Nanoyo a écrit :Violon...
J'ai déjà vu un très bon film avec un violon qui retrace sa vie durant des siècles jusqu'aux enchères récentes.
Bref, moi et ma "culture" u_u
Je crois que le film auquel tu fait allusion s'appelle Le violon rouge.
Nanoyo a écrit :Violon...
J'ai déjà vu un très bon film avec un violon qui retrace sa vie durant des siècles jusqu'aux enchères récentes.
Bref, moi et ma "culture" u_u
Suite aux propos tenus par Scott Hartnett dans le magazine Cinémag, CinéJeuMag est allé à la rencontre du patron des studios Morcar Prod, Monsieur Nick Morcar, pour connaitre ses impressions à propos de cette histoire qui a fait débat à Gérardmerveille. Interview vérité
CinéJeuMag : Comment avez-vous réagit en découvrant les propos de Scott Hartnell Jeudi dernier dans ce journal ?
Morcar : J'ai été tout simplement surpris. Surpris car ces propos ne ressemblaient pas du tout au Scott Hartnett que l'on connait, et qui a déjà travaillé à de nombreuses reprises avec nos studios.
CinéJeuMag : Ces propos ne vous ont pas énervé ?
Morcar : Pas du tout. Vous savez, dans notre milieu, on en voit des pires que ça. Le seul sentiment que j'ai eut à ce moment est réellement la surprise, et très rapidement, je me suis dit que les propos de Scott avaient sans doute été déformés par le journaliste qui a fait cet interview, car ce discours ne ressemble aucunement à celui qu'a Scott avec nous.
CinéJeuMag : Pensez-vous que vous êtes, comme il est dit dans cet interview, un "producteur frileux" ?
Morcar : Je ne pense pas que j'en serais là où j'en suis si j'étais un producteur frileux. Evidemment, j'ai une entreprise à faire avancer, des employés à payer etc... donc mon but n'est pas de jeter de l'argent par les fenêtre. Mais Scott sait très bien en réalité que nous n'avons pas peur de nous lancer dans des projets ambitieux. D'ailleurs, c'est à lui que nous avions confié la réalisation de Code : ED, notre grosse production de science-fiction qui fut longtemps le film au plus gros budget de la ville, avant que n'arrive Infinity. Aujourd'hui il reste le troisième film au plus gros budget, et le quatrième juste derrière est de notre studio également. Nous n'avons jamais regretté d'avoir investi cet argent dans le film, mais nous regrettons vraiment de nous être entêtés à avoir sorti le film début 2008 alors que le genre n'était pas du tout apprécié du public, car ce film reste également notre plus gros échec commercial.
CinéJeuMag : Vous pensez donc que les propos de Scott Hartnett ont été déformés ?
Morcar : Non seulement je le pense, mais j'en ai eut la confirmation par Scott lui-même qui a été déçu de voir ses propos ainsi déformés. Il m'a d'ailleurs ajouté que ce qui a été écrit à propos du fait qu'il n'aimerais pas les coréalisation est entièrement faux également, nous rappelant qu'il gardait un excellent souvenir du tournage de Die of tomorrow comme de Mutinerie.
CinéJeuMag : Puisque vous dites ne pas avoir peur d'investir de l'argent dans des gros projets, parlez-nous de vos prochains gros projets.
Morcar : Eh bien il y a encore notre trilogie de superproductions Hero Quest dont le deuxième volet devrait sortir durant les mois à venir, qui était un projet assez risqué, car nous avons enchainé les tournages des trois volets réalisés par Pingu avant même d'avoir sorti un seul d'entre eux. Le public comme la presse aurait très bien pu ne pas apprécier du tout le premier volet, ce qui aurait causé beaucoup de soucis pour les suivants. Heureusement, le premier volet a assez plu, et malgré le faible gout du public pour le genre à l'époque, ça a été une réussite commerciale.
Et puis il y a aussi notre série Renaissance dans lequel nous investissons un budget conséquent puisqu'il y aura au total 4 saisons de 8 épisodes et une superproduction finale. D'ailleurs, les tournages des trois dernières saisons et du film vont s'enchainer cette année, pour plus de simplicité à l'avenir. Pour cette série, vous ne verrez évidemment pas de budgets énormes, mais c'est parce que les acteurs sont sous contrat d'exclusivité, donc on ne compte pas le montant du contrat dans le budget de la série. Mais je peux vous dire qu'après le succès de la saison 1, le montant du contrat avec Chris (ndlr : Kruger) était plutôt élevé (ndlr : On parle de plus de 11 millions de dollars). Comme il y aura au casting désormais d'autres acteurs plus connus qui ont demandé des cachets conséquents, et que la réalisation sera également confiée à des artistes réputés, je peux vous affirmer que si on comptait les montants des contrats dans less budgets, on serait bien au dessus de celui des Infinity.
CinéJeuMag : Est-ce un message adressé à Dimitri, le patron de Warner Interaction ?
Morcar : Pas du tout ! Dimitri et moi nous entendons très bien, d'ailleurs vous savez que nous avons un projet commun en cours qui devrait sortir prochainement. Je sais très bien que Dimitri n'est pas responsable de ce qui a été écrit dans ce jeune journal qui a sans doute voulu faire parler de lui.
CinéJeuMag : Nous vous remercions de nous avoir accordé un peu de notre temps.
Morcar : C'est moi qui vous remercie.
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