Gérard Cousin a écrit :Les Charlots, c'étaient mieux...
(ou moins pire, c'est selon les gouts!
)
Oh non Gégé, pas eux. Max Pecas, passe encore, mais Les Charlots, c'est pas possible. Hein, c'etait de la provo, bon bah ça va alors, et dire que j'ai failli marcher, pouahahahaha...
SPLICE (UGC CC BERCY 34 - VOSTF) de Vincenzo Natali
Autres films :
CUBE :
CYPHER :
2 scientifiques mettent au point 2 glaires danseurs de claquettes qui permettent aux gens de guérir. La femme veut allez plus loin dans ses recherches. Les actionnaires sont contre et veulent avoir le plus rapidement possible le fruits des recherches. Qu'à cela ne tienne, n'a qu'à faire ça en secret...et ça va marcher...plutot bien...
Pouhahaha les bestioles en latex. Natali très inspiré par les films organiques de Cronenberg jusque dans les images pas toujours très nettes sur les plans larges et les effets speciaux très années 80, j'ai eu l'impression de voir un film d'une autre époque. Ce n'est pas un reproche car au moins les creatures ont de la texture. Là ou le film est le meilleur c'est dans le scénario et les situations troubles dans lesquelles le spectateur va se retrouver embarqué. Le ryhtme se ralenti pour que toute la perversité puisse être mise en évidence et donner lieu à une gène assez inattendue, même si le soufflé retombe par la suite dans les travers nanardesques très et trop proche du "Jeepers Creepers" qui fait se bidonner la salle toute pleine de gens. C'est ce qui s'appelle avoir le sens du cinéma aussi d'un coté que de l'autre.
COTE :
TOY STORY 3 (UGC CC BORDEAUX 15 - VF 3D avec lunettes passives) de Lee Unkrich
Andy à grandi et passe plus de temps sur internet à mater des pornos et se tirlipoter le chihoua scraaaaaauiiiitch, hein ! on n'est pas chez Luxure ! Voui Andy ne joue plus avec ses jouets, les Mossieurs Patate et tout le tralala du coup sont dans des sacs. Mais Andy va partir à la fac. Les jouets sont par mégarde ils vont se retrouver prets à partir dans la benne à ordures...
ca ne serait pas un poil surrestimé quand même ce film. Dès que c'est Pixar, tout le monde s'extasie, je en parle pas des pillules. Oui, c'est bien, le scénario tient la route, le film démarre sur les chapeaux de roues, on retrouve des personnages qu'on aime bien et on en découvre d'autres qui s'ajoutent à la liste. Puis bon an mal an, les situations trépidantes ont un air de deja vu dans les épisodes précédent et avec un relent de jeu vidéo pas toujours inspiré et quelque peu essoufflées. Le film souffre de quelques longueurs, certains passages auraient pu facilement eviter pour aller droit au but et eviter un assoupissement qui parfois se fait sentir. Pour la 3D
, je l'ai trouvé un peu plate, est-ce à cause du systeme real 3D moins performant que le systeme Xpand, ou le film manquant de profondeur au niveau images ? Reste que l'animation et la creation des jouets est toujours aussi etonnante voir epoustouflante sur le téléphone de Fisher Price. Mes scènes preférées du film restent celles vers la fin avec Buzz L'éclair se donnant à fond sur de la musique mouille biene mouille biene. Olé. Pouhahahahaha. Et mes jouets préférés dans le film, bah ce sont les petites bonhommes verts à 3 yeux du Pizza Planète emmerveillés devant des grosses pinces et qui dans cet opus prendront enfin toute leur importance.
COTE :
DOG POUND (UGC CC BERCY 16-VOSTF) de Kim Shapiron
Autre film :
SHEITAN :
3 jeunes délinquants se retrouvent au même moment internés dans un centre de detention pour mineurs, pour diverses infractions. A nouveau monde , nouvelles règles, suivant la pesonnalité de chacun, les destins n'en seront que plus differents...
Le sujet du film peu sembler mince, le scenario en est pas moins très bien documenté . Le réalisateur ne cherche pas innover, mais donne un constat sèvère de l'univers carcèral sans esbrouffe, complaisance malgré le deferlement de l'hyper violence sur certaines scènes, l'interdiction aux moins de 12 ans est parfois très limite. ni manicheisme. Les 2 cotés s'opposant dans cet univers y sont représentés avec les difficultés inherentes de chacune des parties. La tension est constamment présente, la violence sournoisement tapis dans l'ombre et ne demandant qu'à éclater. Et quand ça pète, mieux vaut ne pas se trouver là. On en ressort quelque peu abasourdit et avec l'impression de s'être fait cogner soi-même. Les apprentis delinquants devraient en ressortir quelque peu calmés. Oui, les autres aussi.
COTE :
PS : Si vous avez l'intention de voir le film, eviter à tout prix de voir la bande annonce. Celle-ci en dit trop
. Une chance que je l'ai regardé après avoir vu le film.
TAMARA DREWE (UGC CC BERCY 13- VOSTF) de Stephen Frears
Autres films
THE QUEEN :
MADAME HENDERSON PRESENTE :
DIRTY PRETTY THINGS :
HEROS MALGRÉ LUI :
LES ARNAQUEURS :
Dans un cottage dans la campagne anglaise, tout n'est que calme, douceur de vivre, c'est là que se retrie des écrivains pour trouver l'inspiration. Bien entendu, dès les premiers instants on se doute que tout ça va être remis en question, par la revenue d'une jeune fille du cru après s'être fait raccommodée le bout du nez avec un joli fil doré...
Bon bah y'a pas de quoi fouetter un chat de gouttière. Frears s'est empallé sur toute la longueur. Techniquement parlant c'est assez irréprochable, c'est vrai, une belle photographie faisant ressortir toute la platitude de la campgne anglaise toujours aussi belle sous la rosée du matin, une direction d'acteur présente et des comédiens jouant parfatement leur role mais de personnages dont je me suis totalement balancé car je ne les ai pas trouvé interéssants. Les marivaudages culcul la praline d'hommes et de femmes murs s'avèrent être assez bidon dans l'ensemble, entre cocufiage et hystérie. L'humour y est lourdingue, les situations ne faisant guère evoluer les personnages. L'ennui s'installe très rapidement, le mordant que laissait supposer la bande annonce n'y est pas, le flegme et la virulence non plus. Seuls 2 personnages secondaires dont on attendait rien sauvent quelque peu le film, car se sont eux qui font bouger l'ordre établi et nous donnant ce que j'etais venu chercher et piquant par la même occasion la vedette au role titre.
COTE:
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.