Séances de ratrapage à la maison

[Morcar]

Synopsis : Refusant d'épouser Brutus, le fils de César, car elle est amoureuse du gaulois Alafolix, la Princesse Greque Irinia promet d'épouser celui qui gagner les Jeux Olympique. Alafolix part alors demander l'aide de ses amis Astérix et Obélix.

Avis : Alors qu'en est-il finalement de ce "fameux" film Astérix au budget le plus gros de l'histoire du cinéma Français ?
Au début, j'ai été très agréablement surpris par l'aspect esthétique de celui-ci. La présentation de départ est très fidèle à la bande-dessinée, avec la loupe et tout ce qu'il faut, et le village des gaulois est plus ressemblant qu'il ne l'a jamais été dans les films. Je suis donc parti surpris. Mais les choses se sont vite gâtées.
D'accord, le film est graphiquement réussi, mais on est censé regarder une comédie, et à aucun moment le film n'est drôle. Sans doute que tout le budget est parti dans les effets spéciaux (pas toujours réussis cependant) et le casting, si bien qu'ils ont du faire des économies du côté des scénaristes, parce que là c'est l'électroencéphalogramme plat. Au point que même Benoit Poelvoorde, qui interprête Brutus, cabotine du début à la fin du film.
Le reste du casting ne s'en sort pas mieux d'ailleurs, avec en tête Stéphane Rousseau qui agace rapidement à sourire de toutes ses dents du début à la fin avec un air niais, suivi de très près par José Garcia et Alain Delon qui sont bien agaçant également, et surjouent comme jamais.
Les scénaristes (oui, parce qu'ils se sont mis à quatre pour pondre ce truc... ) ont voulu placer ici et là des références à notre monde d'aujourd'hui, pour respecter l'esprit de la BD, mais là où ces références étaient très bien placées dans le film d'Alain Chabat, ici, elles ressemblent à des pièces rapportées sans raison. Ca ne fait donc même pas sourire. L'arrivée de Djamel Debouze à la fin du film apporte un peu de fantasie au film, mais rien de bien transcendant non plus.

Bref, plus mauvais encore, peut-être, que le premier Astérix. Il fallait le faire !!!! Alain Chabat peut être tranquille, son film a peut-être coûté moins cher, mais reste d'un niveau bien supérieur.

Note : 4/20

[Alexis]

C'est sur que Asterix aux J.O c'est un bon gros navet comme je les aime pas

[Morcar]

Pendant ma semaine à l'hôtel, j'ai profité de Canal + et de la diffusion de deux films, un que j'avais regretté de manquer au cinéma, et un autre dont je n'avais jamais entendu parler jusqu'à présent :



Synopsis : En 1959, George Reeves, acteur connu pour son rôle dans la série Superman, est retrouvé mort dans sa chambre, et la police a vite conclu à un suicide. Engagé par la mère de l'acteur, le détective Louis Simo remarque que plusieurs personnes auraient pu vouloir sa mort...

Avis : Tiré de faits réels, Hollywoodland recrée le Hollywood des années 50 de très belle manière, et raconte une histoire intriguante, autour de laquelle continuent aujourd'hui de tourner plusieurs rumeurs. Pour son film, le réalisateur a réunit un casting assez prestigieux, avec en tête d'affiche Adrien Brody, Ben Affleck et la charmante Diane Lane.
Le scénario se suit agréablement, suivant les différentes théories que le détective privé va imaginer, en découvrant les divers éléments qui entourent la mort du fameux Georges Reeves. Les scènes se déroulant dans le "présent" et le passé se mélangent donc, à mesure que le détective découvre toute l'histoire qui entoure cet acteur qui n'aura pas réussit à faire sa place à Hollywood comme il le souhaitait. Dans le rôle du personnage central du film, à savoir l'acteur mort, Ben Affleck est vraiment excellent, méritant amplement le prix qu'il a reçu pour ce rôle, et prouvant qu'il est un bon acteur, même s'il a juste fait de très nombreux mauvais choix dans sa carrière.
Ce qui est dommage, c'est que le film ne prend finalement aucun risque, et ne fait que raconter l'histoire et émettre des théories. Même si on n'a jamais réellement su ce qui était arrivé à cet acteur, j'aurais aimé que le scénario ose imaginer une fin à tout ça. Dommage.

Note : 12/20



Synopsis : Après la mort de celui qu'elle devait épouser prochainement, et alors qu'elle tente de reconstruire sa vie, Gray découvre que celui qu'elle devait épouser lui cachait de nombreux secrets...

