Ciné Merveilles - Premier magazine Ciné de Gérardmerveille

[mikl12]

je parlais pour l'ensemble des productions, pas que nous ^^

[Morcar]

OK.
Mais pour bien comparer il aurait fallu garder les chiffres du premier trimestre 2028. L'année dernière, ça avait démarré très fort aussi. Les 6 premiers mois même étaient assez bons. C'est le second semestre qui l'a été moins.

[Ciné Merveilles]

Le futur projet de Sean Williamson
En dix-sept ans, il n'a écrit que six scénarii, mais a rapporté déjà deux statuettes des GM Awards. On lui doit les comédies les plus déjantées de Morcar Prod, pourtant il se décrit lui-même comme quelqu'un de très sérieux, trop même. Alors que son dernier film, Barbie Winter à l'école des princesses, remporte un énorme succès en salles avec 22,6 millions d'entrées vendues en deux semaines, Sean Williamson pense déjà à son prochain projet, mais préfère comme à chaque fois prendre tout son temps pour l'écrire.
Après avoir parodié "Star Wars" dans Star Ouarzazate, les films fantastiques tels que "Harry Potter" et "Twilight" dans Ari Plotteur et la Croupe de Feu, les films d'action/prise d'otage dans 58 min dans le Piège de plexiglas de la Banque 123, ou dernièrement les films pour ados et les contes de fée dans Barbie Winter à l'école des princesses, quelle sera la prochaine victime du scénariste ?
Ciné Merveilles est allé à sa rencontre pour tenter d'en apprendre plus sur ce scénariste très discret, et sur ses futurs projets.

Ciné Merveilles : Sean Williamson, bonjour. Votre dernier film remporte encore un gros succès. Quelle est selon vous la recette du succès ? Sean Williamson : S'il y en avait une, on le saurait. Et dans ce cas on n'aurait jamais fait "58 minutes..." J'imagine des films qui m'amusent, en espérant que ça amusera aussi le public, rien de plus. Ciné Merveilles : Vous écrivez des films que vous êtes le seul à faire chez Morcar Prod. Ne pensez-vous pas que vous auriez plus votre place par exemple chez Divine Mouvize ? Sean Williamson : Je suis un grand fan des films Divine

Mouvize, mais je ne pense aucun cas réussir à les égaler. Les films Divine Mouvize sont totalement décomplexés, complètement déjantés. Les miens ne leur arrivent pas à la cheville. Je pense que je me sentirais bien dépassé si je travaillais pour cette production.

Ciné Merveilles : Ne pensez-vous pas que vous pourriez justement vous lâcher d'avantage en travaillant pour cette production ?

Sean Williamson : Peut-être, qui sait ? Mais j'ai déjà une quasi-totale liberté chez Morcar Prod. C'est très rare que la production me demande de revoir un passage d'un de mes scénario car ils pensent que je suis allé trop loin. Ce serait mentir de vous dire que ça n'est jamais arrivé, mais ça reste de rares cas.
Plutôt que de quitter Morcar Prod pour aller travailler chez Divine Mouvize, je préférerais co-écrire un film avec les scénaristes de chez eux, par exemple. Ils pourraient sans doute m'apporter beaucoup.

Ciné Merveilles : Vous semblez particulièrement aimer prendre les recettes de grands succès hollywodiens pour les démonter dans vos films. Pourquoi ne vous en prenez-vous pas aux films de Gérardmerveille ?

Sean Williamson : J'ai un projet qui traîne depuis des années, s'attaquant aux films d'horreur, et dans lequel je voulais m'en prendre à des franchises comme "Mardi Gras" ou "Butcher". Mais pour le moment, le projet n'avance pas beaucoup.

