TARDIS PRODUCTIONS - Fil Officiel

[Le Docteur]

Si je les mets en retraite, c'est qu'ils ne donne pas satisfaction... Si on m'avait pas censuré la photo de mon premier Bruce Syphilis, il serait toujours là, car il commençait à bien cartonner.

Si au bout de trois film, le nivo ne s'améliorent pas, c'est chomage...

Par contre Le Docteur va partir à la retraite, mais là, j'y suis pour rien, il part de lui même car j'ai mis trop de temps à m'en servir. Mais bon, je viens de le recréer.

[Morcar]

Comme l'avaient fait remarquer plusieurs personnes déjà sur le forum, beaucoup d'acteurs qui s'en sortent très mal lors de leur contrat deviennent bien meilleurs par la suite quand ils tournent avec d'autres studios.
C'était le cas de Moemie Takano par exemple.

Laisse leur le temps !!
A moins que ton but soit de créer l'acteur ultime, le Logan Lester de chez Grain de Folie

Si je prends mes artistes, ils ont eut des débuts difficiles aussi, ce qui ne les empêche pas de faire carrière.
Rebecca Blakstad
Tamara Berger
Patrick Lassek
Alice Adéessel
Kong Takami
Vanessa Zhan

Si on regarde les trois ou quatre premiers films de chacun, c'est pas brillant, mais ça ne les a pas empêché de faire 4 étoiles sur certains films.

[Le Docteur]

*** LE 15 JANVIER 2011 ***

JEUX DE ROLES
Documentaire



« Je fais un lancé de dé 100 en dextérité et de dé 20 en force, pour savoir si mon guerrier Grobill arrive à esquiver et taper sur la tronche du monstre qui court vers lui, toutes massues sorties… »

Ce genre de phrase est habituel aux oreilles d’un rôliste. Mais pas pour tout le monde. Le jeu de rôle à plutôt mauvaise réputation aux oreilles des autres. Ce documentaire va vous parler du jeu de rôle dit « de table » et « grandeur nature »

Le premier jeu de rôle, et peut-être le plus connu, est sorti en 1974 sous le nom de « Donjons et Dragons » aux Etats-Unis, jeu médiéval fantastique, fortement inspiré par le monde inventé par Tolkien et son « Seigneur des Anneaux ».

Le principe du jeu de rôle est assez proche d’un film. Vous avez un maître de jeu que l’on pourrait comparé à un réalisateur. Souvent caché derrière un écran en carton regroupant les règles élémentaires. Il dirige la partie. En sa possession, le livre regroupant tout ce dont il a besoin (règles, bestiaires, scénarii préconçus par lui ou publié dans le livre des règles ou des magazines spécialisés, des dés).

Face a lui, des joueurs (PJ). Le nombre peut varié selon le scénario du maître de jeu. Devant eux, une feuille de personnage, celui qu’ils incarneront pendant leur aventures épiques et eux aussi des dés. Ils sont les acteurs de l’histoire que le MJ (maître de jeu) leur a concocté. Sur ces feuilles sont regroupés tout ce qui concerne leur personnage respectif. (Race, classe, métier, compétences, histoire de leur personnage…) Les caractéristiques de base sont déterminées par le jet de dés.

Les dés, dans un jeu de rôle, sont capitaux. C’est eux qui déterminent si l’action d’un personnage réussira ou non. Il en existe de plusieurs types, allant de 2 à 100 faces. Les plus utilisés sont les dés classiques à 6 faces, ceux à 10 et 20 faces.

Le déroulement d’une partie est simple. Le MJ raconte l’histoire, plante le décors, et les joueurs décident de se que leurs personnages font en fonction des situations donnés. Le MJ décident si leurs actions réussissent par le jet de dé, ou selon le bon vouloir de celui-ci. Mis à part les lancer de dés, tout se fait oralement. Certains agrémentent leurs scénarii en rajoutant des musiques afin de donner une atmosphère.

Les univers de jeux de rôles sont très variés et sont beaucoup inspirés par la littérature ou bien le cinéma ou la télévision. Les plus connus sont Warhammer, Donjons & Dragons, Star Wars, JRTM, L’appel de Cthulhu… Bien sur, la liste n’est pas exhaustive. Il en existe plus d’une centaine.