Avis : Après avoir écrit de nombreux scénarios, dont celui d'Erin Brockovitch avec Julia Roberts, Susannah Grant s'essaye à la réalisation, tout en écrivant elle-même son scénario évidemment. Et il faut dire que le résultat n'est pas brillant.
La présence de Jennifer Garner et Timothy Olyphant n'arrive pas à masquer la banalité du scénario digne d'un téléfilm sentimental de début d'après-midi. Même Kevin Smith, dans le rôle du pote drôle, n'arrive pas à être original.
A oublier.

Note : 7/20

[La Grande Divine]

Horribilis : Histoire : une meteorite s'ecrase sur terre chez les pecors etazuniens. Ca commence par un dard enfilé dans les cervicales et pis apres ca fait des poulpes, des cacas limaces, des zombies, des orgies...Ca lorgne de tous les cotés et filmé comme un telefilm sur W9. C'est mal joué, c'est normal, et ça se veut trop je suis un film culte genre "Grindhouse" avec des trucs cracra. Le problème c'est que c'est chiant, et on s'emmerde. Comme c'est pas drole en plus, on attend patiemment un ptit truc un peu dejanté qui n'arrivera jamais. Reste quelques petits moments suffisamment crado rigolo mais pas original du tout, mais faut attendre au moins 45 bonnes minutes.

[La Grande Divine]

SAGAN : J'ai donc regardé l'autre jour la télé, donc le téléfilm qui est sorti en salles il y'a 3 mois (500 000 entrées). A la vision de ce téléfilm, je n'ai eu aucun regret de ne pas l'avoir vu au cinéma, car téléfilm veut bien dire film fait et produit pour et par les télévisions. La mise en en scene est plate, le montage aussi, le scenario lineaire dans toute sa splendeur, les images sont ternes et pas vraiment jolies. Il ne reste plus que Sylvie Testud qui s'en sort pas mal, sinon "à quoi ça sert d'etre Françoise Sagan ?" et elle aussi trop de maquillage sur la gueule, oui, ça se voit. Jeanne Balibar y est tres bien aussi, ainsi que Chantal Neuwirth, rappelez-vous, Mme Taulier dans "PROFS", celle qui se faisait cristaliser, c'etait elle. Ici elle gentille.

[La Grande Divine]

HEAT : Voila la definition parfaite du genre "Cinéma Underground". C'est un style, une epoque revolue, du ciné comme on en fait plus, à part peut etre HArmony Corine avec "Gummo". C'est un debalage de l'anti star systeme hollywodien avec ses derives, ses consequences, sur des gens totalement frapadingues victimes de leur succès, de leur image, de leur condition. Tout le monde profite de tout le monde en fonction de leur moyen, pognon pour certains, beauté plastique pour d'autres. C'est assez cru, assez cul aussi, depravé, dégénéré et décadent, c'etait il y'a 36 ans de ça. Une image peu reluisante du milieu de ce qu'on appelle le show Business, l'envers du décor. La chaleur de L.A. a du leur provoquer quelque insolation car c'est pas mal hysterique. Les personnages sont assez colorés, ça de ce genre là on n'en voit pas partout des comme eux. D'ailleurs y 'a des sequences qui m'ont bien fait rigoler, y'a peu de retenu sur certains passages, l'image tres 70's me fait penser à des vidéos experimentales qu'on voit dans les musées d'art moderne. C'est fascinant, chiant, exasperant, fatiguant, agaçant, intrigant. Un drole de film assez proche de "A Bigger Splash" dans son esprit. faut dire que c'est Andy Warhol qui produit, forcément on y retrouve des choses. Ce film n'est pas tout ni grand public. Vaut mieux etre prevenu. Les cinéphiles se doivent au moins de le voir. Ils me restent "Flesh" et "Trash" à voir.

[Morcar]

Synopsis : Un trentenaire vit toujours chez ses parents, qui souhaiteraient le voir partir. Ils engagent alors une femme dont le travail va être de le séduire et de réussir à lui faire quitter le foyer familial.

Avis : Ca fait des années que le système est rôdé, et que ça continue de marcher, donc Hollywood continue de produire ce genre de comédies sentimentales dont le scénario est identique à chaque fois. En tête d'affiche, Matthew McConaughey, un habitué du genre, notamment avec "Un mariage trop parfait" où il donnait la réplique à Jennifer Lopez, et "Comment se faire larguer en 10 leçon" où il faisait face à Kate Hudson. Et cette fois, face à lui, on retrouve la "Sex & the City" Sarah Jessica Parker. Les deux acteurs sont pleins de charmes, et semblent s'amuser, donc ça va.
On a l'impression d'avoir déjà vu ce scénario 20 fois (séduction "commandée", découverte du pot aux roses, dispute, retrouvailles...) mais on s'y attend de toute façon dès la lecture du synopsis, donc on sait à quoi s'attendre.
La réalisation est comme d'habitude classique. Le réalisateur avait à son actif "Shangaï Kid" et "Show Time", en même temps, et rien d'autre de plus. Il gagne sa vie, quoi...
Le genre de film qu'il faut vraiment qu'on prête à Morkette en DVD pour que je le visionne avec elle. Mais il remplit son contrat, là où certains arrivent quand même à se planter sur ce genre pourtant, encore une fois, très rôdé.

