GCP - Bureau de Ralphaez

[La Grande Divine]

D'après mes infos, on peut y aller entièrement nu

Jeune Pattou, je vous ai deja dit d'attendre encore 5 ans siouplé. Ralphy je vous ai deja dit pas devant les enfants.

[Pattou]

C'est Ralphaez qui m'a conseillé de venir. Si je suis traumatisé par ce rendez-vous, il sera entièrement responsable

[Ralphaez]

Je vois que j'ai amusé la plèbe, et bien je suis content.
Il faut rire de temps à autres, cela fait du bien !

[Ralphaez]

Un procès à Ralphaez

Contre l'avis de certains membres du CA, et après avoir appris que Ralphaez avait signé chez la Walken, Jacques Serrat a décidé de faire appel à la justice à l'encontre de Ralphaez. L'actionnaire principal accuse celui-ci de ne pas avoir respecté les clauses de son contrat, et d'avoir négocié avec la Walken avant la fin de celui-ci.

Comprenez-moi bien, Ralphaez est un idéaliste qui voue une véritable admiration à ce Walken, celui-là même qui lui tourne autour depuis un moment, tout le monde l'aura remarqué. Contre la promesse d'une place et d'un pont d'or, qui sait les informations que Ralphaez a pu livrer à la Walken Prodution..

Ainsi, si Ralphaez perdait son procès, Jacques Serrat porterait cette fois-ci la Walken devant les tribunaux, pour espionnage industriel.. Etant donné que Ralphaez a tourné un film dans des studios appartenant à la Walken, (studio même dont il est aujourd'hui co-directeur), et ce en plus pour tourner un film dédié à Jérémie Walken, la défense aura sûrement du mal à faire passer tout cela pour des coïncidences ou de la bonne foi.. A l'heure même où l'accusation assure avoir en main des correspondances entre les deux hommes alors que Ralphaez était encore DG chez l'ATP...

[Jérémie Walken]

Ahaha, cette mascarade est tout bonnement risible.

Jacques Serrat éprouve-t-il des regrets maintenant qu'il constate que sa société a perdu un élément irremplaçable, et que celui-ci est désormais sous contrat avec un concurrent ? À quoi rime cette mise en scène exactement ? Voulez-vous de l'argent, M. Serrat ? Les fins de mois sont-ils si difficiles ?

Les négociation entre Walken Production et Ralphaez ont débuté le 1er janvier 2013 à 0h01. Nous disposons de documents écrits et audiovisuels pour appuyer la défense de notre nouvel employé.
Poursuivez, poursuivez, M. Serrat, vous n'arriverez à rien d'autre que la perte de votre crédibilité (si jamais il vous en restait une). Je paierai personnellement les frais d'avocats de Ralphaez et assisterai à toutes les procédures. La vie est trop courte pour ne pas participer à un telle rigolade.

J. Walken

[Nando Arrabal]

Nous allons zapper votre prochain film pour les raisons que vous connaissez.

Marcel Duchampignon.

[Pattou]

Moi je les connais pas

[Ralphaez]

Nous allons zapper votre prochain film pour les raisons que vous connaissez.

Marcel Duchampignon.

Mince ! Mais c'est qu'il est vénéneux le champignon !

[Ralphaez]

La réponse de Serrat

Après avoir eu vent de la déclaration de Jérémie Walken, c'est avec colère que le richissime homme d'affaire a rétorqué :

Je ris ! Ma crédibilité ! Sur cette affaire seule celle de Ralphaez pourra vous sauver Mr Walken, car si ma crédibilité vous dérange, qu'en est-il de la votre ?! Vous connaissez mieux les murs de la prison centrale de Gerardmerveille que celle du studio que vous lui avait confié. Alors je vous en prie Mr Walken, ne me parlait pas de crédibilité, pas vous ! Vous vous enfoncez mon cher, en admettant que vos documents ne soient pas falsifiés, -connaissant votre passé les jurys en douteront croyez-moi-, vous admettez vous-même vous êtes jeté sur lui, à la minute précise où il a été libre, comme un adolescent en chaleur sur une femme mûre lui proposant ses faveurs. Et après ça, qui croira que vous n'avez jamais échangé d'information tout les deux ? D'autant qu'à de nombreuses reprises, des témoins vous ont vu partageant un verre, avec votre soi-disant "ami".
Venez vous divertir au procès Mr Walken, vous pourrez en plus guider Ralphaez dans un lieu qui vous est familier.
Je vous laisse à votre rigolade, et je conclurais en vous citant ce vieil adage français, jamais deux sans trois Mr Walken, jamais deux sans trois...

