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TARDIS PRODUCTIONS - Fil Officiel
par Le Docteur » Jeu Juil 10, 2008 1:57
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Le Docteur - Producteur culte
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par Le Docteur » Jeu Juil 10, 2008 2:09
*** BIENTOT : NOUVELLE SAGA COMMUNE ***
CHAPITRE I : L'AGE DE PIERRE
Kra-ah crie. Ses congénères en font de même en courant vers l’immense créature en face d’eux. Tous brandissent leurs lances et se préparent à transpercer le mammouth qui va les nourrir pendant plusieurs lunes. Les chasseurs de la tribu des hommes singes sont vaillants. Peut-être pas les plus forts, mais ils savent s’adapter de plus en plus rapidement à leur environnement.
Ils vénèrent depuis peu le dieu Singe et s’en inspire beaucoup. Le peuple singe vit au pied des arbres, à même le sol. Il ont réussi depuis peu à construire des petits abris fait de bois, de feuille et consolidé au fur et à mesure avec des nœuds basique fait avec des lianes ou des racines de certaines plantes. Ils chassent le gibier, mais grimpe également aux arbres, cueillir les fruits que les singes consomment.
En ces temps très anciens de la préhistoire, beaucoup de peuple s’inspirent de divinité animales et évoluent en fonction des qualités de ce totem choisit. L’humanité est à son balbutiement.
Kra-ah est le chef de cette tribu. Il a été choisit car il a battu l’ancien chef lors d’un combat. C’est un rite chez eux. Celui qui veut devenir chef doit provoquer le leader actuel et vaincre à mort en combat singulier. Gal-Oh, le précédent, a reçu en plein œil la lance de Kra-ah. Kra-ah reprochait à Gal-Oh de négliger la tribu pour ne s’occuper que de la procréation.
Depuis que Kra-ah dirige la tribu, les choses ont évolué relativement rapidement. La consolidation et la protection de l’habitat en ai une. Cela a apporté également le nœud qui, depuis sert à bien d’autres usages, même si celui-ci n’est pas encore très solide. Les lances en sont le très bon exemple. Le peuple Singe maîtrise parfaitement la taille de la pierre qui leur permet entre autres de couper la viande, les peaux, les racines, de créer leur pointe de lance, qui avant cette découverte n’était que de simple morceau de bois avec le bout affûté. Beaucoup moins efficace pour la chasse.
Déjà deux hommes tombés, écrasés par les pattes gigantesques du pachyderme. Le sang coule sur sa fourrure, provoqué par le planter d’une douzaine de lance dans sa chair. Les premiers hommes lançaient les lances, tandis qu’un second, ensuite, s’approchait pour transpercer l’animal, ce qui n’était pas sans risque. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes, le mammouth s’écroula lourdement au sol. Kra-ah et ses hommes poussèrent leur cri de victoire, semblable au cri d’un chimpanzé de nos jours. Après s’être reposé un peu, les hommes entreprirent de dépecer la bête pour en faciliter le transport au campement. Les deux morts, eux, sont abandonnés à leur sort. Ils seront manger par des prédateurs nécrophages ou une tribu cannibale.
La chaleur est pesante et non loin de là, de la lumière apparaît, zébrant le ciel jusqu'à la terre. Beaucoup d’homme singe redoute ce climat. Un jour, l’un d’eux s’est pris un éclair et ai mort. Ce qui fait encore plus peur pour eux, c’est le bruit qui accompagne ce genre d’événement, comme un bruit d’éboulement dans une grotte, mais en plus fort.
Lorsque la pluie commença à tomber, les hommes, encore à deux jours de marche de leur campement décident de se construire un abri de fortune. C’est à ce moment là, qu’un éclair vint frapper un arbre, le pourfendant en deux. Le bois pas encore tout à fait mouillé pris feu aussitôt. Kra-ah connaissait ce phénomène. Le ciel leur envoyait quelque chose de pas palpable mais qui permettait de le réchauffer lui et les siens. Cela faisait plusieurs fois qu’il réfléchissait à la façon de conserver cette chose. Parfois, lorsqu’il taillait des pierres, de petites étincelles apparaissait, mais pas suffisamment pour rester comme le feu sur un arbre. Il savait également que l’eau était l’ennemi du feu, pour en avoir vu beaucoup s’éteindre sous une pluie torrentielle. Pour le moment, la pluie était fine. Il décida de tenter le tout pour le tout. Si le feu prenait sur l’arbre, il pourrait peut être prendre sur un bout d’arbres. Puis peut-être des brindilles. Pourquoi ne pas tenter sa chance après tout.
Pendant ce temps, au campement, les femmes, les enfants, et le très peu de vieillards s’affairait à rendre l’habitat le plus agréable possible. Les enfants partaient au ruisseau attraper du poisson. Les femmes tannaient les peaux qui serviront plus tard à se confectionner des habits ou des couvertures. Quant aux vieillards, il taillait des coutelas dans les os ou bien gravait les récits de chasses des plus jeunes sur le tronc des arbres. C’est alors que le drame frappât.
Une tribu ennemie vint attaquer le campement, massacrant les anciens et les enfants, et emportant avec eux les femmes les plus jeunes.
De leur coté, Kra-ah à réussi à prendre du feu à l’arbre pour en faire un foyer qui leur permis de se réchauffer un peu, lui et les chasseurs. Par une maladresse de l’un d’eux, un morceau de viande tomba sur le foyer. L’odeur qui s’en dégageait n’était pas désagréable. Après quelques minutes, le chasseur retira le bout de viande du feu et le goûtât. La viande était devenue beaucoup plus bonne qu’elle ne l’était auparavant. Cette nouvelle découverte allait révolutionner la vie de la tribu.
Après deux jours de marche, ils arrivèrent enfin au campement. Quand ils le virent désert, ils poussèrent des cris pour essayer d’appeler, mais aucunes réponses ne leur parvinrent. La moitié des cadavres avaient déjà commencé à être dépouillé par diverses créatures. Seule, Jan-iah, une jeune femme avait réussi à échapper au massacre et à l’enlèvement car elle était partie faire de la cueillette. Elle expliqua aux hommes que la tribu du peuple Gorille était venue enlever les femmes deux jours auparavant.