C’est souvent des soirées où la bonne humeur est à son comble, où les crises de fou rire également sont au rendez-vous.

Pour ceux qui ont une bourse un peu plus fournie, il existe aussi ce qu’on appelle des « Grandeurs Nature ». Le principe est quasiment le même, sauf que là, plus de dés, plus de tables, plus de feuille de personnage. Vous incarnez réellement votre personnage. Selon le genre demandé, vous vous créer votre costume, vos armes, et vous apprenez le rôle que l’on vous donne. Ca se rapproche encore plus de l’image « réalisateur/acteurs », car vous vivez pleinement l’action. On vous donne tout ce qu’il faut savoir sur votre personnage, sur ce qu’il doit faire. Après tout est une question de « Rôleplay », c'est-à-dire de jouer son rôle complètement. Le Grandeur Nature a eu à une période, très mauvaise presse, avec de suicide de personnes qui prenait trop à cœur leur rôle. Il faut savoir se détacher de son personnage et faire la différence entre la réalité et la fiction.

Dans ce documentaire, vous retrouverez des interviews de rôlistes, inconnus ou non, avec entres autres des explications très ludique de l’acteur/réalisateur/musicien/ Alexandre Astier, papa de la série à succès Kaamelott qui nous expliquera comment les jeux de rôles ont influencé sa série. Mais également de personnes tel que l’écrivain Bernard Werber (les Fourmis), de différents journalistes qui nous parlerons de l’évolution de ces jeux et de l’impact qu’ils ont sur la jeunesse.


Pour vous montrer l’ambiance d’une partie de jeu de rôle, voici quelques morceaux choisis.

Un mage nain entre dans une bibliothèque de l'académie de magie du coin avec son ami rôdeur :

Mage : Bon il nous faut des informations, je vais chercher dans un livre.

MJ : Que cherches tu ?

Rôdeur : Cherches un livre de grammaire, j'ai soif

Mage : Heu???

Rôdeur : Ben oui, grammaire sait faire un bon café...

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Un rôdeur de niveau 6 vit depuis 400 ans sous forme d'une gargouille suite à une malédiction.

Il discute avec un druide sur un toit où il a élu domicile.

Druide : Et vous me demandez de retrouver l'orbe car il s'agit d'une des composante qui vous permettrait de vous libérer de cette malédiction.

Rôdeur gargouille : oui, elle se trouve chez le chef de guerre Tormak.

MJ : Un pigeon commence à vous tourner autour.

Rôdeur Gargouille : Je le choppe et je le tue.

MJ : OK tu le défonces, tu fous des plumes partout.

Druide : Mais pourquoi vous en prenez vous à cette pauvre bête ?

Rôdeur Gargouille : PAUVRE BÊTE ?!! Ca FAIT 400 ans que je me fais chier dessus !

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- Je suis le cheikh Saliman, puis-je vous accompagner un bout de chemin ?

- Vous avez à manger ? J'ai faim !

- Désolé, je ne puis rien vous offrir pour le moment.

- Alors dégage! On n’accepte pas les cheikhs sans provision !

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Les persos (et les joueurs) ne se connaissent pas, c'est le début de la campagne et ils font connaissance.

Barbare : Et toi le curé, comment tu t'appelles ?

Prêtre de Pelor : Mon nom et Telgardt, prêtre au service du très saint Pelor. Et vous comment vous appelez-vous, noble barbare ?

Barbare : On m'appelle Confus !

Telgardt : Confus ?! Quel nom étrange, puis-je en connaître la raison si je ne suis pas indiscret.

Confus : OK. En fait c'est pas super compliqué. Tu dois savoir que les barbares adorent 2 choses dans la vie : la boisson et la baston ! Le seul endroit où on trouve ça c'est à la taverne ! Et, une fois, on a carrément démonté la taverne. Comme j'avais beaucoup bu, j'étais le dernier dans ce qui restait de la salle quand le tavernier est sorti de sous les décombres. Il m'a crié : T'es qui toi ? Et moi je lui ai répondu : Je suis Confus, et je me suis cassé !

