Les Coulisses de Misterdada Studio 2.0

Re: Les Coulisses de Misterdada Studio 2.0

Message par Morcar » Ven Oct 11, 2024 23:30

Malheureusement, malgré le petit renouveau qu'il y a eu il y a peu, on voit bien que l'implication des joueurs (et je me mets dedans) n'est plus la même. Ca n'arrive pas à reprendre, et chacun de ceux qui étaient revenus a tout aussi vite disparu.
On n'est plus que trois ou quatre à discuter à nouveau sur le forum. C'est bien le signe de quelque chose. Ca aura été un renouveau éphémère... :(
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Re: Les Coulisses de Misterdada Studio 2.0

Message par Misterdada Studio » Mer Oct 30, 2024 7:33

Sous le Soleil des Murmures
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Sortie prévue : 31 mars 2068

Initialement attendu pour septembre 2067 dans le cadre d’un festival d’été annulé, Sous le Soleil des Murmures, réalisé par Hugo Arroy, explore des thèmes aussi profonds que dérangeants, dans le cadre sublime d’une île où la beauté naturelle dissimule des émotions complexes. Avec un casting talentueux mené par Kofi Anokye, Anastasia Fielding, Abdelkader Bouchra, Akyaama Nafissa, et la participation exceptionnelle de Naomi Masuda et Barry Landowski, le film nous entraîne dans les méandres des relations humaines : secrets, amours impossibles et dépendances masquées.

Interview avec Hugo Arroy, réalisateur de Sous le Soleil des Murmures :

Comment avez-vous imaginé l’atmosphère particulière de ce film ?
"L’île est en réalité un personnage à part entière. Ses plages, ses falaises et ses nuits étoilées amplifient le contraste entre la beauté extérieure et les troubles intérieurs des personnages. J’ai voulu que l’ambiance de l’île soit le reflet des tensions qui bouillonnent sous la surface."

Quelle est la place de la musique de Miles Jablonsky dans le film ?
"La musique est primordiale dans Sous le Soleil des Murmures. Miles Jablonsky a composé une bande sonore mélancolique qui accompagne les personnages comme une ombre. Ses notes subtiles créent un rythme émotionnel qui rend chaque scène encore plus percutante."

Que ressentez-vous à l’idée de présenter ce film au public ?
"C’est un film d’émotions brutes, de vérités difficiles à admettre. Les personnages nous montrent ce que l’on cherche souvent à cacher. J’espère que le public se sentira connecté à leurs luttes, à leur quête de liberté et de compréhension dans ce monde parfois écrasant."

Ce film a vu le jour grâce au scénario de Virginia Kosma et Tamara Berger. Quel a été leur apport à l’histoire ?
"Virginia et Tamara ont su écrire une histoire d’une rare intensité, où chaque émotion est finement tissée et chaque silence a un sens. Leur capacité à aborder les relations humaines avec tant de nuances a été cruciale dans la création de ce drame complexe. Leur vision a guidé tout le processus de réalisation, et j’ai eu la chance de pouvoir collaborer avec elles pour enrichir encore chaque personnage et chaque interaction."

Après l’annulation du festival initial, qu’attendez-vous de cette sortie ?
"La préparation pour Gérardmerveille s’est faite avec encore plus de passion. L’annulation a été une déception, mais elle nous a aussi permis d’enrichir l’œuvre. J’espère que cette version affinée touchera le public et lui permettra de ressentir pleinement la profondeur des personnages et de leurs conflits."

Interview réalisée par Lou Hunter, pour le magasine "Brumes et Étreintes".
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Prévu pour sa grande première le 31 mars 2068, Sous le Soleil des Murmures d’Hugo Arroy est un voyage poignant dans les méandres de l’âme humaine. Entre amours secrètes, passions destructrices et espoirs tenaces, ce drame promet de captiver par sa sincérité, sa beauté visuelle et la puissance de ses silences.
N'hésitez pas à voter et commenter.
Laura Wilson, président - directrice générale.
Quentin McHugh, directeur artistique.
Malika Ateya, attachée de presse.
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Re: Les Coulisses de Misterdada Studio 2.0

Message par PITBULL » Mer Oct 30, 2024 11:52

J'adore les interviews que tu fais avant la sortie de tes films :D
C'est vrai que ce film on l'imagine à l'écran avec une atmosphère de mélancolie ! On le ressent bien à la lecture. :)
Kelvin Pitbull, PDG de la Pitbull Production ainsi que fondateur et PDG de la Pitbull Production GM
Le Cinéma, un univers passionnant, une passion tout simplement !
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Re: Les Coulisses de Misterdada Studio 2.0

Message par Misterdada Studio » Jeu Nov 14, 2024 23:51

Interview exclusive avec l'équipe complète de Olivier et ses oliviers - l'une des meilleures comédie de Misterdada Studio !