Note : 12/20

[La Grande Divine]

FBI, Fausses Blondes Inflitrées : Pouahahha le navet. Faut dire qu'hier soir en la matiere on a été servi. Alors en vrac il y'a eu "Le bon roi Dagobert"(maté ça pendant 8 minutes, merci aurevoir, "Le ninja Blanc" film d'action avec des hommes, des vrais, moitié "village people" pour certains, moitié "Magnum" pour d'autres, avec au milieu une endive, maté ça pendant 6 minutes, "Les vécés etaient fermés de l'interieur" maté pendant 2 minutes, au secours, "Timecop" avec JCVD, maté pendant 1 minute. Du coup ce film des freres Wayans etaient presque comme une benediction au milieu de tout ça. C'est assez nul, c'est certain, mais il y'a des passages assez droles. Ca les botoxées de tout poils et les pouffiasses en tout genre en prennent pour leur grade. Dommage qu'a chaque fois on nous balance des histoires d'amour et des sentiments guimauves qui ne servent à rien qui allongent et ramollissent le film, un moment je suis allée prendre ma douche, et revenir pour regarder la fin.

[Jérémie Walken]

FBI, Fausses Blondes Inflitrées : Pouahahha le navet.

Étant donné le titre pouvait-il en être autrement?

[Frost Films]

Oh ben y'avais bien "american warrior" a la télé hier soir

Avec le grand michael dudikoff ! Qui joue aussi dans le merveilleux "ninja blanc" aussi je crois ....

Et timecop ca doit être le meilleur des JCVD ^^

[ryggar]

Oh ben y'avais bien "american warrior" a la télé hier soir

Il me semble si je ne m'abuse que American Warrior et le Ninja blanc sont le même film ( )

[Frost Films]

Non en fait le ninja blanc est la suite d'américan warrior, en principe, qui s'appelait American ninja en VF.

[La Grande Divine]

Les desastreuses aventures des orphelins Beaudelaire : C'est pas mal dans le genre, surtout les images et de l'ambiance qui s'en degage. Pour ce qui est de l'histoire celle-ci malheureusement patine et se repete jusqu'à la fin. Reste que l'on reste accroché de part les effets speciaux et les decors, habile melange entre les anciennes et les methodes modernes, ainsi que des personnages bien campés par de bons comediens. Mais pourquoi changer le nom du personnage interprété par Meryl Streep, Tante Josephine, par une tante Agrippine ? ENcore une chance que le nom des orphelins ne se soit pas miraculeusement transformé en orphelins Rimbaud. COTE : --**

[La Grande Divine]

Flash Gordon : Comment dirais-je, c'est "la cage aux folles" de la SF. Dans le genre viril on repassera. Pouahahaha le nanar toi ! Dans le genre blond peroxidé moulé dans tee-shirt, le Flash semble tout droit sorti d'un clip disco. Il est entouré de samouraï sorti tout droit d'une vidéo d'Earth Wind and Fire ou d'Imagination c'est comme on veut. Il manque plus que "Maitresse, maitresse", pouahaha cte rigolade. Le scenario, bah y'en a pas, on y comprend rien, c'est un vrai merdier ce truc. Si ce qu'on retient c'est, accrochez vous, Un tyran regne sur la planete machin, sa fille va le trahir, avec l'aide de Robin des bois qui est son l'ennemi de Flah car il aime aussi la princesse en question, aidé par des hommes oiseaux tout poilus en slip à paillettes. Entre tout ça, le scenario et les situations semblent avoir leur propre logique que seuls les protagonistes semblent comprendre. Tant mieux pour eux. C'est quand meme une vrai daubasse digne de ce nom et surtout d'anthologie. La musique de Queen confirme la virilité du film. POuahahahahah. Sinon, bah on n'en a strictement ranapété de ce qui peut se passer, si ce n'est qu'on se marre devant ce cirque digne de Pinder. Les dialogues sont d'une absurdité etonnante, avec l'autre idiote qui te balance quand elle arrive dans le palais de l'empereur "On se croirait à l'hotel de ville". Bah voyons, vu le defilé, c'est Delanoé qui va etre content. Poauahahhahahahahhaha!!!! Faut dire que dès l'amorce le ton est donné puisqu'on a le droit à la bande son du logo "AMLF" distributeur français du film à sa sortie, avec le visuel du logo "Universal". Quant je vous dit dès le depart ça sentait bon ce truc là. Pouahahahahha. COTE ---*

[Frost Films]

Dit donc en ce moment tu enchaine les films