(Extraits des jeux de rôles empruntés sur le site http://projet.perle.free.fr)

CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)

Réalisation : Le Docteur



Rôles Principaux : Grant Whittall & Gwendolyn Henriksen

[Le Docteur]

*** CETTE SEMAINE ***
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*** LA SEMAINE PROCHAINE ***
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[Le Docteur]

*** BILAN 002 ***

A nouveau en tête des sorties de la semaine avec Polygames Amis qui réalise un total de 18 149 530 entrée soit 5 195 846$ de bénéfices

Nous espérons continuer sur notre lancée la semaine prochaine avec notre documentaire consacré aux jeux de rôles

[Le Docteur]

*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.

001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)

[Le Docteur]

*** TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....***

Après discution avec nos actionnaires, Peter Reyes et Morena Quinlan, nous avons décidé de continuer les aventures de Karl Jenkins et Laure Mapple, les héros des films d'animation "VENDETTA DE FOLIE" avec une nouvelle intrigue. Nos scénaristes planchent déjà sur le scénario. Pas de titre pour le moment.

[Le Docteur]

*** TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....TARDIS NEWS....***

Nos studios viennent de rembourser les 12 750 727 $ à la banque, correspondant au prêt contracté par les feux studios Grain De Folie Films.

Notre budget annuel s'élève désormais à 41 103 709 $, nous permettant largement de produire quelques séries Z et A.

Au vu des récents résultats des deux premières sorties, toutes deux en première place des sorties de la semaine, nous sommes plutôt positif quand à l'avenir de nos studios.

La suite des aventures de Karl Jenkins, héro de la série d'animation VENDETTA DE FOLIE est programmée. Le tournage débutera dans 10 semaines. Peter Reyes a accepté de prêter à nouveau sa voix contre la modique somme de 10 441 510 $, pour incarner Karl Jenkins. Morena Quilan sera également présente pour passer le relais à Little L pour ces nouvelles aventures. La franchise sera sous le nom générique de GRAIN DANS L'ENGRENAGE. Le premier film se nommera : DOUCHE ECOSSAISE.

[Morcar]

Ahhh !
Voilà de bonnes nouvelles !

Très bonne initiative de votre part, Le Docteur, que de rembourser la dette contractée par Grain. Ce pic-assiette voulait même emprunter de l'argent aux autres producteurs quand les banques ne voulaient plus rien lui prêter Pourtant, il en avait encore, de l'argent !

[Le Docteur]

*** BILAN 003 ***

Cette semaine, nous prenons la troisième place du box office avec notre petit documentaire sur les Jeux De Rôles, avec 10 575 575 entrées. Le film connait à sa sortie un bénéfice de 50%, soit 3 528 024 $. Polygames Amis, dans sa deuxième semaine d'exploitation, descent à la 4ème place avec 4 390 901 d'entrées cette semaine, ce qui le monte à 22 540 431 spectateurs au total.

[Le Docteur]

*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.

001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)

*** CLASSEMENT DES AUTRES FILMS SORTIS CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie. Le classement correspond au jour de sa sortie.

003 - JEUX DE ROLES (Semaine 315 - 2011) 3ème place

[Jérémie Walken]

Peter Reyes a accepter de prêter à nouveau sa contre la modique somme de 10 441 510 $, pour incarner Karl Jenkins.

Une erreur s'est glissée, là.

Vous vouliez sans doute employer le mot faramineuse qui dans le contexte est mille fois plus approprié...

[Le Docteur]

Quand il faut mettre les moyens pour avoir un acteur, nous les mettons. En espérant que le film ne soit pas un bide...

[Le Docteur]

*** LE 19 FEVRIER 2011***

LLOYD & LLOYD - LE GRIMOIRE DU TEMPS
Action - Fantastique



Minneapolis – 2011 (Bibliothèque Municipale)

Martha Lloyd est bibliothécaire à la bibliothèque municipale de Minneapolis. Elle y travaille depuis maintenant quatre ans, et se passionne pour l’histoire. Son métier lui permet d’assouvir sa soif de connaissance et partager des points de vue sur certaines périodes de l’histoire avec son amie journaliste Helena Lloyd. Malgré leur homonymie, elles n’ont aucuns liens de parenté.

