Mr. Rammstein a écrit :Non ça va allez alors les fille son les créatures les plus réussit les plus intelligente si j'aurai étai dieu j'aurai fait la même chose
Bastien70 a écrit :Pour deux raisons principales :
- Mes affiches ne me conviennent jamais
- Je ne trouve pas d'image qui me satisfait pour les films actuels.
Chpom a écrit : Pas touche à mes graisses !
Loloestla a écrit :C'est toujours mieux de ne pas en avoir
Megalith. Une planète comme les autres. Ou presque ; en effet, on y trouve diverses espèces, des hommes, des animaux, des végétaux, des cours d'eau, des forêts, tout ce qu'il y a de plus normal. Cependant, on y trouve aussi, malheureusement, toutes sortes de monstres, démons, ou autres entités agressives et dangereuses.
Autre particularité, elle n'est pas fracturée en une multitude d'États et de cités : un seul grand pays et sa capitale, Kapsor. Ville énorme, ayant en son sein quelques deux milliards d'habitants. Un petit dixième de la population totale, environ. Protégée par une bulle protectrice empêchant la venue de quoi que ce soit de dangereux du monde extérieur.
En théorie...
Dans la pratique, les choses étaient bien différentes : la guerre avec les démons de l'extérieur était terrible, le peuple était régulièrement attaqué et quelque fois sauvagement massacré en partie. Mais il en était de même pour le camp adverse. Au début des combats, les hommes étaient amplement dominés, risquant de chuter à tout moment. Mais, on ne sait ni comment ni d'où, une mystérieuse confrérie fit son apparition, lors de la grande bataille de Mosh'k'tal... Cette confrérie ne comportait que quelques membres, une dizaine, mais était la force, le fer de lance de l'armée humaine. Peu de choses sont connues de leurs membres, et particulièrement de leur leader. Mais ce leader a désormais décidé de raconter l'histoire passée de cette guerre.
Voici mon récit.
Mes apprentis et moi même étions en train de chevaucher dans les plaines de Mosh'k'tal, lorsque des bruits atteignirent nos oreilles. Nous nous arrêtâmes, et vîmes deux camps se combattre. Parmi eux, nous reconnûmes les Treyyk, espèce maléfique venant des abysses du monde. Heureusement pour le second groupe - qui était en train de dérouiller sévèrement -, ils étaient nos ennemis. Nous dégainâmes donc ensemble nos épées et engageâmes le combat. Dix camarades fondirent sur les immenses corps noirs des ennemis, qui peu à peu après notre passage commencèrent à chuter. Nous n'étions pas considérés comme les guerriers les plus puissants de ce monde pour rien ; la guilde des mercenaires de la foudre était redoutée et réputée pour cette puissance. Rapidement, le cours de la bataille s'inversa et les Treyyk durent battre en retraite sous peine de perdre tous leurs hommes. C'est ainsi qu'une alliance s'établit entre les hommes et mes guerriers. Profitant de notre aide, ils lancèrent un peu partout des offensives appuyées par les maîtres d'armes de la confrérie.
En un mois, la guerre changea son cours. Et maintenant, nous sommes alignés, là où tout a commencé, pour y mettre un terme. La dernière bataille s'annonce sanglante et bien amusante ! Il est enfin temps de sortir les épées des fourreaux pour vaincre définitivement...
La fin approche.
Déjà dans ma tête des centaines; que dis je, des milliers et des milliers de choses se bousculaient. Déjà j'entendais les cris de Lucia, folle de joie pour moi, et des autres de ceux qui étaient là en cette douce soirée. Cependant je ne pouvais faire la fête. Il me fallait rejoindre le palais du président et commencer à faire ce que j'avais promis. Alors, je me levais, j'embrassais mon amie sur le front et je les laissais à leur fête, mes obligations me rattrapant sans que je ne cherche à me défiler. Un court trajet me séparait du bâtiment, que j'effectuais comme toujours en peu de temps. Une fois installé dans le bureau, que je venais de décorer quelque peu à mon goût, je pouvais me mettre à l'ouvrage...
La nuit passée, à rédiger encore et encore des ordres, des surordres et des directives encore et encore, je pouvais commencer à goûter au fruit de mon travail. Divers commerces et usines ouvraient leurs portes, tout le monde s'activant pour permettre à Muchonie de devenir encore plus éblouissante qu'elle ne l'avait jamais été. Des bâtiments se levaient, d'autres changeaient. Tout se mettait en place petit à petit...
Après une semaine de dur labeur et user des forces et des dons des hommes et femmes, la production était lancée. La nourriture naturelle de la planète étant abondante, et les animaux fournissant la viande suffisante, des élevages et des cultures s'étant développés de part et d'autres, aucun problème pour se rassasier. Pour la boisson, une source intarissable était présente sur la planète et nous permettait d'avoir de quoi boire jour après jour. Mais, j'avais repéré un arbre magique et énorme, qui produisait lui même un liquide étrange et peut être consommable. L'expédition se préparait avec Edwin - qui avait prit un nouveau pseudonyme, White_Spirit - pour la forêt en question...
Les armes dans le dos, le vent dans les cheveux dans notre navette décapotable, nous étions partis pour une nouvelle aventure...
Arrivés en bordure de la forêt nommée Chambre de la fin en raison de sa faune et sa flore, nous dûmes laisser la navette, inutilisable dans des passages aussi étroits. A pied, nous commençâmes donc à avancer à travers la brousse sombre en direction du géant arbre millénaire au centre de cette forêt. Le temps passait très vite, la distance nous séparant de notre but aussi, et c'est ainsi qu'à la tombée de la nuit nous n'étions qu'à une à deux centaines de mètres de l'objectif de l'expédition. Nous posâmes le camp en hâte, et nous nous mîmes au lit rapidement pour pouvoir reprendre dès les soleils levés...
En plein songe, cependant, je fus réveillé par White, qui me hélait. Un Janulo, sorte de tigre plus gros avec des ailerons dorsaux et des dents plus tranchantes, avait pénétré notre camp. Edwin était déjà debout, un bout de bois à la main pour ne pas tuer la bête. Lorsque cette dernière lui sauta dessus, ses réflexes, me rendant dubitatif, frappèrent les premiers ; la créature était au sol, assommée, avant que je n'ai pu cligner des yeux.
Ce fut la seule menace qui se présenta à nous pendant l'allée : le matin venu, nous arrivâmes devant un arbre aussi grand qu'une montagne...
Nous nous pressâmes sur le vieux bois, solide à souhait. Nous observions la scène : une petite rivière s'écoulait depuis les racines de l'arbre, un liquide inconnu la composant. Nous récupérâmes un peu de ce liquide, installâmes chacun un petit laboratoire portatif, et nous nous partageâmes les tâches : il devait tester l'empoisonnement, lorsque moi je devais définir la composition et la façon d'empêcher un empoisonnement. Pendant plusieurs heures, le temps défila, aucun geste ne s'esquissant. Puis, finalement, nous finîmes les tests alors qu'une seconde nuit commençait à arriver. Cependant, nos antidotes et nos tests n'étaient pas réellement terminés...il nous fallait maintenant boire la mixture finale, légèrement mousseuse. Je me dévouais volontaire et avalait la moitié du tube cul sec...
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