A l'occasion de la sortie tant attendue de cette comédie, les membres du film se sont retrouvés pour une interview exceptionnelle avec Rires en Bobines, le magasine référence pour les comédies cinélandaises.

Léo Chastel : Bonjour à tous ! Merci d’être là. C’est un plaisir de vous rencontrer pour discuter de "Olivier et ses oliviers". Alors, une comédie au cœur d’un bureau, avec des oliviers en vedette... Il fallait oser ! Hugo, en tant que réalisateur, d’où vous est venue cette idée ?
Hugo Arroy : Merci, Léo ! C’est un plaisir d’être ici. En fait, tout a commencé lors d’un déjeuner entre amis. On discutait des situations absurdes qu’on peut vivre au travail, et je me suis souvenu d’un collègue qui s’était fixé une obsession étrange : placer des cactus partout dans les bureaux. Ça m’a inspiré pour cette idée de "projet oliviers", mais avec un personnage principal encore plus décalé, comme Olivier.

Léo Chastel : Et pour interpréter ce fameux Olivier, vous avez choisi Haruo Seasong, connu pour sa prestation dans "Reboot". Haruo, comment avez-vous abordé ce rôle ?
Haruo Seasong : Oh, c’était un vrai défi ! Dans "Reboot", je jouais un personnage ingrat qui savait exactement ce qu’il faisait, même dans les situations les plus absurdes. Ici, Olivier est tout le contraire ! Il est un peu perdu, plein de bonnes intentions mais… disons qu’il a son propre style. Et puis, c’est la première fois que je devais "offrir un olivier en pot" en pensant que c’était romantique. C’était hilarant à jouer !
Naomi Masuda : (riant) Oui, et tu t’es tellement investi dans ce geste qu’on aurait dit que tu croyais vraiment à la symbolique des oliviers ! On a dû refaire la scène quatre ou cinq fois parce que tu éclatais de rire à chaque prise.
Haruo Seasong : Mais Naomi, avoue que toi aussi, tu avais du mal à garder ton sérieux !
Naomi Masuda : Totalement ! Aiko, mon personnage, est censée être la voix de la raison pour Olivier, mais avec Haruo en face de moi jouant ce type complètement largué, c’était impossible de rester sérieuse.

Léo Chastel : Antonio, en parlant de garder son sérieux… Vous interprétez Gustave Gabriel, le patron un peu "spécial". Vous vous êtes inspiré de quelqu’un pour ce rôle ?
Antonio del Monte : (souriant) Disons que j’ai eu quelques "modèles" dans ma vie professionnelle ! Gustave est l’archétype du patron qui a toujours une "grande idée"… sauf que ses idées sont parfois totalement déconnectées de la réalité. C’était un rôle super amusant parce que Gustave croit vraiment qu’Olivier est un génie. À chaque scène, je devais jouer cette admiration démesurée. En fait, il voit en Olivier un peu de lui-même, je pense.
Naomie Corner : C’est vrai ! Et d’ailleurs, dans la scène où Gustave annonce le projet des oliviers miniatures, Antonio était tellement dans le rôle qu’il a improvisé une tirade sur "l’importance des petits arbres dans la culture d’entreprise". Ça a pris tout le monde de court.
Hugo Arroy : Oui, cette scène n’était même pas dans le script original ! Mais Antonio, vous avez ajouté un truc magique à ce moment. C’est devenu l’une des scènes préférées de l’équipe.

Léo Chastel : Naomie, de votre côté, vous jouez Jessica, une collègue de bureau qui attire l’attention d’Olivier. Comment avez-vous travaillé sur ce rôle ?
Naomie Corner : Jessica est un personnage qui observe beaucoup, elle sait exactement ce qui se passe dans le bureau. Elle a ce mélange d’amusement et de bienveillance envers Olivier. Elle le trouve maladroit, mais c’est aussi ce qui la touche chez lui. Ce qui m’a aidée, c’est que Jessica est un peu comme moi dans la vraie vie, donc c’était assez naturel. Sauf pour la scène où Olivier m’offre l’olivier en pot… Là, j’ai dû m’accrocher pour ne pas rire, surtout avec Haruo si convaincu !
Haruo Seasong : Ah oui, et toi, tu as été la première à éclater de rire quand je t’ai dit "C’est symbolique, tu vois ? Un Olivier qui offre un olivier !"
Naomi Masuda : Oh, et quand Jessica répond "Très symbolique, en effet" avec ce petit sourire… On voyait que tu luttais pour rester sérieuse, Naomie.