Kra-ah décida qu’il fallait aller les chercher et parti aussitôt bien armé avec ses hommes, suivant Jan-iah qui savait où se trouvait le campement des ennemis pour les avoir, par curiosité, suivit. Kra-ah décida d’attaquer par la voie des airs en montant aux arbres et se balançant grâce aux lianes. Cette méthode avait plusieurs fois fonctionné pour d’autres ennemis et l’effet de surprise était toujours présent…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Gina Hardy
Rôles Principaux : Christopher Caine & Cristina Lillard
Rôles Secondaires : Daniel Caine & Jeanne Lillard
CHAPITRE I : L'AGE DE PIERRE
Kra-ah crie. Ses congénères en font de même en courant vers l’immense créature en face d’eux. Tous brandissent leurs lances et se préparent à transpercer le mammouth qui va les nourrir pendant plusieurs lunes. Les chasseurs de la tribu des hommes singes sont vaillants. Peut-être pas les plus forts, mais ils savent s’adapter de plus en plus rapidement à leur environnement.
Ils vénèrent depuis peu le dieu Singe et s’en inspire beaucoup. Le peuple singe vit au pied des arbres, à même le sol. Il ont réussi depuis peu à construire des petits abris fait de bois, de feuille et consolidé au fur et à mesure avec des nœuds basique fait avec des lianes ou des racines de certaines plantes. Ils chassent le gibier, mais grimpe également aux arbres, cueillir les fruits que les singes consomment.
En ces temps très anciens de la préhistoire, beaucoup de peuple s’inspirent de divinité animales et évoluent en fonction des qualités de ce totem choisit. L’humanité est à son balbutiement.
Kra-ah est le chef de cette tribu. Il a été choisit car il a battu l’ancien chef lors d’un combat. C’est un rite chez eux. Celui qui veut devenir chef doit provoquer le leader actuel et vaincre à mort en combat singulier. Gal-Oh, le précédent, a reçu en plein œil la lance de Kra-ah. Kra-ah reprochait à Gal-Oh de négliger la tribu pour ne s’occuper que de la procréation.
Depuis que Kra-ah dirige la tribu, les choses ont évolué relativement rapidement. La consolidation et la protection de l’habitat en ai une. Cela a apporté également le nœud qui, depuis sert à bien d’autres usages, même si celui-ci n’est pas encore très solide. Les lances en sont le très bon exemple. Le peuple Singe maîtrise parfaitement la taille de la pierre qui leur permet entre autres de couper la viande, les peaux, les racines, de créer leur pointe de lance, qui avant cette découverte n’était que de simple morceau de bois avec le bout affûté. Beaucoup moins efficace pour la chasse.
Déjà deux hommes tombés, écrasés par les pattes gigantesques du pachyderme. Le sang coule sur sa fourrure, provoqué par le planter d’une douzaine de lance dans sa chair. Les premiers hommes lançaient les lances, tandis qu’un second, ensuite, s’approchait pour transpercer l’animal, ce qui n’était pas sans risque. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes, le mammouth s’écroula lourdement au sol. Kra-ah et ses hommes poussèrent leur cri de victoire, semblable au cri d’un chimpanzé de nos jours. Après s’être reposé un peu, les hommes entreprirent de dépecer la bête pour en faciliter le transport au campement. Les deux morts, eux, sont abandonnés à leur sort. Ils seront manger par des prédateurs nécrophages ou une tribu cannibale.
La chaleur est pesante et non loin de là, de la lumière apparaît, zébrant le ciel jusqu'à la terre. Beaucoup d’homme singe redoute ce climat. Un jour, l’un d’eux s’est pris un éclair et ai mort. Ce qui fait encore plus peur pour eux, c’est le bruit qui accompagne ce genre d’événement, comme un bruit d’éboulement dans une grotte, mais en plus fort.
Lorsque la pluie commença à tomber, les hommes, encore à deux jours de marche de leur campement décident de se construire un abri de fortune. C’est à ce moment là, qu’un éclair vint frapper un arbre, le pourfendant en deux. Le bois pas encore tout à fait mouillé pris feu aussitôt. Kra-ah connaissait ce phénomène. Le ciel leur envoyait quelque chose de pas palpable mais qui permettait de le réchauffer lui et les siens. Cela faisait plusieurs fois qu’il réfléchissait à la façon de conserver cette chose. Parfois, lorsqu’il taillait des pierres, de petites étincelles apparaissait, mais pas suffisamment pour rester comme le feu sur un arbre. Il savait également que l’eau était l’ennemi du feu, pour en avoir vu beaucoup s’éteindre sous une pluie torrentielle. Pour le moment, la pluie était fine. Il décida de tenter le tout pour le tout. Si le feu prenait sur l’arbre, il pourrait peut être prendre sur un bout d’arbres. Puis peut-être des brindilles. Pourquoi ne pas tenter sa chance après tout.
Pendant ce temps, au campement, les femmes, les enfants, et le très peu de vieillards s’affairait à rendre l’habitat le plus agréable possible. Les enfants partaient au ruisseau attraper du poisson. Les femmes tannaient les peaux qui serviront plus tard à se confectionner des habits ou des couvertures. Quant aux vieillards, il taillait des coutelas dans les os ou bien gravait les récits de chasses des plus jeunes sur le tronc des arbres. C’est alors que le drame frappât.
Une tribu ennemie vint attaquer le campement, massacrant les anciens et les enfants, et emportant avec eux les femmes les plus jeunes.
De leur coté, Kra-ah à réussi à prendre du feu à l’arbre pour en faire un foyer qui leur permis de se réchauffer un peu, lui et les chasseurs. Par une maladresse de l’un d’eux, un morceau de viande tomba sur le foyer. L’odeur qui s’en dégageait n’était pas désagréable. Après quelques minutes, le chasseur retira le bout de viande du feu et le goûtât. La viande était devenue beaucoup plus bonne qu’elle ne l’était auparavant. Cette nouvelle découverte allait révolutionner la vie de la tribu.
Après deux jours de marche, ils arrivèrent enfin au campement. Quand ils le virent désert, ils poussèrent des cris pour essayer d’appeler, mais aucunes réponses ne leur parvinrent. La moitié des cadavres avaient déjà commencé à être dépouillé par diverses créatures. Seule, Jan-iah, une jeune femme avait réussi à échapper au massacre et à l’enlèvement car elle était partie faire de la cueillette. Elle expliqua aux hommes que la tribu du peuple Gorille était venue enlever les femmes deux jours auparavant.
Kra-ah décida qu’il fallait aller les chercher et parti aussitôt bien armé avec ses hommes, suivant Jan-iah qui savait où se trouvait le campement des ennemis pour les avoir, par curiosité, suivit. Kra-ah décida d’attaquer par la voie des airs en montant aux arbres et se balançant grâce aux lianes. Cette méthode avait plusieurs fois fonctionné pour d’autres ennemis et l’effet de surprise était toujours présent…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Gina Hardy
Rôles Principaux : Christopher Caine & Cristina Lillard
Rôles Secondaires : Daniel Caine & Jeanne Lillard
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par Le Docteur » Jeu Juil 10, 2008 2:30
*** LE 19 MARS 2011***
LE PATIENT ZERO
Drame
« Laissez-moi sortir !!!! Qu’est ce que j’ai fait ??? Sortez moi de là !!! »
C’est par ces mots que Stewart Manson criait sa détresse. Voilà plusieurs jours qu’il était enfermé dans cette cellule. Il ne savait pas pourquoi il était là. Une nuit, des hommes de l’armée étaient venus le chercher. Ce jeune homosexuel haïtien émigré aux Etats-Unis, avait été traîné de force dans une base militaire et était retenu depuis sans qu’on ne lui ai dit quoi que ce soit.
