La vitrine de JK Entertainment (Groupe Jetto Productions)

[Jetto Productions]

Sortie honorable pour notre enquête de Jérôme sans Jérôme qui est largement bénéficiaire dès sa première semaine.

A venir pour Noël, une comédie un peu désabusée sur les joies du cyber-terrain de jeu des petits et des grands enfants. Vous avez commandé un nouveau titre multi-joueur au barbu en rouge ? Ce film est pour vous :

Recherche Mandrake, urgent.

Ce film a été tourné il y a déjà quelques mois, vous y retrouverez avec une certaine émotion Virginia Lillard la brune qui révéla un immense talent dans Spasmophilie et La fille du sabotier avant de mettre un terme prématurée à sa carrière sur grand écran dès la fin du contrat que nous lui avions fait signer. Cette passionnée de théâtre nous livre ici une excellente dernière prestation cinématographique.

[Jetto Productions]

EDIT : message effacé par l'auteur

[Daigoro]

Difficile de dire pour l'instant à quel genre appartient ton film à la lecture d'une scène, bien glauque soit dit en passant (m'a rappelé Necromantik, brrrr...).
Tout dépend de ce qu'il y aura derrière, une enquête, avec des flics bien caractérisés, dans le genre Seven, qui vont tout faire pour coincer le tueur ? Dans ce cas, oui, c'est un thriller, la traque, l'enquête, les victimes à protéger, etc..., étant les moteurs d'un certain suspense.
Mais si tu abordes ton histoire uniquement du point de vue du meurtrier, ce que j'ai l'impression que tu vas faire, un peu comme dans l'excellent Henry, portrait of a serial killer, alors je pencherais davantage pour le drame sordide, voire l'horreur pure, mais pas dans le sens épouvante du terme...

[Jetto Productions]

...une scène, bien glauque soit dit en passant...

Mouais, c'est vrai que c'est glauque, sans doute trop pour cinejeu. Je l'enlève, je ferai un truc plus soft.

[Daigoro]

Mais non, laisse là, elle est terrible cette scène ! Au moins, elle provoque des émotions...

[Jérémie Walken]

Mais non, laisse là, elle est terrible cette scène ! Au moins, elle provoque des émotions...

+1

[Jetto Productions]

Bouarf, je vous le remets mais pas convaincu. Ca tranche franchement avec ce que j'ai fait jusque là. J'ai rajouté un avertissement (pour ce que ça sert ) et édulcorée la phrase la plus technique. La question de départ était : le genre horreur est-il le bon ?

On voit pire à la télé mais j'ai quand même un doute : est-il raisonnable de lui mettre une date de sortie dans l'état ? J'y réfléchis.

http://www.cinejeu.net/index.php?page=p ... dFilm=6154

[Morcar]

Ca me dérange moins que certains films de Divine Mouvize
Allez-y sans soucis.

[Le Docteur]

je trouve ça gentillet moi

t'aurai du l'appeler Francis La Lame..... (ok je sors..... )

[Alexis]

[Jetto Productions]

Je ne le pensai pas si drôle. Bon, bah, finallement je vais peut-être le sortir en comédie.

[Jetto Productions]

Comme mes films d'horreur semblent vous faire rigoler je vous dévoile en avant-première le texte du deuxième titre dans la collection "Le cinéclub Frissons et Sueurs Froides de JKE" dont les premières sorties sont planifiées pour la fin du premier trimestre 2009. A noter la présence de Colin Paulson qui se lance dans le long métrage après la série Nightmare. Il ne devrait pas être trop dépaysé par l'ambiance.

Le monstre de l'espace

L'enquêteur de niveau rouge Shaz'Ri (Stefanie Colloff mais vous aurez du mal à la reconnaître sous son déguisement^^) vomit par tous ses orifices bucaux. Il a connu bien des scènes de crime mais jamais une telle horreur. Devant lui s'étale le corps en lambeaux de la jeune Gree'Lok qui, ce matin encore, le plaisantait sur sa nouvelle coiffe en le servant à la cantine des supérieurs. Plus personne n'entendra le rire enjoué de Gree'Lok, plus jamais.

La première nausée surmontée Shaz'Ri entame la longue description du rapport préliminaire pour le robot archiviste qui lui est affecté. La victime a été énucléée, ses 6 yeux reposent en cercle à côté du corps. Au milieu du torse atrôcement lacéré repose la main centrale mutilée, les 3 doigts tous coupés au niveau de chaque phalange. Les 7 orifices génitaux sont éventrés. Gree'Look attendait une portée. Les restes des embryons longitudinalement tranchés en deux sont entassés au centre du cercle des yeux...

Un peu plus tard Shaz'Ri fait un premier compte-rendu de la situation au supérieur-suprême Batik qui commande le vaisseau carcéral Abaroth'Dif-7 en route vers la planète Dazgar'Ah. Tandis que l'enquêteur effectuait les premières constations, le suprême a fait vérifier la cargaison. Ce que tous deux craignaient est arrivé. Un des prisonniers s'est libéré.