Ciné Merveilles : Sur quel projet travaillez-vous actuellement, maintenant que "Barbie Winter" est sorti en salles ? Sean Williamson : J'ai une idée de film, mais je préfère toujours attendre un moment après la sortie d'un précédent film avant de me relancer dans l'écriture. Mais mon prochain film devrait sans doute s'en prendre cette fois-ci aux films catastrophe. Ce n'est pour le moment qu'une idée de projet, quelques bribes d'idées de personnages etc... mais d'ici quelques mois je pense commencer à me pencher dessus. Ciné Merveilles : Après le succès de "Barbie Winter", Morcar Prod n'hésitera sans doute pas à vous accorder encore un budget de superproduction. Qu'en pensez-vous ? Sean Williamson : Je laisse ces choix à la production. Quand j'écris un film, je ne réfléchis pas au budget qui lui sera accordé. C'est la production qui gère ce genre de détails. Pour "Barbie Winter", ils ont décidé d'embaucher un casting monstrueux pour représenter tous les

personnages de mon film, et lui ont donc accordé un budget monstre. Mais le film aurait tout aussi bien pu se faire sans tout ça.

Ciné Merveilles : Vous semblez penser certains rôles pour des acteurs ou actrices en particulier pourtant.

Sean Williamson : C'est le cas souvent pour les premiers rôles, oui. "58 minutes..." a été écrit pour Johanna Travlotta, et dans "Barbie Winter" j'avais effectivement l'idée de certaines actrices pour interprêter des princesses. Mais je ne m'occupe pas du casting, pour ça aussi je laisse la production s'en charger.

Ciné Merveilles : Vos trois premiers films se sont enchaînés en 2012, 2013 et 2014. Depuis vos autres films sortent de manière plus espacée, en 2018, 2022 et 2029. Doit on attendre votre prochain film pour 2035 au plus tôt ?

Sean Williamson : (rires) Cela dépendra de mon inspiration. Mais je me sens inspiré et j'espère proposer mon prochain film à Morcar Prod bien avant ça.

Ciné Merveilles : Merci beaucoup d'avoir répondu à nos questions. Et on espère à très bientôt !

[SadMo Prod]

Bonne interview !

[Ciné Merveilles]

Bientôt les 2,6 milliards d'entrées ?
Au terme du premier semestre 2028, les résultats laissaient espérer un nombre total d'entrées de cinéma vendues dépassant les 2,6 milliards sur l'année, un chiffre qui ne fut finalement pas atteint au terme de l'année après un second semestre moins actif. Mais en ce début d'année 2029, l'activité a de nouveau repris comme l'année précédente, puisque déjà près de 864 millions d'entrées ont été vendues en l'espace de quatre mois. A ce rythme, on peut espérer approcher des 2,6 milliards manqués l'année dernière, si jamais l'activité s'accélérait quelques peu.
Tout du moins pour le moment, l'activité cinématographique en 2029 est aussi bonne que celle de l'année 2028. Le cinéma de Gérardmerveille peine donc toujours à se relancer, mais se maintient malgré tout.

[Ciné Merveilles]

L'Administration de l'EGAS (École Gérardmerveilleuse d'Apprentissage du Scénario) cherche actuellement à recruter des scénaristes pour enseigner leur discipline aux futurs étudiants. L'école recherche des scénaristes oeuvrant dans le cinéma et/la télévision. Vous pouvez envoyer les candidatures des scénaristes que vous gérez si vous souhaitez qu'ils intègre cette nouvelle école en envoyant un mp à "Digital FM" qui se chargera de faire circuler les candidatures.

[Ciné Merveilles]

Vers une nouvelle récession du cinéma gérardmerveilleux ?
Alors que la fréquentation des salles de Gérardmerveille grimpait chaque année depuis 2025, l'année 2029 pourrait bien voir de nouveau les chiffres du cinéma de la ville dégringoler. Le premier trimestre de l'année était pourtant prometteur, laissant espérer voir les chiffres annuels dépasser le seuil des 2,5 milliards d'entrées qui n'avaient pas été atteint encore l'année dernière (seuil symbolique des débuts de l'activité du cinéma dans la ville), mais malgré le concours organisé il y a peu, le second trimestre à quand à lui était beaucoup moins bon en terme d'entrées vendues dans les salles de cinéma de la ville.