[Jérémie Walken]

Vous connaissez mieux les murs de la prison centrale de Gerardmerveille que celle du studio que vous lui avait confié.

Ce que vous dites est faux. En parrallèle de mon métier de producteur, je suis aussi architecte de quatrième génération. J'ai dessiné moi-même le studio Max Zorin. Informez-vous avant de vous couvrir de ridicule devant moi...

vous admettez vous-même vous êtes jeté sur lui, à la minute précise où il a été libre, comme un adolescent en chaleur sur une femme mûre lui proposant ses faveurs.

La comparaison est boîteuse, et pas vraiment drôle, si telle était l'objectif. Que me reprochez-vous exactement?
Ralphaez n'est pas un vieux mouchoir et on ne peut pas le jeter inconsidérément comme vous l'avez fait. Nous avons réparé votre erreur, cette erreur qui aurait pu coûter cher au cinéma de la ville.

Et après ça, qui croira que vous n'avez jamais échangé d'information tout les deux ? D'autant qu'à de nombreuses reprises, des témoins vous ont vu partageant un verre, avec votre soi-disant "ami".

Ah, c'est vrai! J'oubliais qu'il était interdit de "prendre un verre" avec un concurrent et que l'amitié n'avait pas sa place dans le milieu cinématographique. Veuillez accepter mes plus plates excuses...

[...]je conclurais en vous citant ce vieil adage français, jamais deux sans trois Mr Walken, jamais deux sans trois...

[Ralphaez]

Ralphaez n'est pas un vieux mouchoir

Vilain petit flatteur !

[Ralphaez]

L'ATP dans la douleur

Après avoir apprit l'attentat dont a été victime son père, c'est avec émotion que l'actuelle dirigeante a tenu ces propos :

Je suis effondrée ! Si les médecins se veulent rassurants, m'assurant que mon père est hors de danger, celui-ci reste très choqué, même si il devrait pouvoir quitter l'hôpital en fin d'après midi. La pauvre gouvernante a elle eu moins de chance, des complications étant survenues après l'infection d'une de ses brûlures. Nous apportons tout notre soutien à sa famille, et nous demandons à la police de retrouver le plus vite possible ces monstres !
Suite à cet accident, un conseil exceptionnel aura lieu le 16 février, pour statuer de la situation. En attendant, toutes les activités de l'ATP sont momentanément suspendues..

Les services de police de Gérardmerveille ont bien entendu en tête deux suspects tout désignés : Ralphaez et Jérémie Walken.

Le premier a été limogé, et ce suite à une décision de Jacques Serrat, alors que, ce n'est un secret pour personne, le second et J.Serrat n'ont jamais pu se sentir, et leurs propos étaient monté d'un cran depuis quelques jours.
La police a donc décidé de convoquer les deux hommes au poste dans la semaine. Ralphaez a refusé de s'exprimer sur le sujet, prétextant une clause de confidentialité dans son nouveau contrat, lui interdisant de s'exprimer sur ce genre d'affaire. Quant à J.Walken, nous attendons encore sa réaction...

[Morcar]

Voilà du RP comme j'aime, ici. Et après, certains diront qu'on ne fait pas de RP sur le forum

[Jérémie Walken]

J'offre tous mes souhaits de prompt rétablissement à Su-Yon Djin dans cette épreuve difficile. J'admet mon incapacité à faire de même pour Serrat mais je souhaite que l'ATP se remettre rapidement sur pieds.

Mesdames, messieurs de la communauté des producteurs de Gérardmerveille, ne vous laissez pas prendre par les apparences. Le complot est souvent plus près de nous qu'on ne le croit...

J.W.

[Ralphaez]

Fin du procès ?

Alors que J.Serrat tout juste sorti de l'hôpital comptait en découdre avec Ralphaez, le procès a été ajourné.
Motif ? Une pièce à conviction majeure de l'accusation aurait disparu. D'après nos informations, il s'agirait d'une lettre de J.Walken à Ralphaez, pouvant être compromettante, mais celle-ci serait mystérieusement introuvable. Alors que l'accusation cri au complot, le juge a suspendu la séance, et cette lettre étant "l'axe majeur" de l'accusation, le procès pourrait être plus court que prévu. C'est fou de rage que Mr Serrat a quitté le palais de justice. Ralphaez lui, n'a comme toujours fait aucun commentaire, escorté par J.Walken (qui comme promis n'a loupé aucune audience) et ses hommes de main jusqu'à la limousine du richissime producteur, et ceci sous les flahs des journalistes venus en masse.