Tous les jours, il subissait des tests médicaux. D’après ce qu’il avait pu apercevoir sur un dossier, il était le « Patient Zéro ». C’est ainsi qu’on appelait la première personne porteuse d’un virus. Avait-il été contaminé par ce patient zéro ? Ou était-il lui-même ce patient ? Personne ne voulait lui répondre. Personne ne lui parlait d’ailleurs. Il se sentait démunit et comme un cobaye, subissait tous les tests qu’on lui faisait.
Un matin, un homme en blouse blanche vint le voir. Il lui demanda s’il connaissait un jeune homme du nom de Daniel Benson. Le jeune homme répondit par l’affirmative. Il avait été son amant un an auparavant, et lui avait révélé son homosexualité. Le médecin lui expliqua que Benson était porteur d’un virus inconnu et qu’il était en phase terminal. D’après les tests effectués, ce virus se transmettait essentiellement par voies sexuelles. Et d’après ses dires, Manson avait été son seul amant. Stewart regarda le médecin, médusé. Alors lui aussi était infesté par ce mal inconnu. Il est vrai que ces derniers jours, il se sentait faible et que d’étranges boutons étaient apparus sur sa peau. Son appétit devenait de plus en plus restreint.
Toujours d’après le médecin, d’autres personnes infectées par lui sont atteintes du même mal. Ces autres personnes ayant eu d’autres rapports avec d’autres, l’armée essaie de trouver tout le monde avant que ce virus se propage.
Manson ne savait quoi dire. Quoi répondre. Cet été 69 auraient du être le plus beau de sa vie. Il avait enfin trouvé l’amour de sa vie. Et il l’avait peut-être lui-même transmis ce virus. Pour aider, il cita le nom de tous ses amants ainsi que des quelques maîtresses qu’il avait pu avoir, mais leur certifia que pour certains d’entres eux, il ne connaissait ni leur nom, ni d’où ils pouvaient venir. Ce qui n’allait pas faciliter la tâche de l’armée. Sachant que Manson avait été plusieurs mois en Europe.
Il se sentait comme un assassin. Et lui-même allait mourir de ce mal. Mais comment lui, l’avait il eu ? Qui le lui avait transmit ? Etait-il vraiment le « Patient Zéro » Tant de questions dans sa tête. Et aucun remède n’existait à ce jour…
Des mois durant, des tests sont fait sur Manson. Le docteur Maria Lewis s’occupe personnellement de lui et une amitié naît entres eux. Mais la maladie est plus forte et l’état de santé de Manson se dégrade tout à coup. Il faut faire vite…
Découvrez, dans ce film, les origines présumées du SIDA. Les faits ne sont pas historiques mais auraient très bien pu se dérouler ainsi… Ceci reste avant tout une fiction.
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Daniel Whitall
Rôles Principaux : Peter Vrana & Virginia Lillard
Rôles Secondaires : Alan Rye & Tamara Allen
LE PATIENT ZERO
Drame
« Laissez-moi sortir !!!! Qu’est ce que j’ai fait ??? Sortez moi de là !!! »
C’est par ces mots que Stewart Manson criait sa détresse. Voilà plusieurs jours qu’il était enfermé dans cette cellule. Il ne savait pas pourquoi il était là. Une nuit, des hommes de l’armée étaient venus le chercher. Ce jeune homosexuel haïtien émigré aux Etats-Unis, avait été traîné de force dans une base militaire et était retenu depuis sans qu’on ne lui ai dit quoi que ce soit.
Tous les jours, il subissait des tests médicaux. D’après ce qu’il avait pu apercevoir sur un dossier, il était le « Patient Zéro ». C’est ainsi qu’on appelait la première personne porteuse d’un virus. Avait-il été contaminé par ce patient zéro ? Ou était-il lui-même ce patient ? Personne ne voulait lui répondre. Personne ne lui parlait d’ailleurs. Il se sentait démunit et comme un cobaye, subissait tous les tests qu’on lui faisait.
Un matin, un homme en blouse blanche vint le voir. Il lui demanda s’il connaissait un jeune homme du nom de Daniel Benson. Le jeune homme répondit par l’affirmative. Il avait été son amant un an auparavant, et lui avait révélé son homosexualité. Le médecin lui expliqua que Benson était porteur d’un virus inconnu et qu’il était en phase terminal. D’après les tests effectués, ce virus se transmettait essentiellement par voies sexuelles. Et d’après ses dires, Manson avait été son seul amant. Stewart regarda le médecin, médusé. Alors lui aussi était infesté par ce mal inconnu. Il est vrai que ces derniers jours, il se sentait faible et que d’étranges boutons étaient apparus sur sa peau. Son appétit devenait de plus en plus restreint.
Toujours d’après le médecin, d’autres personnes infectées par lui sont atteintes du même mal. Ces autres personnes ayant eu d’autres rapports avec d’autres, l’armée essaie de trouver tout le monde avant que ce virus se propage.
Manson ne savait quoi dire. Quoi répondre. Cet été 69 auraient du être le plus beau de sa vie. Il avait enfin trouvé l’amour de sa vie. Et il l’avait peut-être lui-même transmis ce virus. Pour aider, il cita le nom de tous ses amants ainsi que des quelques maîtresses qu’il avait pu avoir, mais leur certifia que pour certains d’entres eux, il ne connaissait ni leur nom, ni d’où ils pouvaient venir. Ce qui n’allait pas faciliter la tâche de l’armée. Sachant que Manson avait été plusieurs mois en Europe.
Il se sentait comme un assassin. Et lui-même allait mourir de ce mal. Mais comment lui, l’avait il eu ? Qui le lui avait transmit ? Etait-il vraiment le « Patient Zéro » Tant de questions dans sa tête. Et aucun remède n’existait à ce jour…
Des mois durant, des tests sont fait sur Manson. Le docteur Maria Lewis s’occupe personnellement de lui et une amitié naît entres eux. Mais la maladie est plus forte et l’état de santé de Manson se dégrade tout à coup. Il faut faire vite…
Découvrez, dans ce film, les origines présumées du SIDA. Les faits ne sont pas historiques mais auraient très bien pu se dérouler ainsi… Ceci reste avant tout une fiction.