Helena travaille, elle, pour le Daily Minneapolis Globe comme grand reporter, toujours à l’affût du prix Pulitzer. Son obsession est de trouver l’article qui lui fera gagner ce prix tant convoité.

Ce soir là, Martha a décidé de rester tard. Elle a trouvé dans les archives un vieux grimoire écrit dans une langue mélangeant, semble t’il, le grec et le latin. Elle s’était mise en tête de traduire ce livre, pour voir de quoi il parlait. Son titre était « QUANTUM » et d’après ses premier travaux, semblait parler de trou dans le temps, sorte de faille spatio-temporelle. Plus elle avançait dans ses recherches, plus cela l’intéressait. Ce bouquin était remplit de mystères qu’elle comptait bien percer.

Alors qu’elle était absorbée par son travaille, son téléphone portable se mit à sonner, la faisant sursauter. C’était Helena qui l’attendait devant la porte du bâtiment avec des plats chinois à emporter. Les deux jeunes se retrouvèrent à dîner ensemble parlant du fameux bouquin. Cela faisait plusieurs moi que Martha le déchiffrait et que Helena de son coté, faisait des recherches dans les archives pour voir si d’autres livres ne parlaient pas de celui-ci.

Cette nuit là donnait une ambiance plutôt inquiétante. Dehors, le vent commençait à se lever et un orage débutât, suivi de peu par la pluie.

Martha, ne se laissant pas dérouter par le climat appela son amie pour lui expliquer ce qu’elle venait de découvrir. Au trois quart du grimoire, étaient inscrites, ce qui semblaient être, des formules. Elles étaient au nombre de douze, et aucunes explications n’étaient données par l’auteur.

Helena s’appuya sur l’épaule de Martha pour lire par-dessus elle ce qui était inscrit. D’une seule voix, elles récitèrent la première formule en grec et latin.

Tout à coup, un coup de tonnerre plus fort que les autres, une lumière aveuglante, puis plus rien.

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Lieu Inconnu - Année Inconnue. (Clairière)

Helena fut la première à sortir de son coma. Au dessus d’elle, un homme en train de lui parler. Il portait de fines moustaches et une petite barbichette. Posé à coté de lui son chapeau, dont une énorme plume blanche dépassait. Allongée non loin d’elle, Matha gisait inconsciente. Helena, ignorant le bel étranger rampa prêt de son amie. Elle semblait respiré. Elle se réveilla quelques minutes après.

L’homme, lui, semblait intrigué par ces deux jeunes femmes, habillées de façon curieuse. Mais gentilhomme qu’il était, il se présenta auprès d’elles sous le nom de Charles de Bartz-Castelmore serviteur du bon roi Louis XIII. Sans lui parler vraiment, le nom disait du jeune homme disait quelque chose à Martha, mais n’arrivait pas à ce souvenir vraiment. Apparemment, le jeune homme montait à Paris avec sa jument quand il a aperçu à l’orée de la forêt une grande lumière blanche. Et en arrivant, il les avait trouvé inconsciente sur le sol, habillé de façon étrange. Martha, après avoir analysé la situation, et la façon dont l’homme était vêtu eu la présence d’esprit de lui demander : « En quel année sommes-nous ? »

Quand Charles leur répondit 1640, les deux jeunes femmes se regardèrent. Il était trois ans avant l’accession de Louis XIV. Et elles se trouvaient, semble t’il en France. Par quel prodige s’étaient retrouvée à cette époque. Le livre ? Où était-il ? Là par terre… Ces formules, dans ces pages leur permettait-elle de voyager à travers le temps ?

Elles décidèrent de lire ensemble la seconde formule. Mais rien n’y fait. Elles essayèrent les suivantes, mais en vain. Elle était bloqué dans un siècle qui n’était pas le leur. Chose étrange, c’est que malgré qu’elles ne connaissent aucuns mots de français, elles comprenaient leur interlocuteur, qui leur proposa de leur louer des montures dans un relais à quelques kilomètres de là et de les escorter jusqu’à Paris chez un bon ami à lui qui s’occupait d’un petit commerce de livre.