Léo Chastel : Nathan Brook, en tant que compositeur, c’est un vrai virage après vos bandes-son pour "Vendetta Héréditaire" et "Nuit Profonde". Qu’est-ce qui vous a attiré dans ce projet de comédie ?
Nathan Brook : C’était justement ce changement radical de ton qui m’a motivé ! On est dans une comédie décalée, donc j’ai pu m’amuser avec des thèmes légers, presque naïfs, qui contrastent avec le sérieux des films d’horreur. Pour Gustave Gabriel, j’ai utilisé un thème presque héroïque, comme s’il partait sauver le monde chaque fois qu’il hurle "Olivriiiiiii !" Ça apporte un côté ironique qui colle bien au film.
Antonio del Monte : Et ce thème, Nathan, c’est un vrai bijou ! Chaque fois que je le jouais, je sentais que j’étais dans une grande épopée, alors qu’en réalité, je faisais juste courir tout le bureau à la recherche d’Olivier !

Léo Chastel : (riant) Hugo, en tant que réalisateur, qu’espérez-vous que le public retienne de cette comédie ?
Hugo Arroy : Je voudrais que le public ressorte en se disant que, peu importe à quel point une situation semble absurde, il y a toujours de la beauté et de l’humanité dedans. Olivier est maladroit, mais il a un cœur énorme. Et même Gustave, avec toutes ses idées folles, croit sincèrement en lui. J’espère que les spectateurs riront et trouveront une part d’eux-mêmes dans ces personnages décalés.

Léo Chastel : Avant de se quitter, j’aimerais en savoir un peu plus sur vos parcours, Naomie et Haruo. Vous avez tous les deux rejoint Olivier et ses oliviers après avoir travaillé pour Morcar Prod. Parlez-nous de vos débuts dans cette industrie.
Naomie Corner : Ah, ça, c’était une aventure ! J’ai commencé avec Morcar Prod sur "Heart of Abyss", un film d’animation intense qui demandait beaucoup d’investissement émotionnel. Jouer dans un univers fantastique, même en animation, c’était magique. On passe de l’ombre à la lumière, on interprète des scènes très intenses… Et pourtant, c’était un rôle où mon visage n’apparaissait pas à l’écran ! Ensuite, j’ai eu la chance de jouer dans un épisode de Lost Shadows, et c’était quelque chose. Surtout que le dernier épisode n’est toujours pas sorti ! Les fans attendent avec impatience, et moi aussi d’ailleurs.
Hugo Arroy : Naomie, pour quelqu’un qui a débuté en animation, tu as une présence incroyable à l’écran. Dès les premiers essais pour le rôle de Jessica, c’était comme si tu comprenais son caractère. On savait que tu étais la bonne personne.
Naomie Corner : Merci, Hugo ! C’est vrai que Heart of Abyss m’a permis de développer cette capacité à incarner des émotions fortes, même quand on ne voit pas directement le visage de mon personnage. Dans Olivier et ses oliviers, ce qui était différent, c’était ce mélange d’humour et de légèreté, avec un côté beaucoup plus humain.

Léo Chastel : Et vous, Haruo ? Avant de briller dans le rôle d’Olivier, vous aviez marqué les esprits avec "Reboot", un mockumentaire méta. Qu’est-ce qui vous a attiré dans un projet aussi décalé ?
Haruo Seasong : Oh, "Reboot" a été une expérience incroyable ! Le concept du mockumentaire me permettait de briser le quatrième mur et d'interagir directement avec le public. C’était intense et en même temps très libérateur. J’y jouais un personnage qui, malgré les situations absurdes, savait exactement ce qu’il faisait. C’était amusant, car dans "Reboot", je pouvais jouer avec cette conscience, un peu comme si je guidais les spectateurs dans une mise en abyme.
Antonio del Monte : (riant) Oui, et c’est ça qui rend ton passage à Olivier et ses oliviers encore plus drôle ! Passer de quelqu’un qui sait tout à quelqu’un qui ne sait jamais vraiment ce qu’il fait, c’est un virage à 180 degrés !
Haruo Seasong : Exactement, Antonio ! Et c’est ce qui m’a plu dans le rôle d’Olivier. Dans Reboot, mon personnage avait tout sous contrôle, même dans le chaos. Ici, avec Olivier, c’est tout l’inverse. Il est sincèrement perdu dans un monde qu’il ne comprend pas, et cette innocence, cette maladresse… c’était une facette que je n’avais jamais explorée à l’écran.
Naomi Masuda : D’ailleurs, Haruo, tu te rappelles de la première scène qu’on a tournée ensemble, quand Aiko doit encourager Olivier à aller parler à Jessica ? Tu étais tellement nerveux… comme si tu étais Olivier en personne !
Haruo Seasong : (riant) Oui, j’avoue ! Je voulais vraiment que ça paraisse authentique, donc j’ai essayé d’entrer dans la tête d’Olivier. J’étais nerveux comme lui, mais c’était parfait pour le rôle.

