Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

[Frehan]

On se demande comment elle fait, Claire, pour obtenir ces informations...

Avec de l'argent, on arrive à tout!

[Sergiot]

On se demande comment elle fait, Claire, pour obtenir ces informations...

Avec de l'argent, on arrive à tout!

Ou confessions sur l'oreiller...

[Ciné Merveilles]

Pour la première semaine du box-office 2020, sept films étaient présentés au public Gérardmerveilleux. Les couteaux s’affûtent déjà chez certaines prod’ pour se placer en pole position. Retour sur ces faits d’armes.



En tête du box-office, L’engagement ultime, sixième et dernier volet de la franchise Sunset Boulevard. Lancé en 2015 par la Pietrantono Production, le Kid de Vegas rassemble un peu plus de 16 millions de spectateurs. Un bon lancement ce qui permet à Sunset Boulevard de cumuler plus de 100 millions d’entrées. Côté critique, on loue un opus au-dessus du reste de la franchise.

Pour le reste des séries A, Pirate Corsaires et Vikings de la Well Walling Production ne rentre pas dans ses frais pour sa première semaine d’exploitation : 15,8 millions de $ de recette pour 17,9 millions de dépense. Un film d’aventure classique, avec une affiche lorgnant sur « les jeux-vidéo », qui ne fait sans doute pas le carton espéré au box-office par la WWP.

Idem pour La clé de la réussite de la Morcar Prod qui plafonne à 14 millions d’entrées (4e place au box-office) malgré des critiques louangeuses et un gros plan de communication. Quand à GISM Bienvenue dans la ville de la Pulsa Pulp’s Production, il souffre de la concurrence de Sunset Boulevard mais réussi tout de même à séduire un peu plus de 15 millions de personne malgré une critique très mitigée à son encontre.

La sulfureuse boîte de prod’ Luxure divise une nouvelle fois les critiques avec Sophia se révolte ! Certains s’offusquent des « fantasmes pornographiques » d’une société qui ne fait que des « films sans intérêts » et « vulgaires ». D’autres au contraire se disent « agréablement surpris » cette fois ci avec un ensemble qui tient la route et pourrait être « marrant (à voir) entre potes ». C’est ce qu’on fait 1,2 million de spectateur qui se sont laissés entraînées dans les aventures teintées d’alcool et de drogue de Sophia Banks.

La nouvelle société de production Nightmare Prod fait une arrivée remarqué chez les critiques, moins par le public. Néanmoins, malgré le caractère « naïf » du projet, d’une histoire « limite improbable », Steal This Album ! est jugé satisfaisant.

Enfin, plantage total pour Revolution 3 de A&M Product’ dont le distributeur n’a trouvé aucune salle pour diffuser ce projet bien mal ficelé !

Pour résumer, une semaine qui a vu une belle affluence dans les salles (75,5 millions d’entrées) grâce à 4 séries A mais sans chef d’œuvre selon les critiques (de 3 à 4 étoiles selon les films)

La semaine prochaine, peu de films dans le calendrier des sorties. Néanmoins, il ne faut pas rater notre coup de cœur : Victor Services-en-tout-genre qui ouvre l’année de la Big Bear Movies

Semaine du 3 au 10 janvier 2010.
7 sorties (4 série A, 1 série B, 2 série Z)
75554 468 entrées

5,7 commentaires en moyenne par films
Critique de 2,9 étoiles en moyenne par films

[Morcar]

Ciné Merveilles a embauché un nouveau talent prometteur en la personne de Claire Pettruciani.
J'aime beaucoup sa vision du box-office ! Vivement la semaine prochaine !

[Ciné Merveilles]

Je ne vous le fait pas dire.

Amicalement.

Claire Pettruciani.

[Ciné Merveilles]

Ari Golan revient sur sa carrière et livre des pistes d’avenir.

C’est un signe qui ne trompe pas. Ari Golan a toujours été un grand professionnel. Or, pour la première fois, une journaliste est conviée à l’interroger dans sa demeure de Mountain Hill et non au siège de la MMP. Annonçant son Autobiographie à paraître prochainement, Ari Golan passe à une autre étape de sa vie. Il ne rempilera pas pour un nouveau mandat de 5 ans en tant que CEO de la MMP. Assis sur la terrasse de sa propriété, Ari Golan se livre à bâtons rompus, n'esquivant aucune question.

