L'argent appelle l'argent, point.
La majorité des sorties sont des reboot, films de franchise, adaptations. On peut apprécier la qualité des reboot, mais je regrette le manque de nouveautés.
Je l'ai particulièrement senti en découvrant Interstellar hier soir qui, lui, est une "nouveauté". Ou en tout cas, je n'ai rien vu de tel depuis très longtemps... Malgré sa longueur, ses incohérences et son happy end, il est allé là où les films ne vont plus : jusqu'aux limites qu'espérait l'imagination. A chaque instant du film, mon imagination espérait "plus" et l'obtenait. Si les réponses offertes dans le film ne sont pas forcément satisfaisantes, j'admire le fait que ce soit allé jusque-là. Avec ces défauts, mais ses gigantesques qualités, ce film se positionne au sommet de tout ce que j'ai vu à ce jour. J'ai eu les mêmes sensations de plaisir et de découverte qu'avec 2001 l'odysée de l'espace.
Je crois que ce sentiment est exacerbé par cette absence de nouveauté dans laquelle s'inscrit Interstellar.