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Daniel Whitall
Rôles Principaux : Peter Vrana & Virginia Lillard
Rôles Secondaires : Alan Rye & Tamara Allen
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par Le Docteur » Jeu Juil 10, 2008 21:03
*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.
001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
006 - MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE (Semaine 323 - 2011)
*** CLASSEMENT DES AUTRES FILMS SORTIS CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie. Le classement correspond au jour de sa sortie.
003 - JEUX DE ROLES (Semaine 315 - 2011) 3ème place
005 - LE CLOWN DE NOEL (Semaine 322 - 2011) 3ème place
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.
001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
006 - MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE (Semaine 323 - 2011)
*** CLASSEMENT DES AUTRES FILMS SORTIS CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie. Le classement correspond au jour de sa sortie.
003 - JEUX DE ROLES (Semaine 315 - 2011) 3ème place
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par Le Docteur » Jeu Juil 10, 2008 23:41
*** COORDONNEES MSN ***
Pour ceux ou celles qui veulent parler Cinejeu et Cinejeu 2 sur msn avec moi, voici mon adresse : le-docteur@live.fr
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par Le Docteur » Sam Juil 12, 2008 3:40
*** LE 26 MARS 2011***
LA POURSUITE INFERNALE
Animation
C’est jour de fête à Rabbitville aujourd’hui… On fête le centenaire de la fondation de la ville. Et comme tous les 5 ans, une grande course est organisée, afin d’élire le maire de celle-ci. Mais seul les habitants les plus aguerris peuvent y participer car les épreuves dont est parsemé le parcourt sont parfois très dangereuses.
Gambit, considéré un peu comme l’idiot du village a toujours eu envie de participer à la course. Mais on lui avait toujours refusé l’accès, le jugeant inapte. Mais cette année, il était bien décidé à braver l’interdiction et se présenter. Au moyen de quelques déguisements et maquillage, il se fit passer pour un certain Agabit. Personne ne jugea bon de se demander d’où venait cet étranger. La course était ouverte à tous, même aux lapins étrangers. S’ils faisaient la course, c’est qu’il avait l’étoffe pour être un bon maire.
Le jour J, tous les participants sont sur la ligne de départ. Plus de cinquante lapins sur des véhicules en tout genre sont prêt à en découdre pour ravir la victoire. Gambit s’est déniché un petit side-car qu’il a lui-même retapé. S’il n’était pas doué d’une grande intelligence, il avait un don pour réparer les choses et son side-car était une petite merveille, malgré son vieil âge.
La première épreuve n’était pas la plus compliquée. Traverser un pont fait de vieilles planches de bois et d’un cordage douteux. Le tout, surplombant un ravin d’une cinquantaine de mètres, au bas duquel coulait un fleuve. Lorsque que le coup d’envoi fut donné, Gambit accéléra et cala… tous les autres participants partirent en trombe le laissant dans un nuage de poussière. Après une recherche minutieuse de la panne, il s’aperçu qu’il avait oublié d’ouvrir l’arrivée d’essence de son véhicule. Il mit le contact et parti en trombe pour essayer de rattraper les autres. Arrivé au bord du précipice, il s’arrêta net. Le pont avait lâché. Regardant en bas, il vit plusieurs candidats se débattre dans l’eau pour essayer de rejoindre une des deux rives.
La course prévoyait un itinéraire bis pour ce genre de cas là. Gambit n’avait d’autre choix de l’emprunter, sachant qu’il rallongeait le parcours initial de plusieurs kilomètres. Après plus d’une heure, sans rejoindre les autres concurrents, Gambit se demande s’il ne s’est pas perdu. Il a beau essayé de se repérer avec sa carte, rien n’y fait. Impossible de rejoindre la seconde épreuve qui était de traverser un canyon de deux kilomètres très étroit, d’où des éboulements étaient provoqués par les organisateurs. Là, il était à l’orée d’une forêt. Et cette forêt lui disait quelque chose, mais impossible de se rappeler quoi…
Il décida d’y pénétrer non sans la peur au ventre. Son side-car n’était pas le meilleur véhicule pour traverser la forêt. Il décidé de se séparé de l’habitacle. Au bout d’un moment, la faim se fit sentir. Il était tellement excité de pouvoir participer à la course, qu’il en avait oublié d’emmener un casse-croûte. Et ce n’est pas dans la forêt qu’il trouvera des carottes. Celle-ci par contre regorgeait de ruche et donc de miel.
Alors qu’il chassait les abeilles pour s’emparer d’une plaquette de miel, un énorme rugissement se fit entendre derrière lui. Il se retourna et vit une énorme ourse, debout sur ses pattes, le regardant d’un air très menaçant. C’est alors que Gambit se rappela que là où il se trouvait était la forêt interdite. La forêt de leurs ennemis jurés les plus dangereux : Les ours…
Il avala sa salive, sentant sa gorge soudain sèche. Il ne savait s’il devait fuir ou bien essayer de parlementer. Il décida de choisir la seconde solution. Tout tremblant, il dit à l’ourse :
- Je ne faisais que passer, et j’avais faim… Pitié, ne me manger pas… Je m’en irai tout de suite…
L’ourse à son grand étonnement sourit…
- Mais il n’y aucun soucis, mon petit ami. Si je rugissais, c’était pour le loup qui s’approchait à votre insu. Tout le monde sait que les ours ne mangent pas de lapins… sauf si vraiment nous n’avons rien d’autre à manger. Je m’appelle Magda… Et toi, qui es-tu et que fais tu ici.
Gambit expliqua toute l’histoire à Magda sur la course pour devenir maire de sa ville, et qu’il s’était retrouvé perdu ici, mort de faim. Magda sourit du courage qu’avait eu le lapin d’avoir franchit les limites de la forêt interdite. Mais elle ignorait que Gambit l’avait pénétré sans savoir où il mettait les pieds. Elle lui expliqua que si la forêt était interdite au lapin, c’est que Grindor, le grand ours n’aimait les gens de sa race, et n’hésitait pas à en manger quelques uns, par plaisir, lorsqu’il croisait un lapin perdu. Il fallait que Gambit s’en aille le plus rapidement possible.
Magda lui ouvrit la route pour traverser la forêt pour qu’il puisse rejoindre ses congénères au canyon. A mi chemin, elle le laissait, lui expliquant qu’il n’avait plus qu’à prendre ce petit sentier, qui le mènerai tout droit à la prochaine épreuve. Gambit la quitta, non sans l’avoir remercier.
