeuvre
Quoique...Pouahahaha. Par contre ceux qui s'ennuient devant, peuvent le qualifier de navet.
(LA FILMOTHEQUE SALLE ROUGE-vostf)Réalisé par John Schlesinger
Autres films
UN COUPLE PRESQUE PARFAIT : PAS VU
FENETRE SUR PACIFIQUE :
LES ENVOUTES :
LE JEU DU FAUCON / PAS VU
MACADAM COWBOY : PAS VU
NEW-YORK, un vieux qui retire une petite boite dans une banque, puis après s'etre fait insulter par un autre vieux au volant de sa voiture, meurent dans un accident. la petite boite n'est plus sur lui juste un porte clef. Un etudiant s'entraine pour le marathon. A Paris, un homme récupère la fameuse boite. Certains de ses collaborateurs se font buter, lui-même agréssé, il part pour la grande pomme retrouver son frère qui ne connait rien de son activité...
Film culte des années 70, j'ai quand meme eu l'impression que c'est surestimé. Le film souffre du syndrome de l'éléphant qui accouche d'une souris. Le mystère se monte dès le départ et se gonfle au fur et à mesure. Puis l'attention se dilue, la tension se perd au fil d'incessants dialogues qui ont finit par m'endormir, bah voui je me suis assoupie pendant la projection, Pouahhaha. Peut être ai-je raté des informations importantes, mais le denouement banal me laisse présager que je n'ai peu être pas raté tant de chose que ça, avec aussi cette impression que le mystère du début ne se transforme à aucun moment, laissant place à des scenes soi disant choc qui ne m'ont pas franchement fait trembler, et que l'ensemble retombe sur un simple premier degré avec un gentil au passé lourd qu'il doit exorcisé et un méchant très méchant. Même la mise en scène souffre parfois de maladresses, comme l'agression de Scheider ou l'acteur sait qu'il va se faire agresser et pare le coup avant que celui-ci arrive. Au bénefice du doute, comme on dit, mais je ne crois pas être vraiment fan de ce film, ou seules les images de NY fin des années 70 proposées garde cette atmosphère fascinante de danger de ville interlope qu'elle fut. Au passage je dois prendre rendez-vous chez mon dentiste.
COTE :
(LA BASTILLE 1-VOSTF)Réalisé par Dennis Hopper
Autres films
HOT SPOT :
COLORS / PAS VU
Après un deal de coke, 2 motards partent à l'autre bout des Etats-Unis pour se rendre à un carnaval...
Hopper met à mal l'amérique, celle du début des années 70. Le film est une sorte de temoignage de la periode hippie, qui est sans doute bien moins cool que ce qu'on pourrait le croire. Rien n'est vraiment cool ni sympathque dans ce film, si ce n'est l'etat d'esprit des 2 motards, qui ne sont pas cependant sans defaut ni mêmes des anges, qui au gré de leur rencontre, acceptent les autres sans les juger. Il y'a un souffle de liberté mais aussi le revers de celle-ci avec le prix à en payer. Le film avance par etape, et à chaque arret, des rencontres de differents personnages, voir meme un certain parti pris parfois conceptuel dans la réalisation, le rythme est parfois cassé par de scènes un peu longuettes, ou le delire hallucinogène peut parfois être compris que si l'on est sous l'emprise de quelconque substance. Un film pas hypocrite, aux allures idéalistes un peu psychédéliques parfois étranges qui lui donne un air fantomatique. Le film conserve une certaine modernité, si cette époque est revolue, certains démosn denoncés ici sont toujours eux bel et bien vivants. Et pas uniquement aux à-bas. Et ça, c'est pas rassurant du tout et la dessus Hopper a vu juste. Hein ? STEPPENWOLF. Sur le generique de début, ça tape à donf...
COTE :
Ah, j'avais oublié celui-ci aussi :
(MK2 BIBLIOTHEQUE 3)réalisé par Benoit Delepine et Gustave de Kervern.
Autres films :
AALTRA /
LOUISE-MICHEL /
AVIDA / PAS VU
C'est le gros Gégé, hein, non Depardieu pas Cousin
qui part à la recherche de ses anciens employeurs qui ne l'ont pas déclaré, ah les enc**és ! pour recuperer ses fiches de paye pour enfin toucher sa retraite. A cheval sur Mammuth, Mammuth va à la rencontre de son passé...
Tiens là aussi, y'a une scéne dans un abattoir, là aussi c'est un homme en quète de son passé pour mieux affronter le présent. Lui aussi est abimé par la vie. Il n'y a pas que lui d'ailleurs ceux qui l'entourent ne sont pas mieux loti que lui. Sa femme en premier. C'est grinçant, pas très optimiste non plus, pas très net sur les bords, quelque peu trash, dérangeant avec ces gens avec qui ont ne sent pas très à l'aise, faut dire que dans le genre excentriques on ne fait pas mieux que cette France d'en bas qui existe mais qu'on ne veut pas montrer. Portatn ces anti héros sont touchants par la volonté des auteurs qui en font certes des monstres, mais à visages humains. Il en ressort dans le glauque une certaine poèsie qui permet de souffler un tant soit peu, même si le sordide ambiant peu rebuter par moment. Il y'a toujours quelque chose qui nous parle, car malgré tout, les héros refuse la déchéance totale et font tout pour sortir la tête hors de l'eau. Oui, ça fait rire, jaune, mais ça donne aussi à reflechir sur un avenir pas toujours certain. l'image trsè granuleuse amplifie ces effets, ou l'apparition de Adjani, beauté fantomatique abimé figé dans une jeunesse improbable hante cette masse humaine. Oui, on peut remercier ces acteurs connus d'avoir donné corps à ces personnages dans ce film abrupte. Personne d'autres qu'eux n'auraient pu les interpreter.
COTE :
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.
(UGC CC BERCY 20-vostf)
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Comme son personnage se bat dans le 2è film, ils ont du prendre quelqu'un d'autre 
. Pour ceux qu'on pas suivi l'avis sur le film est sur la page précedente la N°20.