Q – Avec 34 films sortis, près de 550 millions d’entrées, la première place au box-office, l’année 2019 fut une belle année pour la MMP. En tant que CEO, quel bilan en faîtes vous ? 2019 s'est bien déroulée pour nous, si l'on excepte bien sûr les catastrophiques inondations dont Cinéjeu Island a fait les frais.

J'ajoute que par rapport à nos objectifs, ces derniers ont été très largement dépassés du fait d'une activité beaucoup plus soutenue que prévue. Nous terminons l'année de fort belle manière avec une première place pour Mercenary qui inaugure notre série de "héros-maison". C'était ma dernière sortie en tant que CEO de MMP.

Justement, Nikolas Morcar évoquait dernièrement « une fort belle manière » de mettre un terme à votre carrière de CEO. Souvent annoncé, jamais expliqué, c’est désormais chose faîte puisque vous refusez de vous représenter. Pourquoi ce choix et pourquoi maintenant ?
J'ai eu 67 ans cette année, voilà pourquoi (rires) ! Je crois qu'il faut savoir prendre un peu de recul, partir sur une bonne note, ne pas postuler pour le mandat de trop... Cinq ans de plus et je me retrouvais à 72 ans à la tête d'un des plus gros studios de cinéma du pays - avec le rythme qu'impose le métier, c'est quelque chose qui n'aurait probablement pas convenu à Madame Golan et à ma propre santé. Je suis aussi un père, un grand-père, j'ai énormément de projets en tête avec ou sans ma famille, mais aucun d'entre eux ne concernent MMP ! (rires)

Trois postulants, au profil très différent, sont en lice pour vous succéder. Pensez-vous que les perspectives de la MMP vont évoluer ? J''avais eu vent de certaines rumeurs… qui se sont finalement avérées vraies. Je connais personnellement Charles (Freeman) et Enzo (Matteo) pour avoir travaillé avec eux au sein de MMP - ces deux-là sont des "tatoués", des durs qui pourront résister à la pression quelle qu'elle soit. J'ai également entendu du bien de M. Warner à l'époque où il officiait chez Great Prod. Il est incontestable qu'une page se tourne mais nous avons fait en sorte avec Charles (Corman, Vice-Président) et Delorès (de V., fondatrice) de préparer le terrain : j'en ai parlé dans la presse, les syndicats étaient prévenus, nous n'avons jamais exagéré la "personnalisation" de l'entreprise à travers ma personne. J'ai demandé à Charles Corman de se mettre plus en avant : vous savez qu'il est à l'origine de nombreux hits de la maison ces dernières années ? Notre plus gros succès 2019 (Division Spade), c'est lui. C'est un scénariste et producteur pragmatique, un bourreau de travail. Quelqu'un qui assurera parfaitement son rôle de "bras droit" du prochain CEO.

Maintenant le nouvel arrivant imprimera sa "patte" à la société mais MMP, ce n'est pas un homme seul en haut de la falaise qui scrute l'horizon face aux embruns, c'est plusieurs milliers d'employés, des dizaines de métiers, une Direction Artistique (dont Charles est issu) qui valide des projets viables, une fondatrice toujours attentive au devenir de "sa" compagnie, un Conseil d'Administration et un encadrement qui travaillent dur… Quel que soit "l'heureux" élu de la semaine prochaine, il saura j'en suis sûr s'intégrer à nos process et même les améliorer.

Personnellement, avez-vous un favori parmi les trois postulants au poste de CEO ?
Vous pensez bien que je m'y attendais à celle-là ! (rires) En tant qu'actionnaire et votant moi-même, je ne peux me prononcer pour des raisons d'équité - ce que vous comprendrez j'espère.

Et artistiquement ?
M. Warner n'a jamais - à ma connaissance - eu à prendre des décisions de nature "artistique", je ne me prononcerai donc pas à ce sujet. Concernant Charles (Freeman) et Enzo (Matteo), ce sont deux très grands artistes qui ont déjà marqué Gérardmerveille et l'histoire de son cinéma de leur empreinte.

Votre autobiographie est annoncée pour bientôt en librairie. Personnage très discret, allez-vous centrer ce livre sur votre travail à la MMP où sur les aspects de votre enfance, de votre vie privée ?
Il sera principalement question de mon parcours, des faubourgs de Tel-Aviv aux dernières semaines… Il reste pas mal de boulot à abattre, je crois que l'annoncer en 2020 était peut-être un peu optimiste. (rires)

Restons dans la sphère familiale. Quel regard portez-vous sur la carrière de votre fille, Rumiko Golan, qui fait aujourd’hui les beaux jours de Gérard Cousin ? C'est un peu délicat (silence). Rumiko est une jeune femme talentueuse qui sait ce qu'elle fait, qui a du caractère et des projets... mais je ne l'ai pas encouragée dans la voie qu'elle a choisie. A tout prendre j'aurais préféré qu'elle commence par le théâtre, histoire de se "roder", puis ensuite le cinéma - mais je dois être un vieux con…servateur à ce sujet (rires). Je ne suis pas à l'origine de son contrat avec la MMP malgré ce que certains ont avancé sans preuve.