Apres cinq minutes, alors qu’il se sentait enfin tranquille, il regarda dans son rétroviseur et vit qu’un énorme ours brun courrait derrière lui, avec un air plutôt patibulaire. Il pouvait l’entendre crier : « viens là que je te croque, petit lapinou !!! », montrant ses dents bien acérées. Gambit mit les gaz à fond, mais l’animal tenait la distance. C’est alors qu’une poursuite infernale débuta entre Gambit et le terrifiant Grindor…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Le Docteur
Rôles Principaux : Raphael Huang & Little L
LA POURSUITE INFERNALE
Animation
C’est jour de fête à Rabbitville aujourd’hui… On fête le centenaire de la fondation de la ville. Et comme tous les 5 ans, une grande course est organisée, afin d’élire le maire de celle-ci. Mais seul les habitants les plus aguerris peuvent y participer car les épreuves dont est parsemé le parcourt sont parfois très dangereuses.
Gambit, considéré un peu comme l’idiot du village a toujours eu envie de participer à la course. Mais on lui avait toujours refusé l’accès, le jugeant inapte. Mais cette année, il était bien décidé à braver l’interdiction et se présenter. Au moyen de quelques déguisements et maquillage, il se fit passer pour un certain Agabit. Personne ne jugea bon de se demander d’où venait cet étranger. La course était ouverte à tous, même aux lapins étrangers. S’ils faisaient la course, c’est qu’il avait l’étoffe pour être un bon maire.
Le jour J, tous les participants sont sur la ligne de départ. Plus de cinquante lapins sur des véhicules en tout genre sont prêt à en découdre pour ravir la victoire. Gambit s’est déniché un petit side-car qu’il a lui-même retapé. S’il n’était pas doué d’une grande intelligence, il avait un don pour réparer les choses et son side-car était une petite merveille, malgré son vieil âge.
La première épreuve n’était pas la plus compliquée. Traverser un pont fait de vieilles planches de bois et d’un cordage douteux. Le tout, surplombant un ravin d’une cinquantaine de mètres, au bas duquel coulait un fleuve. Lorsque que le coup d’envoi fut donné, Gambit accéléra et cala… tous les autres participants partirent en trombe le laissant dans un nuage de poussière. Après une recherche minutieuse de la panne, il s’aperçu qu’il avait oublié d’ouvrir l’arrivée d’essence de son véhicule. Il mit le contact et parti en trombe pour essayer de rattraper les autres. Arrivé au bord du précipice, il s’arrêta net. Le pont avait lâché. Regardant en bas, il vit plusieurs candidats se débattre dans l’eau pour essayer de rejoindre une des deux rives.
La course prévoyait un itinéraire bis pour ce genre de cas là. Gambit n’avait d’autre choix de l’emprunter, sachant qu’il rallongeait le parcours initial de plusieurs kilomètres. Après plus d’une heure, sans rejoindre les autres concurrents, Gambit se demande s’il ne s’est pas perdu. Il a beau essayé de se repérer avec sa carte, rien n’y fait. Impossible de rejoindre la seconde épreuve qui était de traverser un canyon de deux kilomètres très étroit, d’où des éboulements étaient provoqués par les organisateurs. Là, il était à l’orée d’une forêt. Et cette forêt lui disait quelque chose, mais impossible de se rappeler quoi…
Il décida d’y pénétrer non sans la peur au ventre. Son side-car n’était pas le meilleur véhicule pour traverser la forêt. Il décidé de se séparé de l’habitacle. Au bout d’un moment, la faim se fit sentir. Il était tellement excité de pouvoir participer à la course, qu’il en avait oublié d’emmener un casse-croûte. Et ce n’est pas dans la forêt qu’il trouvera des carottes. Celle-ci par contre regorgeait de ruche et donc de miel.
Alors qu’il chassait les abeilles pour s’emparer d’une plaquette de miel, un énorme rugissement se fit entendre derrière lui. Il se retourna et vit une énorme ourse, debout sur ses pattes, le regardant d’un air très menaçant. C’est alors que Gambit se rappela que là où il se trouvait était la forêt interdite. La forêt de leurs ennemis jurés les plus dangereux : Les ours…
Il avala sa salive, sentant sa gorge soudain sèche. Il ne savait s’il devait fuir ou bien essayer de parlementer. Il décida de choisir la seconde solution. Tout tremblant, il dit à l’ourse :
- Je ne faisais que passer, et j’avais faim… Pitié, ne me manger pas… Je m’en irai tout de suite…
L’ourse à son grand étonnement sourit…
- Mais il n’y aucun soucis, mon petit ami. Si je rugissais, c’était pour le loup qui s’approchait à votre insu. Tout le monde sait que les ours ne mangent pas de lapins… sauf si vraiment nous n’avons rien d’autre à manger. Je m’appelle Magda… Et toi, qui es-tu et que fais tu ici.
Gambit expliqua toute l’histoire à Magda sur la course pour devenir maire de sa ville, et qu’il s’était retrouvé perdu ici, mort de faim. Magda sourit du courage qu’avait eu le lapin d’avoir franchit les limites de la forêt interdite. Mais elle ignorait que Gambit l’avait pénétré sans savoir où il mettait les pieds. Elle lui expliqua que si la forêt était interdite au lapin, c’est que Grindor, le grand ours n’aimait les gens de sa race, et n’hésitait pas à en manger quelques uns, par plaisir, lorsqu’il croisait un lapin perdu. Il fallait que Gambit s’en aille le plus rapidement possible.
Magda lui ouvrit la route pour traverser la forêt pour qu’il puisse rejoindre ses congénères au canyon. A mi chemin, elle le laissait, lui expliquant qu’il n’avait plus qu’à prendre ce petit sentier, qui le mènerai tout droit à la prochaine épreuve. Gambit la quitta, non sans l’avoir remercier.
Apres cinq minutes, alors qu’il se sentait enfin tranquille, il regarda dans son rétroviseur et vit qu’un énorme ours brun courrait derrière lui, avec un air plutôt patibulaire. Il pouvait l’entendre crier : « viens là que je te croque, petit lapinou !!! », montrant ses dents bien acérées. Gambit mit les gaz à fond, mais l’animal tenait la distance. C’est alors qu’une poursuite infernale débuta entre Gambit et le terrifiant Grindor…
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Le Docteur
Rôles Principaux : Raphael Huang & Little L
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par Le Docteur » Sam Juil 12, 2008 3:42
*** CETTE SEMAINE ***
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par Le Docteur » Dim Juil 13, 2008 1:06
*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.
001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
006 - MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE (Semaine 323 - 2011)
*** CLASSEMENT DES AUTRES FILMS SORTIS CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie. Le classement correspond au jour de sa sortie.
