J'ai vu 2 films :
THE SOCIAL NETWORK de David Fincher (UGC CC BERCY 12 - vostf) et
BURIED de Rodrigo Cortés (UGC CC LES HALLES 21- vostf) :
Alors autant l'un à 500 millions d'amis, autant l'autre n'en a aucun. Normal il n'est pas sur Facebook mais en Irak entre 4 planches sous le sable et ce n'est pas le film d'Ozon, Charlotte ne viendra pas. Ce sont 2 films ambitieux de l'année, sans grands renforts de moyens même si pour le film de Fincher semble être plus confortable. DAns un cas comme dans l'autre se sont 2 tours de force magistraux. Fincher nous tiens en haleine pendant 2 heures sur la création de Facebook, un biopic moderne de part son sujet, mais aussi d'une grande modernité dans son ton et sa façon de filmer et de diriger l'entreprise. Fincher est doué et a du talent, chose rare à Hollywood. Un film purement americain mais dans le bon sens du terme et sur le reve americain, même si tout ce qui se trame en arrière plan donne envie de se desinscrire direct du site en question. Le film est entièrement construit comme la personnalité du créateur du site. Si tout y est au fianl assez enfantin, le film s'avère être très complexe et de façon discrète, Fincher allumant plusieur pistes ne même temps sans qu'on s'en rende compte. Soyez attentif à la scène d'ouverture, celle-ci donne le ton direct de ce qui va suivre, plusieurs conversations à la fois, et à vous jongler. David Fincher consolide sa filmographie de manière remarquable. Pour l'autre, c'est très simple, il ne s'est pas contenté d'enfermé un acteur bimbo (Ryan Reynolds "La proposition avec Bullock) hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
En tout cas y peuvent aussi m'enfermer dans la boite avec lui, je saurai quoi en faire moi du Reynolds, Sergiot n'allez pas me dire qu'il n'est pas à votre gut, je ne vopus croirai pas. Cortès est malin et sur un scénario astucieux balance tout un tas de reflexions anti militariste, anti guerre, anti technologie qui sert surtout à rien à^part raconter de conneries et qui cas de situation d'extrème urgence ne fonctionne pas vraiment comme on voudrait, le propre du téléphone maboule me direz vous. Maboule y'a de quoi le devenir pednant le film. Ubuesque et agaçant par moment, suffoquant et ironique, le réalisateur malmène aussi bien son acteur que le spectateur qui peut se demander si tout ça n'est pas qu'ne vaste funeste farce. Ne comptez pas sur moi pour vous devoiler quoi que soit, mais je vous rassure, à la fin vous aurez la réponse à toute vos questions. Un petit conseil avant la projection : Prenez un grand bol d'oxygène, pouahahahahah...A voir imperativement en salle, en DVD le film ne rendra rien du tout.
COTE :
Valble pour les 2 films.
Les autre films vu ily'a un peu de temps/
BENDA BILILI (ugc cc les halles 4) COTE :
. Une veritable image de l'afrique loin des circuits touristiques. Une veritable envie de s'en sortir. Mais l'image extrémement degueulasse, tout le temps floue, m'a filé un mal de crane à force d'e^tre obligé de faire le point correct dessus. Oui pour le fond mais NON pour la forme. Pour moi les docu c'est finit au ciné tout comme les film tournée en DV / camescope et autre téléphone portable.
CRIME D'AMOUR (ugc cc bercy 24) Dernier film de Corneau. Mais quant on entend un juge dire à sa cliente "Ce n'est pas parce que tout vous accuse que vous êtes innocente" c'est juste qu'on a envie de se pisser à la culotte et de se demander devant quel nanar on se trouve. Un beau je vous le dis, c'est triste de finir sa carrière ainsi. COTE ;
Pour la poilade en ce matin dominical.