Durant le voyage, le jeune homme leur raconta qu’il montait à Paris afin de devenir, très vite, si Dieu voulait, mousquetaire de sa majesté. Helena se tourna vers sa compagne comme si elles avaient découvert qui était leur mystérieux sauveur… D’Artagnan.

Le jeune les regarda et sourit. Il leur dit qu’Artagnan était le nom de famille de sa mère. (De Montesquiou d’Artagnan). Pourquoi ne pas adopter ce nom, après tout. La famille de sa mère était mieux introduite à la cours que celle de son père et cela lui ouvrira sûrement quelques portes. Il remercia les jeunes femmes de lui avoir donné l’idée. Il serait désormais, d’Artagnan, futur mousquetaire du roi.

Arrivé à Paris, d’Artagnan leur présenta Plantier, petit bibliothécaire de son état, avant de repartir rencontrer un certain Monsieur de Tréville. Leur récit intrigua au plus haut point le petit boutiquier. Il leur posa plein de questions sur l’avenir. Et déchiffra le livre « Quantum » durant les deux nuits suivantes, aidé de Martha. Helena, de son coté avait décidé de parcourir la capitale française et de noter un maximum de détails pour un prochain article. Elle était sûre de tenir le Pulitzer avec cette histoire… Si elle revenait un jour… Plantier lui avait gentiment donné un peu d’argent pour qu’elle puisse acheter pour elle et Martha des vêtements d’époque.

Martha de son coté étudiait à nouveau le vieux grimoire. Plantier avait entendu parler une fois de ce livre. D’après la rumeur, les douze formules les transporterai à différente époque de l’histoire, passé et futur. Les destinations n’étaient pas choisit au hasard. A chaque étape temporelle, le voyageur devait combattre un « Dieu Démon » et le vaincre avant le 7ème jour. Les formules devaient être dites dans l’ordre. Et passé ce 7ème jour, elles redevenaient inefficaces pendant 7 jours à nouveau. Nulle part dans le livre était mentionné à quoi ressemblait ce fameux « Dieu Démon », ni comment le vaincre… Plantier, en farfouillant dans ses archives, avait retrouvé des témoignages qui parlaient d’un homme qui serait possédé par le démon. Dont le mal était bien ancré en lui et qu’il n’hésitait pas à pratiquer le sacrifice humain. Personnellement Plantier avait du mal à croire à ce genre d’histoire, mais au vu de la bizarrerie ayant amené ces femmes ici, il s’est dit que c’était peut-être possible, après tout… L’homme serait un noble du nom de Augustin Balmont, duc de Valmor…

Retrouvez les premières aventures de Matha et Helena Lloyd, perdues dans le temps, a la recherche de la porte qui leur permettra de revenir un jour à leur époque…


CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)

Réalisation : Sandrine Mendel



Rôles Principaux : Sarah Aspen & Alisa Kinwhorty



Rôles Secondaires : Colin Neil & Charles Reviglio

[Le Docteur]

*** 11 MARS 2011 ***

MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE
Animation


Affiche réalisée par MORGRAPH

Gerardville – 7 Juillet 1984

Mon nom est Morcar, Malcolm Morcar. Et je suis actuellement sur le lieu de ma première enquête en tant qu’inspecteur de la Gerardville Police Department (GPD). Premier de ma promotion sur 86 postulants. Je m’en suis sorti au concours avec une note de 96.8 sur 100… La grande classe, quoi.

Les caméras des journaux télévisés sont toutes braquées sur la maison de l’acteur Max Jetto. Sa femme l’a retrouvé mort, pendu en plein milieu du salon. Avec à ses pieds, une lettre d’adieu… La lettre disait qu’il en avait marre de cette vie de strass et de paillettes. Qu’il était vraiment malheureux sur cette terre… La lettre classique, quoi… Au premier abord rien ne semblait vraiment suspect. Le témoignage de l’épouse semblait bien cohérent. Mais j’allais apprendre qu’il ne fallait pas se fier aux apparences.