003 - JEUX DE ROLES (Semaine 315 - 2011) 3ème place
005 - LE CLOWN DE NOEL (Semaine 322 - 2011) 3ème place
007 - PATIENT ZERO (Semaine 324 - 2011) 2nde place
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.
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002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
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par Morcar » Dim Juil 13, 2008 23:47
Au début, en voyant l'affiche de ton film sur la poursuite infernale, j'ai cru que tu avais adapté une blague sur écran.
Allez hop ! Je la raconte, histoire de
Remarque, c'est peut-être la suite de ton film...
Voilà, c'était la blague à Morcar
Allez hop ! Je la raconte, histoire de
Dans la plaine, juste à côté d'une forêt, un lapin est poursuivi par un ours qui hurle :
- Je vais te bouffer ! Je vais te bouffer !
Soudain, un génie apparait en travers de leur chemin et les arrête. Là, il leur propose une chose.
- Je peux réaliser trois souhaits à chacun d'entre vous. Qui veut commencer ?
Le lapin veut faire signe, mais l'ours se rue vers le génie en montrant les crocs au lapin pour le faire rester en arrière.
- Quel sera ton premier souhait ? demande le génie.
- Je veux que tous les ours de la forêt soient des femelles.
- D'accord.
Et immédiatement, tous les ours de la forêt deviennent des femelles. Le génie demande alors à l'ours quel est son second souhait.
- Je veux que tous les ours de France soient des femelles.
- D'accord.
Et immédiatement, tous les ours de France deviennent des femelles. Le génie demande alors à l'ours quel est son troisième et dernier souhait.
- Je veux que tous les ours de la planète soient des femelles.
- D'accord.
Et immédiatement, tous les ours de la Terre deviennent des femelles. Le génie demande alors au lapin quel sera son premier souhait.
- Je voudrais une moto !
Immédiatement, une moto apparait face au lapin qui demande ensuite.
- Je voudrais un casque de moto.
Son souhait se réalise sur le champ à nouveau. Le lapin enfile alors son casque, monte sur sa moto, l'allume, et juste avant de donner un grand coup d'accélérateur, il demande au génie en montrant l'ours :
- JE VEUX QU'IL SOIT PD !!!
Remarque, c'est peut-être la suite de ton film...
Voilà, c'était la blague à Morcar
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par Le Docteur » Lun Juil 14, 2008 0:05
C'est pas du tout la suite du film... Je ne connaissait même pas cette blague !!!
L'image vient d'une pub pour paint shop pro.... elle m'a beaucoup inspiré
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par Le Docteur » Jeu Juil 17, 2008 0:09
*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie.
001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
006 - MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE (Semaine 323 - 2011)
009 - THE KINGDOM OF FAIRIES : LA GENESE (Semaine 326 - 2011)
*** CLASSEMENT DES AUTRES FILMS SORTIS CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
Le numéro devant le film est son numéro de sortie. Le classement correspond au jour de sa sortie.
003 - JEUX DE ROLES (Semaine 315 - 2011) 3ème place
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007 - PATIENT ZERO (Semaine 324 - 2011) 2nde place
008 - LA POURSUITE INFERNALE (Semaine 325 - 2011) 3ème place
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par Le Docteur » Jeu Juil 17, 2008 0:15
*** MERCATO ***
Cliquez sur les images pour voir leurs biographies
Les débuts prometteurs de nos studios (voir ci-dessus) nous oblige à former de nouveaux jeunes talents, ainsi viennent se joindre à notre équipe :
En réalisation :
Lewis PARKER
En acting :
Stella Artois
et Barbara Goulde
Nous espérons qu'ils deviendront très vite des étoiles montantes de Gerardmerveille.
Je sais, j'ai pas beaucoup d'imagination pour les noms d'artistes :p
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Les débuts prometteurs de nos studios (voir ci-dessus) nous oblige à former de nouveaux jeunes talents, ainsi viennent se joindre à notre équipe :
En réalisation :
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Nous espérons qu'ils deviendront très vite des étoiles montantes de Gerardmerveille.
Je sais, j'ai pas beaucoup d'imagination pour les noms d'artistes :p
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par Le Docteur » Ven Juil 18, 2008 17:08
*** FILMS SORTIS EN TETE DU BOX OFFICE CHEZ TARDIS PRODUCTIONS ***
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001 - MUSES (Semaine 313 - 2011)
002 - POLYGAMES AMIS (Semaine 314 - 2011)
004 - LLOYD & LLOYD : Le Grimoire Du Temps (Semaine 320 - 2011)
006 - MALCOLM MORCAR : PENDRE ET PRENDRE (Semaine 323 - 2011)
009 - THE KINGDOM OF FAIRIES : LA GENESE (Semaine 326 - 2011)
010 - CIVILIZATIONS - LE PEUPLE SINGE (Semaine 327 - 2011)
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par Le Docteur » Jeu Juil 24, 2008 1:51
*** 14 MAI 2011 ***
LES GUERRES DE DANELYS - THE KINGDOM OF FAIRIES : 02 - LA MUTATION
Fantastique
LES GUERRES DE DANELYS
Chapitre I : The Kingdom Of Fairies
Partie 02 : La Mutation
Elle ne sentait plus ses poignets dont les sangles qui la retenaient lui mordaient la peau. Floria était prisonnière depuis maintenant une semaine. Elle avait vu devant ses yeux, vu Pulpy et Plasil, les deux hommes papillons se faire massacrer par cette race qu’elle n’avait jusqu’alors jamais vue. Et Palma sa consoeur, elle, était portée disparue depuis. Ces êtres étranges, légèrement plus petits que les elfes mais aussi trapus qu’un nain avaient tenté de mettre le feu à la forêt de Kardys, maison des fées et des papillons.
Grâce à l’aide des nains et des elfes, Floria et Palma avaient réussi tant bien que mal à éteindre cet étrange incendie. Mais alors qu’elles retournaient dans leur tribu, elles tombèrent nez à nez avec ces créatures. Pulpy et Plasil, en essayant de les protéger furent tués par une sorte de gaz. Ils tombèrent à terre, inerte, le teint bleuté. Palma, réussi, elle, à s’échapper, non sans avoir été blessé par des fléchettes empoisonnées.
Depuis Floria, était suspendue à deux lianes qui lui enserraient les poignets. Parfois les créatures venaient la nourrir, la regardant comme si elle était une bête de cirque. Elles parlaient un dialecte étrange. Leur peau était différente selon les créatures. Certain avec la peau claire, d’autres sombre comme la couleur des troncs d’arbres. Sur eux, ils portaient tout un attirail d’armes. Du moins, c’est ce que supposait Floria. Chaque jour, elle espérait que Palma s’en soit sortie et qu’elle préviennent ses sœurs fées. Mais chaque jour s’achevait sans aucune nouvelle d’elles.