Forcément, on ne peut pas éviter les questions sur votre avenir. Vous avez été le concepteur de nombreux personnages voire de scripts pour la MMP, souvent non crédités. Allez-vous dans les prochains mois vous consacrer à un travail d’écriture au sein ou en dehors de la MMP ?
L'ensemble de mes créations est gérée par une société que j'ai créée il y a deux ans, en prévision de ce jour - il s'agit de l'AGCL, un acronyme barbare pour Ari Golan Creative Lab. L'AGCL et MMP sont parvenus à un accord tout récemment sur la propriété de "l'AriVerse" et son exploitation par la major. Pour résumer, MMP pourra utiliser les héros et univers créés par mes soins sous réserve de mon acceptation et droit de regard sur l'intégralité des scripts. Ils ont désormais une "bible" de 300 pages qu'ils devront respecter. Quant aux autres personnages ou scripts hors de ce "multivers" et pour lesquels je n'ai pas été crédité… Disons que ça ne m'empêche pas de dormir - et que c'est un peu la règle du jeu. Business as usual.
Concernant l'écriture (un silence)… Je n'ai jamais cessé d'écrire.
Mon emploi du temps des six prochains mois reste de toute manière chargé : je deviens dès le 1er janvier 2020 "Conseiller Spécial" du nouveau CEO - si ce dernier est élu à cette date - et mon bureau demeurera dans le campus. Du 1er au 30 juin, je donnerai mon avis sur tout et n'importe quoi tout en étant grassement payé pour ça (rires), qu'ils m'écoutent ou non ! Je participerai également à la sortie des derniers films issus de notre programme 2019-2020.
A partir du 1er juillet, je serais libre comme l'air : je souhaite alors travailler sur ma biographie, créer une Fondation pour le Cinéma indépendante qui produirait de jeunes artistes ou aiderait de nouveaux producteurs à se lancer. J'ai en outre l'objectif d'investir du temps et de l'argent au sein d'une compagnie de cinéma existante - et ce n'est pas MMP.

Et est-ce imaginable de voir un jour prochain Ari Golan réalisateur ou même devant la caméra ?
Ô grand jamais ! Moi, réalisateur ?! Devoir gérer des égos alors que j'ai déjà du mal avec le mien - vous n'y pensez pas !!? (rires)

Quoi qu’il en soit, vous serez toujours présent dans le milieu cinématographique. L’année 2020 commence. Quels sont les compagnies, les réalisateurs ou les acteurs que vous allez suivre ? Je reste présent, oui. Je resterai très attentif à la bonne marche des choses au sein de Meuh-Meuh Prods bien sûr, tout en suivant particulièrement cette année le parcours de Well Walling, Pulsa Pulp's, InShadow et Big Bear dont l'arrivée sur la scène a été non moins que spectaculaire. Quelle fut la période où vous avez été le plus heureux à Gérardmerveille ? En tant que CEO de la MMP mais aussi en tant qu’amateur de cinéma ? Chaque période a eu ses grands moments, je ne suis pas nostalgique. Les débuts ont été marqués par un foisonnement qu'on ne retrouvera pas - et c'est logique, tout restait à faire. Chaque producteur, au-delà de la réussite de sa propre compagnie, a cherché à imposer que Gérardmerveille - la plus jeune métropole du cinéma à Cinéjeu Island - était digne de porter le flambeau du Président Lestrade face aux autres cités-états. Je crois que finalement, j'aurais prouvé mon utilité là-dedans (sourire).