Léo Chastel : Naomie, comment cette transition vers la comédie s’est-elle faite pour vous ? Est-ce que ça a été difficile de passer d’un drame intense à une comédie légère ?
Naomie Corner : C’était un vrai défi, mais dans le bon sens ! Dans les drames comme "Heart of Abyss", chaque émotion est poussée à l’extrême, on cherche à toucher des profondeurs. Avec Olivier et ses oliviers, l’objectif était de capturer cette légèreté et cette spontanéité propres aux relations humaines. La comédie demande une synchronisation parfaite, il faut savoir jouer sur les silences, les regards, et même les erreurs deviennent des opportunités. C’était vraiment une expérience enrichissante.
Antonio del Monte : Et il y a eu cette scène où tu devais garder un visage sérieux face à Haruo quand il t’offre l’olivier. Naomie, tu étais incroyable, même si on voyait que tu te retenais de rire !
Naomie Corner : (riant) Oui, c’était l’une des scènes les plus difficiles ! Haruo était tellement dans son rôle d’amoureux maladroit que je ne pouvais pas m’empêcher de rire entre les prises. On a dû recommencer plusieurs fois !
Haruo Seasong : C’était peut-être la scène la plus comique qu’on ait tournée. C’est fou, parfois les choses les plus simples deviennent les plus compliquées sur un tournage de comédie !

Léo Chastel : Nathan, avez-vous des souvenirs de cette transition vers la comédie ? Comment avez-vous adapté votre style musical pour un film aussi différent de vos précédents ?
Nathan Brook : J’ai dû abandonner toute la noirceur de "Vendetta Héréditaire" et "Nuit Profonde" pour quelque chose de beaucoup plus léger et enjoué. C’était un retour aux sources, quelque chose de plus pur. Et je savais que les thèmes devaient être simples mais marquants, comme ce fameux "thème de Gustave Gabriel" qui revient chaque fois qu’il entre en scène en mode "sauveur".
Naomie Corner : Ah, mais Nathan, ton thème pour Gustave est juste parfait ! À chaque fois qu’Antonio entre en scène avec cet air triomphal, c’est magique.
Antonio del Monte : Oui, Nathan, ce thème est devenu presque un personnage à part entière ! Je pense que je devrais l’utiliser dans la vraie vie chaque fois que je passe une porte.

Léo Chastel : (riant) On dirait que le tournage a vraiment renforcé vos liens ! Vous vous taquinez tous entre vous, c’est beau à voir. Pour conclure, qu’espérez-vous tous transmettre au public avec Olivier et ses oliviers ?
Naomi Masuda : Je pense que ce film nous rappelle l’importance des petites choses, même dans un bureau. L’humour est un moyen de se reconnecter les uns aux autres.
Haruo Seasong : Oui, exactement. Olivier, malgré ses maladresses, a un cœur énorme, et j’espère que le public ressentira cette tendresse qu’on a essayé d’apporter au personnage.
Naomie Corner : Et peut-être que, comme Jessica, le public trouvera une certaine beauté dans la maladresse et la sincérité d’Olivier. Parfois, ce sont les imperfections qui rendent les choses vraiment touchantes.
Antonio del Monte : Pour ma part, j’espère juste que les spectateurs auront autant de plaisir à regarder ce film que nous en avons eu à le tourner. Avec toute l’énergie de Gustave, évidemment !

Léo Chastel : Merci à vous tous pour cette conversation passionnante et pleine d’humour. Olivier et ses oliviers sort le 30 juin 2068 à Gérardmerveille. On a hâte de voir ce que ça donne !
Interview de Léo Chastel pour le magasine Rires en Bobines.


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