Pendant ce temps, non loin de là, dans la cime d’un grand arbre ancestral, une chose inédite se passe. Une sorte de chrysalide s’est formée et grossit au fur et à mesure que le temps passe. Parfois, quelques plumes visqueuses s’en échappaient, tombant doucement au sol.
Le lendemain matin, l’une des créatures s’approcha de Floria et lui mit un appareil sur la tête.
« Est-ce que vous m’entendez et est-ce que vous me comprenez »
Une voix dans sa tête lui disait ces mots. Elle répondit par l’affirmative.
« Quelle sorte de créatures êtes-vous ? »
Elle lui répondit par la même question. Qui étaient ils donc pour oser s’attaquer à son peuple et brûler sa forêt. La créature resta muette quelques instants, puis repris.
« Nous sommes ici pour faire des expériences sur les créatures de ce monde. Nous ne sommes pas d’ici et nous ne resterons que peu de temps. Nous allons vous emmener avec nous où nous vous étudierons de prêt. Dès que nous aurons retrouvé votre amie. Qui ne doit pas être bien loin, à mon avis, vu ce qu’on lui a injecté comme produits… »
« Vous êtes des monstres !!! »
La créature sourit et lui tourna le dos avant de quitter le baraquement. Floria savait que Palma était en vie. C’était une bonne chose… Mais où était-elle ?
Deux jours passèrent. En haut de l’arbre, deux magnifiques ailes de plumes blanches sortirent de la chrysalide. Puis le cocon éclata. Palma était méconnaissable… Elle était de la taille d’une elfe et dans son dos, les ailes battaient son plein pour qu’elle puisse prendre son envol. Elle se sentait une autre. Ses traits avaient changé. Elle était méconnaissable, mais d’une beauté à couper le souffle. Elle se sentait plus forte, plus agile… Mais surtout plus grande !!! Elle ne savait pas ce qui avait provoqué ça. Elle se souvenait s’être enfuie et avoir été touchée par des projectiles. Elle commençait à étouffer et a décidé d’aller chercher de l’air en haut de cet arbre. Et là, le trou noir. Elle s’est réveillée dans cette sorte de cocon. Son corps avait changé. Etonnée de voir ses nouvelles ailes, elle entreprit de les essayer. Pas encore habituée, elle tomba rapidement en chute libre, mais réussie à redresser le cap au dernier moment.
Il fallait qu’elle retrouve Floria et la libérer de ces êtres maléfiques. Il était également urgent de prévenir toute la communauté de la forêt du danger qui la guettait. Et cela n’allait pas être très simple, vu que certains peuples n’aimaient pas les fées. Mais là, il en allait de la survie de toutes les espèces.
Dans la grotte où la dizaine de créatures se trouvaient, Floria commençait à souffrir de malnutrition et se sentait de plus en plus faible. Elle commençait à désespérer qu’on la retrouve un jour. C’est alors qu’elle entendit une voix faible dans son dos. Elle reconnut immédiatement la voix de l’homme papillon Plasil. Mais, elle le pensait mort, tué par les créatures.
« Floria, surtout ne bouge pas, je vais essayer de te libérer. »
Plasil s’approcha doucement, sans faire un bruit et coupa les liens qui retenaient la jeune fée. Il la soutint, car trop faible pour prendre son envol et l’emmena avec lui dans un endroit sûr. Après cela, il parti chercher de quoi la nourrir ainsi que des plantes médicinales pour soigner ses ecchymoses. Une fois qu’elle eu repris des forces, il lui expliqua qu’ayant vu Pulpy tomber mort sous les gaz, quand ce fut son tour, il avait retenu son souffle pour éviter le nuage mortel. Il en avait hélas un peu absorbé, mais pas suffisamment pour que cela soit fatal pour lui, mais assez pour perdre connaissance. Par chance, les créatures avaient laissé les deux papillons sur place les laissant pour mort.
Même si Floria n’aimait pas les hommes papillon, elle était ravi que Plasil soit vivant et l’ai libéré. Elle pensait en elle-même qu’une nouvelle ère entre les fées et les papillons allait naître. Plasil lui expliqua qu’il n’avait aucune nouvelle de Palma. Et il ne pouvait rien apprendre des ennemis car ils parlaient une langue étrangère qu’apparemment, seul l’appareil que portait Floria sur la tête pouvait permettre de traduire leur langue et de les comprendre.
Alors qu’ils discutaient, ils aperçurent une ombre aux grandes ailes les survolant se dirigé droit vers la grotte des créatures. Tout deux levèrent la tête pour avoir le temps d’apercevoir une créature qu’ils ne connaissaient pas. Sorte de fée avec des ailes d’oiseaux. Dans ces mains elle portait de lourd rocher.
Palma avait avec son nouveau physique obtenu une force surhumaine. Elle avait entreprit de boucher l’entrée de la grotte des créatures pour les ralentir et les empêcher de nuire. Mais ceux-ci s’aperçurent rapidement de ce qui se passait, et ripostèrent avec des armes qui tiraient des projectiles invisible à l’œil nu, mais qui abîmaient les troncs des arbres. Palma sentait que ces armes étaient plus que dangereuse, et essayaient de voler en changeant au maximum ses trajectoires, lâchant, de temps à autre, quelques rochers sur la tête des créatures.
Mais au fur et à mesure, elle sentait peu à peu ses forces l’abandonner…
---------------
LES GUERRES DE DANELYS est un ensemble de films partagés en chapitres de cinq films respectivement consacrés à un peuple différent de Danelys. Un monde où toutes races se mélangent, s’entretuent, s’aiment, s’unissent contre l’adversité… Un univers inédit qui s’étoffera au fil des épisodes. Une saga qui sera peut-être partagée avec d’autres maisons de production de Gerardmerveille si l’envie leur en dit.
CASTING (Cliquez sur les photos pour voir la filmographie des artistes.)
Réalisation : Pingu
Rôles Principaux : Sean Tager & Gina Buxton
Rôles Secondaires : Jonathan Noyes & Lou Rosenmeyer
LES GUERRES DE DANELYS - THE KINGDOM OF FAIRIES : 02 - LA MUTATION
Fantastique
LES GUERRES DE DANELYS
Chapitre I : The Kingdom Of Fairies
Partie 02 : La Mutation
Elle ne sentait plus ses poignets dont les sangles qui la retenaient lui mordaient la peau. Floria était prisonnière depuis maintenant une semaine. Elle avait vu devant ses yeux, vu Pulpy et Plasil, les deux hommes papillons se faire massacrer par cette race qu’elle n’avait jusqu’alors jamais vue. Et Palma sa consoeur, elle, était portée disparue depuis. Ces êtres étranges, légèrement plus petits que les elfes mais aussi trapus qu’un nain avaient tenté de mettre le feu à la forêt de Kardys, maison des fées et des papillons.