Après bientôt six mois d'activité, le cinéma gérardmerveilleux n'a attiré dans les salles qu'un peu plus d'un milliards de spectateurs, un résultat décevant au regard du premier trimstre 2029. Si le second semestre n'était pas meilleur, ce sont à peine 2,1 milliards d'entrées qui seraient donc vendues cette année, soit un tiers de moins que la moyenne de fréquentation des salles depuis 2005. Le cinéma de Gérardmerveille reviendrait alors au niveau de 2025, à l'époque de la crise que traversait l'activité de la ville, soit les plus bas résultats qu'elle ait connue.

Alors que l'absence de certaines grosses société de production pourrait permettre à de plus jeunes sociétés de profiter de l'occasion pour grapiller des parts de marché, Gérard Cousin Prod reste présent dans le Top 5 de Gérardmerveille avec seulement 5 films sortis dans les salles en près de six mois, et Boost Films Production avec seulement 6 films, dont les cinq épisodes de son serial, preuve que l'activité cinématographique de la ville reste très faible et que Gérardmerveille ne parvient pas à trouver de nouvelles productions capables de remplacer les plus anciennes lorsque celles-ci se font plus absentes.

[Paul Birdnam]

Des données intéressantes. L'année commençait pourtant plutôt bien c'est vrai. Dommage que les nouvelles sociétés ne tirent pas suffisamment leurs épingles du jeu car c'est le moment ou jamais ^^

[Vivien Guards]

Pour le coup c'est la faute aux genres. Carrément mal répartis ! On est obligé de produire comédies ou films sentimentales pour que ça marche.
On a produit pas mal de films mais vu comme on est très sci-fi / thriller / fantastique / policier, et que tout ça était plus ou moins démodé, on a pas arrêté de flopper :(

[Erbaf]

Pour le coup c'est la faute aux genres. Carrément mal répartis ! On est obligé de produire comédies ou films sentimentales pour que ça marche.
On a produit pas mal de films mais vu comme on est très sci-fi / thriller / fantastique / policier, et que tout ça était plus ou moins démodé, on a pas arrêté de flopper

A toi de produire des films que le public souhaite aussi.
C'est un peu le but du jeu

Moi, je produis de tout.

[Vivien Guards]

A toi de produire des films que le public souhaite aussi.
C'est un peu le but du jeu

Moi, je produis de tout.

Je fais pas du tout le jeu dans le but de gagner des sous virtuels pour être franc Je produit des films qui me plaisent, quand j'en ai envie, je m'impose pas de contraintes de genre. Les seuls contraintes que je m'impose c'est pour lancer des acteurs, un film que je dois écrire le plus rapidement possible. Sinon je ne joue ni en fonction des genres ni en fonction du profit !

[Paul Birdnam]

Moi, je produis(ais) de tout.

Nuance.

Je suis taquin huh huh huh

[Erbaf]

Je fais pas du tout le jeu dans le but de gagner des sous virtuels pour être franc Je produit des films qui me plaisent, quand j'en ai envie, je m'impose pas de contraintes de genre. Les seuls contraintes que je m'impose c'est pour lancer des acteurs, un film que je dois écrire le plus rapidement possible. Sinon je ne joue ni en fonction des genres ni en fonction du profit !

Moi aussi, je jouais (hein Paul ) exactement de la même manière que toi. Mais dans ce que tu disais auparavant, tu disais que les genres n'étaient pas ce que tu préférais et qu'il y avait moins de monde dans les salles. Justement, pour qu'il y ait du monde, il faut produire ce qu'ils veulent.
C'est comme ça que ça marche, je ne parlais pas de profit.

Moi, je produis(ais) de tout.

Nuance.

Je suis taquin huh huh huh

Je te crotte.

[Vivien Guards]

Je veux juste dire que contrairement à d'habitude, tous les genres que je n'aime pas - pour ma part - sont à la mode. Et des genres assez régulièrement utilisés sont démodés. Je pense que ça joue beaucoup ;-)
(et ça aussi handicapé le concours Voyage dans le Temps puisque la scifi était démodé)

[Morcar]

Les chiffres annuels actuels (sur 7 mois), rapportés sur 12 mois, donnent une estimation de nombre annuel d'entrées vendues de 2,17 milliards. C'est donc la dégringolade...