La création d'ICorp
Magnat de l'industrie vidéo-ludique, Joshua "Josh" Ivrancic est né un simple 27 Juin de l'année 1980, dans la petite ville courtoise de Blšany, en République Tchèque (bien qu'encore sous le régime soviétique à cette époque). Enfant d'un chef d'orchestre tchèque et d'une violoniste croate, et malheureusement trop vite orphelin, il est recueilli par son oncle voyageur et créateur, Matej Ivrancic. C'est en 1990 qu'ils débutent un périple, de Shangaï à Los Angeles, de Rio de Janeiro à Cape Town, découvrant ainsi la beauté du monde. Mais Josh reviendra très vite à la raison en s'intronisant futur physicien et en intégrant la prestigieuse Université technique de Vienne du haut de ses 17 ans.
Mais très vite, c'est un autre secteur en pleine expansion qui va l'intéresser : celui du jeu vidéo. L'intronisation de la 3D, la création de nouvelles technologies encore et encore plus performantes, la popularité croissante de héros bien connus comme Mario, Link ou encore Lara Croft ne le laissera pas indifférent. Plus qu'un fan, il s'intéressera de plus près à l'informatique et très vite, il en maniera les principaux rudiments.
Sa vie change littéralement quand il rencontre un vieux professeur d'économie français, Léon Mailleux, qui lui propose d'entrer à la Sorbonne. Marchant sur ses 20 printemps, il abandonne la physique pour s'atteler à d'autres occupations et en profite pour cultiver sa passion. Très vite, il sort diplôme en poche et - sur les conseils de son oncle - il accepte une offre d'une entreprise pétrolière russe.
Bien évidemment, il se lasse assez vite de la vie tranquille et inintéressante qu'il mène à Moscou. La mort de son oncle, en 2010, le libère de ses obligations. Après près de cinq ans de bons et loyaux services, il quitte la Russie et part au Canada. Ubisoft, Bioware, même Square Enix... Les meilleurs sont là-bas et il veut tenter sa chance. Toutefois, il commence en bas de l'échelle et ce n'est que fin 2012 qu'il rejoint la société novatrice "Homeric Std". 2 ans plus tard, il sort Blackout™, un jeu apocalyptique où le héros doit parcourir un monde enflammé tout en faisant ses propres choix. Conscient de son succès, le jeune homme d'affaires profitent de ses connaissances et de ses économies pour fonder, en 2016, sa propre entreprise : Ivrancic Corporation, dit "ICorp". (...)
L'intérêt pour Gerardmerveille
Influencé dès l'adolescence par différentes sortes de films et de festivals, Josh Ivrancic a toujours su gardé un œil sur les studios qui rythmaient et rythment toujours les cœurs hollywoodiens. Dix ans après la création de sa société, la pointure du jeu vidéo souhaite alors se diversifier et a récemment acheté quelques studios. Ambitieux mais pas aveugle, loin de rattraper Morcard, Nanoya et autres Gerard Cousin, il a cependant bon espoir de percer dans le milieu.
En cette année 2026, les rumeurs vont bon trains et ICorp Pictures semble avoir plusieurs projets dans les boites pour les semaines et mois à venir. Et qui sait, sans égaler les chefs d’œuvre ou autres blockbusters, peut-être fera t-il de ses propres jeux de bonnes adaptations, ruinant ainsi un cliché ? On l'espère ; bien qu'il ait d'abord démenti cette idée. Ses films seraient donc des œuvres originales. Une chose est certaine : on attend de voir !
Et derrière "monsieur" Ivrancic ?
Bon, outre la petite histoire qui sert d'introduction, je dois avouer que ce n'est pas la première fois que je débarque sur Cinejeu. Peut-être que quelques membres m'ont connus : j'étais Triangular et j'avais fais un bref passage il y a de ça... trois ans ? J'ai préféré faire un nouveau compte afin de ne pas créer de confusion, mais j'étais quand même étonné de constater que mon départ avait été remarqué. A ma souvenance, je n'avais pas eu le temps de faire grand chose (sauf de belles affiches, j'en conviens). Pourquoi être parti ? C'est une longue histoire. Manque de temps, manque d'envie, manque d'imagination. Mais ça a changé et j'espère rester plus longtemps que la dernière fois !
Sur ce, je vais m'atteler à mon premier film et peut-être aller glaner un peu plus de budget pour la forme.