Grâce à l’aide des nains et des elfes, Floria et Palma avaient réussi tant bien que mal à éteindre cet étrange incendie. Mais alors qu’elles retournaient dans leur tribu, elles tombèrent nez à nez avec ces créatures. Pulpy et Plasil, en essayant de les protéger furent tués par une sorte de gaz. Ils tombèrent à terre, inerte, le teint bleuté. Palma, réussi, elle, à s’échapper, non sans avoir été blessé par des fléchettes empoisonnées.
Depuis Floria, était suspendue à deux lianes qui lui enserraient les poignets. Parfois les créatures venaient la nourrir, la regardant comme si elle était une bête de cirque. Elles parlaient un dialecte étrange. Leur peau était différente selon les créatures. Certain avec la peau claire, d’autres sombre comme la couleur des troncs d’arbres. Sur eux, ils portaient tout un attirail d’armes. Du moins, c’est ce que supposait Floria. Chaque jour, elle espérait que Palma s’en soit sortie et qu’elle préviennent ses sœurs fées. Mais chaque jour s’achevait sans aucune nouvelle d’elles.
Pendant ce temps, non loin de là, dans la cime d’un grand arbre ancestral, une chose inédite se passe. Une sorte de chrysalide s’est formée et grossit au fur et à mesure que le temps passe. Parfois, quelques plumes visqueuses s’en échappaient, tombant doucement au sol.
Le lendemain matin, l’une des créatures s’approcha de Floria et lui mit un appareil sur la tête.
« Est-ce que vous m’entendez et est-ce que vous me comprenez »
Une voix dans sa tête lui disait ces mots. Elle répondit par l’affirmative.
« Quelle sorte de créatures êtes-vous ? »
Elle lui répondit par la même question. Qui étaient ils donc pour oser s’attaquer à son peuple et brûler sa forêt. La créature resta muette quelques instants, puis repris.
« Nous sommes ici pour faire des expériences sur les créatures de ce monde. Nous ne sommes pas d’ici et nous ne resterons que peu de temps. Nous allons vous emmener avec nous où nous vous étudierons de prêt. Dès que nous aurons retrouvé votre amie. Qui ne doit pas être bien loin, à mon avis, vu ce qu’on lui a injecté comme produits… »
« Vous êtes des monstres !!! »
La créature sourit et lui tourna le dos avant de quitter le baraquement. Floria savait que Palma était en vie. C’était une bonne chose… Mais où était-elle ?
Deux jours passèrent. En haut de l’arbre, deux magnifiques ailes de plumes blanches sortirent de la chrysalide. Puis le cocon éclata. Palma était méconnaissable… Elle était de la taille d’une elfe et dans son dos, les ailes battaient son plein pour qu’elle puisse prendre son envol. Elle se sentait une autre. Ses traits avaient changé. Elle était méconnaissable, mais d’une beauté à couper le souffle. Elle se sentait plus forte, plus agile… Mais surtout plus grande !!! Elle ne savait pas ce qui avait provoqué ça. Elle se souvenait s’être enfuie et avoir été touchée par des projectiles. Elle commençait à étouffer et a décidé d’aller chercher de l’air en haut de cet arbre. Et là, le trou noir. Elle s’est réveillée dans cette sorte de cocon. Son corps avait changé. Etonnée de voir ses nouvelles ailes, elle entreprit de les essayer. Pas encore habituée, elle tomba rapidement en chute libre, mais réussie à redresser le cap au dernier moment.
Il fallait qu’elle retrouve Floria et la libérer de ces êtres maléfiques. Il était également urgent de prévenir toute la communauté de la forêt du danger qui la guettait. Et cela n’allait pas être très simple, vu que certains peuples n’aimaient pas les fées. Mais là, il en allait de la survie de toutes les espèces.
Dans la grotte où la dizaine de créatures se trouvaient, Floria commençait à souffrir de malnutrition et se sentait de plus en plus faible. Elle commençait à désespérer qu’on la retrouve un jour. C’est alors qu’elle entendit une voix faible dans son dos. Elle reconnut immédiatement la voix de l’homme papillon Plasil. Mais, elle le pensait mort, tué par les créatures.
« Floria, surtout ne bouge pas, je vais essayer de te libérer. »
Plasil s’approcha doucement, sans faire un bruit et coupa les liens qui retenaient la jeune fée. Il la soutint, car trop faible pour prendre son envol et l’emmena avec lui dans un endroit sûr. Après cela, il parti chercher de quoi la nourrir ainsi que des plantes médicinales pour soigner ses ecchymoses. Une fois qu’elle eu repris des forces, il lui expliqua qu’ayant vu Pulpy tomber mort sous les gaz, quand ce fut son tour, il avait retenu son souffle pour éviter le nuage mortel. Il en avait hélas un peu absorbé, mais pas suffisamment pour que cela soit fatal pour lui, mais assez pour perdre connaissance. Par chance, les créatures avaient laissé les deux papillons sur place les laissant pour mort.
Même si Floria n’aimait pas les hommes papillon, elle était ravi que Plasil soit vivant et l’ai libéré. Elle pensait en elle-même qu’une nouvelle ère entre les fées et les papillons allait naître. Plasil lui expliqua qu’il n’avait aucune nouvelle de Palma. Et il ne pouvait rien apprendre des ennemis car ils parlaient une langue étrangère qu’apparemment, seul l’appareil que portait Floria sur la tête pouvait permettre de traduire leur langue et de les comprendre.
Alors qu’ils discutaient, ils aperçurent une ombre aux grandes ailes les survolant se dirigé droit vers la grotte des créatures. Tout deux levèrent la tête pour avoir le temps d’apercevoir une créature qu’ils ne connaissaient pas. Sorte de fée avec des ailes d’oiseaux. Dans ces mains elle portait de lourd rocher.
Palma avait avec son nouveau physique obtenu une force surhumaine. Elle avait entreprit de boucher l’entrée de la grotte des créatures pour les ralentir et les empêcher de nuire. Mais ceux-ci s’aperçurent rapidement de ce qui se passait, et ripostèrent avec des armes qui tiraient des projectiles invisible à l’œil nu, mais qui abîmaient les troncs des arbres. Palma sentait que ces armes étaient plus que dangereuse, et essayaient de voler en changeant au maximum ses trajectoires, lâchant, de temps à autre, quelques rochers sur la tête des créatures.
Mais au fur et à mesure, elle sentait peu à peu ses forces l’abandonner…
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Le Docteur - Producteur culte
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