Dès les premiers germes de la simple idée de cet échange, les militaires Dazgariens, tout autant que leurs homologues Terriens s'y étaient opposés. Face à l'enthousiasme des scientifiques et à la force du signal politique, leurs arguments avaient été de peu de poids. L'échange devaient sceller le pacte entre les deux espèces. Il comportait deux sous-accord, l'un sur les technlogies, l'autre plus orienté vers la biologie et la psychologie. Ce dernier accord devait se matérialiser par un échange de sujets d'études, les sujets étant bien entendu des individus sans famille connue, condamnés à plus ou moins brève échéance soit par la société soit par la maladie. L'Abaroth'Dif-7 avaient livré sur Terre son lot de très mauvais garçons, d'aliénés et de malades en phase terminale Dazgariens et embarqué l'équivalent Terrien.

Membre éminent du lot de désaxés humain, Jamishon Curtadiss (Colin Paulson), alias le « découpeur » se ballade désormais librement à bord de l'Abaroth'Dif-7.

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Le monstre de l'espace est une sorte d'Alien a l'envers. La terreur n'est plus véhiculée par l'archétype de l'extra-terrestre inconnu se déchainant sur d'innocentes créatures terrestres à laquelle vous et moi nous identifions. Non, la situation est retournée. L'horreur vient de cette plongée abyssale et sans concession dans le pire de l'âme humaine, dans cette capacité de Jamishon Curtadiss a être plus abject, plus froidement monstrueux que la pire des créatures imaginaires pensées par la littérature ou le cinéma humain. Nul échappatoire à l'horreur, Jamishon est le seul être intelligent à bord de l'Abaroth'Dif-7 auquel le spectateur puisse physiquement s'identifier (les autres prisonniers humains n'apparaissent pas).

[Jetto Productions]

Hum... voyons voir...

Où en étions-nous ?

Ah oui ! Je sais. Nous allions vous présenter la suite de notre collaboration avec Ayesha Kapoor. "Où en étions-nous ?" est une comédie sentimentale plutôt triste, en réalité le drame n'est jamais loin. Oui c'est bien un drame sentimental que le dilemne de cet homme qui n'a de choix qu'entre abandonner son amour ou, en quelque sorte, ne pas le vivre.

On peut trouver cucul, tartignolle et éculée cette histoire d'amour entre un toubib et sa patiente. On peut faire le parallèle avec une enième variation sur une vision fantasmée d'Alzheimer. On peut regretter l'absurdité scientifique de ce cas médical purement fictif modelé pour créer de toute pièce une situation cinématographique. Oui, mais l'objet du film de Joan Chusid est ailleurs. Pavel n'est pas confronté à la lente et douloureuse perte d'une histoire commune, ce qu'il va devoir surmonter c'est l'impossibilité à bâtir cette histoire, c'est une condamnation acceptée à construire sur du sable, à ne vivre son amour que par fragments et n'en partager le puzzle avec personne. Au final, la question centrale d'"Où en étions-nous ?" est la perception de l'écoulement du temps.

[Jetto Productions]

Aurai-je inventé le genre mementodramatique

La direction de JKE profite de ce passage pour vous informer que suite à une descente d'agents de la DST à fort accent anglo-saxon dans nos studios, la maison ne pourra pas assurer la présentation du documentaire qui ouvrira notre année 2009.

Rassurez-vous, le stagiaire qui l'a tourné est en pleine forme et nous allons très vite organiser un petit barbecue sauce Jetto.

[Jetto Productions]

L'activité de JK Entertainment est perturbée depuis quelques jours par un changement de système informatique consécutif à une panne qui ressemble bien à un sabotage mais nous n'avons pas de preuve juste une impression donc nous n'affirmerons rien (en réalité des témoins affirment que la fumée qui se dégageait de l'unité centrale prenait alternativement les formes des logos Walken et Morcar, bizarre).

Toujours est-il que les premiers essais du nouveau bébé nuisent profondément au moral du boss et à la créativité des scénaristes, sans parler des graphistes dont l'outil de travail est le grand oublié de la procèdure de récupération.

Néanmoins nous espérons reprendre très bientôt le fil de notre activité (d'autant que la plupart de nos jeux offline ne fonctionnant plus, nos neurones vont pouvoir se concentrer sur le online).

Prochainement des news de nos films en préparation : un drame sentimental et un film d'espionnage.

En préparation aussi : une interview d'une artiste chère à Jetto Productions.

En pas préparation (limite nous sommes bien content du timing de ce crash informatique vu notre désamour des chiffres ): le bilan 2008 qui se résumera à : "Nous sommes bien content que nos films vous aient majoritairement plu"