IL ETAIT UN FOIS DANS L'OUEST de Sergiot Leone (Grand action salle henri ginet-vostf) / bah voui, c'est immense ce film. J'ai attendu 38 ans avant de le découvrir. Mais en salle, en scope, technicolor en vo, pendant 3 heures ou je n'ai rien vu passer, c'etait juste du bonheur sur pelloche. Les Western me font chier en général. COTE :
DES HOMMES ET DES DIEUX (Escurial Panorama) : C'est le film surestimé de l'année. Le scénario n'est pas la hauteur du travail du chef operateur qui film les interieur et les sequences intimistes comme des icones. Sinon, c'est long, pas très consistant, chiant si si je me suis fait bien chier pendant presque les 3/4 du film en attendant qu'il se passe quelque chose. Ce quelque chose qui arrive en fin de course, dans la derniere demie heure magistrale, il faut bien le reconnaitre. Il était temps avant que je décroche definitivement. COTE :
LES RUNAWAYS (UGC CCBERCY 15-VOSTF) Les poufs de Twilight cassent leur image. Elles ont bien raison. Ce biopic c'est le terme à la mode, est bien secoué, bien rock, et quelque peu trash et décadent juste ce qu'il faut pour eviter toute censure. Intelligent et assez excitant. COTE :
HAPPY FEW (UGC CC BERCY 12) : Pouahahah et ben la Fois elle y va au cul. Faut dire que Duvauchelle est assez sexy quand meme. C'est assez cru, y'a des films qui sont interdit aux moins de 12 ans pour moins que ça, et cruel. La liberté sexuelle n'est pas pour tout le monde et est un état d'esprit pour que tout se passe bien. Marina Foios confirme son talent pour des roles difficile dans des films ou on ne l'attend pas. COTE :
THE TOWN de Ben Affleck (UGC CC BERCY 33) Affleck confirme que c'est un bon réalisateur. Moins ambitieux que GONE BABY GONE, mais ce film de divertissement du samedi soir même si j'y suis allée un vendredi soir est d'une grande efficacité à défaut d'être vraiment original. la trame est banale c'est sur, mais les personnages et les acteurs font tout et y arrivent pour nous le faire oublier. COTE :
PAULINE ET FRANCOIS (MK2 BIBLIOTHEQUE 9) / En gors ça en dit long sur les rapports familiaux des gens qui [/color]vivent dans les hameaux et qui sont les uns sur les autres et ou constamment derriere les autres. C'est etouffant, et la nature est superbement filmée. Un très beau film qui ne manque pas de puisssance. Léa Drucker est remarquable dans un role ingrat et difficile. COTE /
SOLEIL VERT (Grand Action salle henri ginet) / Ca a un peu viellllit. Les bagarres on ne les filment plus comme ça. Pour le reste la charge est toujours présente, et l'anticipation assez terrifiante. La régression est en route, ce film laisse encore de quoi reflechir surtout en cette periode. Pas rejouissant tout ça...En esperant que ça ne reste que du cinéma, ce qui encore le cas. Heureusement. COTE :
LA MEUTE (ugc cc bercy 12) pOUAHAHAHA LE NAVET. Vu un dimanche matin, c'est une horreur ce film. C'est vulgaire et bête. Que fout Yolande la dedans ? Et Nahon et Biolay et Dequenne ? EUx s'en sortent, c'est deja ça, les creatures même si elles sont debiles sont très reussies du point de vue technique. Tout comme le chef op qui soigne l'image de fatras debordant de connerie. Du gachis. L'etoile est pour eux cinq, seuls a avoir fait le boulot.
LAISSE MOI ENTRER (ugc cc gobelins7) remake inutile de MORSE. Sauf que c'est pas mal filmé c'est vrai, les comediens sont vraiment bien aussi c'est vrai. C'est un film qui n'est pas malnhonnete c'est vrai. Preferez l'original, c'est une evidence, la neige y est réelle et est un personnage à part entière. Ca manque dans cette copie. COTE :
AMORE (MK2 bibilotheque 1) Le cinema italien redore son blason avec ce mélodrame sensuel, gourmand et terriblement moderne sans qu'on le sache, grace au personnage feminin tenue pas l'excellente Tilda Swinton campant avec une grande justesse, cette bourgeoise à qui on a volé sa vie et qui décide la reprendre, même si c'est pas si simple que ça. Amours, trahisons au programme en toute subtilité. Un vrai bon mélo comme on les aime. COTE :
LES AMOURS IMAGINAIRES (mk2 bibliotheque 3) Dolan confirme son talent. On peut lui reprocher d'etre trop inspiré, je lui reproche trop de pretention. Le resultat est sur l'écran. C'est irreprochable et parfaitement maitrisé. Les personnages sont excellents tout comme l'interpretation. Il est temps que ce jeune realisateur deploit ses ailes et se laisse guider. COTE /
KABOOM (UGC CC BErcy 22) Kapouet. Petard mouillé pour ceux qui connaissent le ciné d'Araki qui ne fait que repeter ce qu'il a deja fait 15 ans avant. Remake deguisé de NOWHERE avec tel portable en plus. Les spectaterus de TWILIGHT seront surpris et trouveront ça innovant. Pas moi. J'ai trouvé ça rechauffé et chiant et pour couronner le tout filmé comme un téléfim en scope. cote :
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.