[

Une dernière question. Quel est le film dont vous êtes le plus fier d’avoir produit ? Je réponds toujours à cette question "Celui qui n'est pas encore sorti", mais à l'occasion d'un tel entretien ce serait un peu court. De 2005 à 2019, 474 productions sont sorties en salles sous mon autorité, chercher une préférence relève de la gageure. J'avais commencé par faire une liste et puis j'ai vite abandonné en route. Je garde une tendresse particulière pour Hyperborea (2007) et Âme Perdue (2012). Deux sortes d'errance qui aboutissent à une forme d'extase mystique à la fin. Merci infiniment Monsieur Golan. Peut-être un dernier mot à ajouter pour nos lecteurs ? Restez éveillés : ne laissez jamais personne réfléchir pour vous. Jamais. ND - L'interview a été réalisée le 28 décembre 2019, soit avant l'élection d'Enzo Mattéo comme nouveau CEO de la MMP

Claire Pettruciani, Ciné merveilles

[Ciné Merveilles]

Calme plat dans les salles de cinéma cette semaine ? Seulement 58 millions d’entrées (contre 75 la semaine dernière) certes, mais de belles pépites parmi les sorties. Revue de presse.



A la tête du box-office, on trouve Anna et les trois andouilles produit par Misterdada Studio. Malgré des critiques élogieuses et les performantes parfaites des acteurs Sabrina Hagen et Emo Bill, un peu moins de 12 millions d’entrées. Sans doute la faible côte du genre comique parmi le public (9,7% le classe parmi son genre favori) a joué en sa défaveur.

Pour quelques centaines de milliers d’entrées en moins, Defend America V de la Well Walling Production se classe second. Dans cette semaine de grande prestation des acteurs, c’est Daniel Franke qui joue le rôle de Nate qui est plébiscité par la critique. Une critique moins élogieuse sur cette franchise lancé en janvier 2019 et qui compte déjà cinq opus : une saga qui n’est « pas développé au niveau de l’intrigue », qui manque de « contextualisation » et où il y a « des évènements mais sans aucune raison, ni explication. Il y a la guerre et puis c'est tout ».

Dernière sortie de la semaine, Victor Services-en-tout-genre de la Big Bears Movies frôle la barre des 10 millions d’entrées pour une histoire qui est mise en valeur par l’actrice Jessica Altman. Le « film de la semaine » voire « première baffe » cinématographique de 2020 pour certains, d'autres étant trop déboussolé pour un film « barré, indigeste et totalement ‘OVNIesque’.

Enfin, il est a noter qu’en seconde semaine d’exploitation, le sixième épisode de Sunset Boulevard de la PB Productions dépasse les 20 millions d’entrées et devrait dans les prochaines semaines être l’opus qui a enregistré le plus d’entrées.

La semaine prochaine, une semaine qui s’annonce calme dans les box-offices malgré la sortie de 6 films. De nouveaux producteurs se lancent (fritzmante, Jacob Leiter, le plagiaire Kadeos Production) pour des résultats guère satisfaisants (combien seront distribués ?)… Ne ratez pas notre coup de cœur de la semaine : Démons Intérieurs de la Well Walling Production largement en tête des résultats du box-office 2020 avec un peu plus de 27% de part de marché.

Semaine du 11 au 18 janvier 2010.
3 sorties (1 série A, 2 série B)
58 205 640 entrées

5,66 commentaires en moyenne par films
Critique de 3,7 étoiles en moyenne par films

[xerosi]

J'aime beaucoup , les articles que vous faites après chaque sortie de film !

[Misterdada]

L'interview d'Ari est magnifique ! Très réussie. Les autres articles de Miss Pettruciani sont très bons aussi.

[Frehan]

J'aime beaucoup , les articles que vous faites après chaque sortie de film !

L'interview d'Ari est magnifique ! Très réussie. Les autres articles de Miss Pettruciani sont très bons aussi.

C'est aussi mon avis, de l'excellent travail journalistique.

[Morcar]

A la tête du box-office, on trouve Anna et les trois andouilles produit par Misterdada Studio. Malgré des critiques élogieuses et les performantes parfaites des acteurs Sabrina Hagen et Emo Bill, un peu moins de 12 millions d’entrées. Sans doute la faible côte du genre comique parmi le public (9,7% le classe parmi son genre favori) a joué en sa défaveur.

La faible côte de la comédie ?! Elle n'est pas si faible que ça ! Et vu comme La clé de la réussite s'est mieux maintenu cette semaine que les films en tête du box-office la semaine dernière, j'espère pour Misterdada que son film connaîtra le même succès sur la longueur.

[Ciné Merveilles]

Moults projets chez Big Bears Movies. Parmi ceux-ci, une série B historique est en cours de tournage sur l’histoire de l’installation du peuple Inca au sommet du Machu Picchu. Intitulé La cité par-delà les nuages, la réalisation a été confiée à Nicolas Andrews qui n’avait pas tourné depuis plus d’un an. Côté casting, on retrouve Mehdi Ciss qui signe son premier film hors de la Sergiot, Fabrice Fenton et Diane Torres occupant les premiers rôles.