Alors que mes collègues commençaient à remballer le matériel et que le médecin légiste arrivait, le commissaire Golan arriva sur place. Fixa la scène du pendu, se tourna vers moi et me sortit tout de go : « C’est un crime, on va ouvrir l’enquête !!! »

Quelque chose avait du m’échappé. Pour moi le suicide était vraiment plausible. Le commissaire Golan était réputé pour être très pédagogue avec ses collègues et m’explique tout simplement les choses. Si on mesurai la taille du tabouret sur lequel la victime aurai du monter pour se pendre, on s’apercevait qu’il était 10 cm trop petit, et que même sur la pointe des pieds, la victime n’aurai pu monter dessus, et se mettre la corde au cou.

Après avoir examiné le corps, le docteur Grain, le légiste, annonça que la mort remontait à 3h environ, et que la cause était du à un coup donné sur l’arrière du crâne au niveau de la nuque. Comme le coup du lapin. Et non de la pendaison.

Golan avait une fois de plus démontré son professionnalisme et son sens de l’observation. Il ne me restait plus qu’à prendre exemple sur lui et commencer l’enquête pour retrouver le ou les coupables. La lettre d’adieu fut emballée afin de prélever peut-être des empruntes dessus, et voir si la calligraphie pouvais nous aider à trouver une piste. A cette époque, nous n’avions pas encore les recherches ADN ou autres matériels sophistiqués de maintenant. Ca nous aurait, je pense, bien servi pour boucler l’enquête plus rapidement. Mais bon, faut vivre avec son temps.

En fouillant la filmographie de Jetto, on pouvait s’apercevoir qu’il n’avait tourné que des films de la Walken Production. John Walken avait déjà eu plusieurs fois affaire à la justice par le passé, mais jamais écroué. Grand producteur de talent, golden boy en devenir, il n’hésitait pas à faire quelques entorses aux lois pour se payer de la drogue ou bien des prostitués mineures. Toujours inculpé, jamais condamné. C’était même la bête noire de Golan. Walken savait acheter très cher les personnes qui devait témoigner au tribunal contre lui. Et si l’argent ne suffisait pas, Golan le soupçonnait tout simplement de liquider les personnes trop gênantes.

Les studios Walken étaient loin d’être la taverne de la morue. Peut-être l’un des plus beaux et des plus modernes de Gerardville, qui avec Fundansetown étaient la relève toute trouvée de Hollywood. Les meilleurs films étaient sortis de ces studios. « Le guerrier de pierre », « Beneath The Hawling Star ». Que des cartons au box-office. C’était le concurrent direct du non moins célèbre Steven Spielberg et se partageaient les premières places. Walken aurait même exercé des pressions sur George Lucas pour qu’il stop sa saga « Star Wars » mais en vain.

Le jeune producteur nous reçus dans son bureau luxueux où traînaient sur une étagère derrière son fauteuil les trois Oscars qu’il avait remportés ces deux dernières années. Walken nous appris qu’il avait mis fin au contrat de Max Jetto, car ses films ne se vendaient plus aussi bien qu’avant. C’était l’ère du nouvel acteur de la maison James Owen. La nouvelle égérie de Walken. Son dernier film avait presque battu le E.T. de Spielberg en entrées. Il nous appris également que Jetto avait sombré peu à peu dans l’alcoolisme et que son non professionnalisme nuisait aux studios. Bien sur, John Walken avait un bon alibi pour l’heure du crime. Il nous fallait donc nous tourner vers ce fameux James Owen.

Le commissaire Golan, qui m’accompagnait dans cette affaire, restait silencieux et me laissait mener l’enquête à ma guise. Je pense qu’il essayait de voir si j’étais à la hauteur des mes notes d’examens. Alors que je l’attendais dans la voiture, avant d’aller chez Owen, je le vis parler avec un homme, en grand manteau beige avec un chapeau sur la tête. Je reconnu de suite le privé Jack Warner, qui avait souvent rendu service à la GPD dans des affaires difficiles. Peut-être que sur cette affaire, il savait des choses que nous ignorions…

Arrivé chez James Owen, telle ne fut pas notre surprise, en trouvant sa porte entrouverte, non fracturée, de trouver Owen, dans sa baignoire, les veines du poignet tailladées. Il était apparemment encore en vie, et devait le rester, car il était peut-être un témoin important dans cette affaire…

CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)

Réalisation : Le Docteur



Rôles Principaux : Perceval Grain & Little L



Rôles Secondaires : Kalas Dias & Lou Fishburne