Quatrième superproduction chez PB Productions. Selon nos informations, l’équipe de Bunnet lance Meeks mêlant action, science-fiction et thriller. Sous la houlette de Sergio Castagnetta, on retrouve dans les rôles principaux Samuel Pietrantonio, Hilary Barton, Chris Kemp et la nouvelle actrice Maria Castagnetta. Côté guest star, une dizaine de stars sont annoncés notamment Lily Winding ou François Méthanol.

La DarkMovies2 reprend du service. Selon nos sources, Comment passer de la gastronomie à la nécrologie ?, série A comique, serait en tournage. Malgré tous nos efforts, on n’a pu avoir l’ensemble du casting. Mais nous avons vu sortir des studios Joanna Davis...

Réflexion sur la saison 6 de Lost Shadows. Alors que la saison 5 doit être produite par la PB Production et que tout n’est pas décide, la Morcar Prod s’apprête déjà à réfléchir à une saison 6. Après avoir produits les trois premières saisons, la Morcar aurait approché la réalisatrice Nolwenn Colombier. A suivre.

Claire Pettruciani, Ciné Merveilles.

[Morcar]

OK, donc il va vraiment falloir se méfier de cette Claire Petrucciani

La DarkMovies2 reprend du service. Selon nos sources, Comment passer de la gastronomie à la nécrologie ?, série A comique, serait en tournage. Malgré tous nos efforts, on n’a pu avoir l’ensemble du casting. Mais nous avons vu sortir des studios Joanna Davis...

Le titre donne déjà le ton, et me rappelle d'autres titres de production de DM2. Ca promet en tout cas !

Réflexion sur la saison 6 de Lost Shadows. Alors que la saison 5 doit être produite par la PB Production et que tout n’est pas décide, la Morcar Prod s’apprête déjà à réfléchir à une saison 6. Après avoir produits les trois premières saisons, la Morcar aurait approché la réalisatrice Nolwenn Colombier. A suivre.

Nous qui avions pourtant tout fait pour qu'il n'y ait pas de fuites...
Le tournage de la saison 5 étant terminé, on commence déjà à prospecter pour la 6è et dernière saison.

[Antonio Capelli]

Aimerait bien savoir , d'ou provient toutes ces fuites ?

Pour le moment certaines productions n'ont pas eu de fuite mais pour encore combien de temps ?


Antonio Capelli .

[Ciné Merveilles]

Un box-office en léger retrait (54,7 millions d’entrées) et un duel de démons en tête… Retour sur les évènements de la semaine.



C’est Démons de la forêt de la Pulsa Pulp’s Production qui avec un peu plus de 12 millions d’entrées décroche la timbale. « Film d’horreur bien mené et intriguant » avec une « affiche sublime » pour la majorité des critiques alors que certains regrette un ton un peu trop « teenage-movies ». En tout cas, après GISM, la PPP obtient la seconde place du box-office provisoire 2020 avec 17,7% de part de marché.

Toujours en tête et survolant le box-office provisoire 2020 (28%), la Well Walling Production proposait cette semaine Démons intérieurs qui se classe second (11,4 millions d’entrées). Ce « pur thriller » qui permet enfin la WWP de sortir de son dada, « la fantasy multicolore ».

Troisième sortie remarquée, Umi-hebi de la Big Bear Movies (10,8 millions d’entrées), film d’action qui reçoit la meilleure critique cette semaine (4,5 étoiles) où « l’aventure, l’action, le frisson » sont au rendez-vous ».

Pour le reste, le plagiaire Kadeos production réussit le hold-up avec 6 008 entrées pour Les chiens-zombies à cause (grâce) à un critique aveugle et peut-être corrompu. La Jacob Leiter Production réussit mieux dans le domaine footballistique que dans celui du cinéma : son documentaire n’attirant que 4 584 entrées et accuse un déficit de 165 000 $. Les critiques n’ont pas vraiment compris l’intérêt et surtout la forme de ce documentaire sans affiche et bien court.

La semaine prochaine, c’est la grande semaine du concours Froid. 13 films en programmation… Essentiellement des séries B et Z mais on attend un résultat des box-office record, aux alentours de 110-130 millions d’entrées.

Semaine du 19 au 26 janvier 2010.
3 sorties (3 série B, 3 série Z)
54 739 490entrées

6,6 commentaires en moyenne par films
Critique de 2,9 étoiles en moyenne par films